Le premier responsable du PT a souligné dans ce cadre qu'«il faut ouvrir le débat sur cette question entre les Algériens pour éviter toute dérive». Pour le leader du PT, «c'est une question de principe pour le parti et il n'y a pas à discuter là-dessus». Le premier responsable du PT a souligné dans ce cadre qu'«il faut ouvrir le débat sur cette question entre les Algériens pour éviter toute dérive». Pour le leader du PT, «c'est une question de principe pour le parti et il n'y a pas à discuter là-dessus». «Nous sommes prêts pour une confrontation politique sur le projet de révision de la Constitution», a affirmé, hier, la secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune. Le premier responsable du PT qui intervenait à l'occasion de la lecture du rapport d'ouverture de la session ordinaire du Comité central de la formation a souligné dans ce cadre qu'«il faut ouvrir le débat sur cette question entre les Algériens pour éviter toute dérive». Pour le leader du PT, «c'est une question de principe pour le parti et il n'y a pas à discuter là-dessus», soulignant que «d'autres partis ont déjà exprimé leur position sur ce projet de révision de la Constitution». Nous faisons une lecture au niveau du parti, dit-elle, soutenant qu'«elle n'accepte aucune pression d'où qu'elle vienne pour forcer le parti à prendre position pour une partie ou une autre». Pour elle, le PT «est indépendant de toute chapelle politique». Abordant la situation dans tous ses aspects, sur les plans, national, régional et international, la patronne du PT estime que «l'année 2008 est porteuse de graves menaces sur notre pays et sur bien des pays de tous les continents». Les raisons sont multiples selon elle. La crise financière, dite des «subprimes» aux Etats-Unis a engendré des répercussions néfastes sur l'économie mondiale. «Les banques et les Bourses ont perdu 400 milliards de dollars aux USA et 5.000 milliards de dollars à travers l'ensemble de la planète », indique-t-elle, soutenant que «cette crise est loin de connaître son épilogue». La partition de l'ex-Yougoslavie, soutenue par les Etats-Unis est d'après Louisa Hanoune «une boite à pandore qui n'est pas près de se fermer». Elle pense au contraire qu'«elle va s'élargir pour toucher d'autres pays dans le cadre de la mondialisation». Elle estime que le continent africain est le plus menacé de partition en raison des conflits intérieurs qui sévissent au sein des pays et de la politique du «pousse-toi que le m'y mette des grandes puissances». Les élections prévues dans plusieurs pays du monde, notamment en Afrique et Asie sont, juge la secrétaire générale du PT, «porteuses de grands dangers pour ces pays» en raison, poursuit-elle « des interventions des puissance étrangères dans les affaires internes de ces pays». Sur un autre plan, le leader du PT exprime ses vives craintes pour l'année 2008. Pour preuve, avance-t-elle, «la grande offensive sur la souveraineté nationale». L'idée d'instituer une commission internationale sur les attentats du 11 décembre 2007, le lien entre la nébuleuse El Qaïda et le GSPC algérien, les tentatives d'évangélisation qui ont cours à travers le territoire national et le front social dégradé, sont, selon Louisa Hanoune, des ingrédients auxquels «il faut faire vraiment attention». Sur ce dernier point, elle plaide pour «un bilan chiffré de la politique de privatisation en termes de perte d'emploi et de ressources qu'elle a générées». Enfin, pour Louisa Hanoune, «il est temps d'apaiser la situation» en stoppant les privatisations et le gel de l'accord d'association avec l'Union européenne qui ont précipités la désertification économique et industrielle de l'Algérie. «Nous sommes prêts pour une confrontation politique sur le projet de révision de la Constitution», a affirmé, hier, la secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune. Le premier responsable du PT qui intervenait à l'occasion de la lecture du rapport d'ouverture de la session ordinaire du Comité central de la formation a souligné dans ce cadre qu'«il faut ouvrir le débat sur cette question entre les Algériens pour éviter toute dérive». Pour le leader du PT, «c'est une question de principe pour le parti et il n'y a pas à discuter là-dessus», soulignant que «d'autres partis ont déjà exprimé leur position sur ce projet de révision de la Constitution». Nous faisons une lecture au niveau du parti, dit-elle, soutenant qu'«elle n'accepte aucune pression d'où qu'elle vienne pour forcer le parti à prendre position pour une partie ou une autre». Pour elle, le PT «est indépendant de toute chapelle politique». Abordant la situation dans tous ses aspects, sur les plans, national, régional et international, la patronne du PT estime que «l'année 2008 est porteuse de graves menaces sur notre pays et sur bien des pays de tous les continents». Les raisons sont multiples selon elle. La crise financière, dite des «subprimes» aux Etats-Unis a engendré des répercussions néfastes sur l'économie mondiale. «Les banques et les Bourses ont perdu 400 milliards de dollars aux USA et 5.000 milliards de dollars à travers l'ensemble de la planète », indique-t-elle, soutenant que «cette crise est loin de connaître son épilogue». La partition de l'ex-Yougoslavie, soutenue par les Etats-Unis est d'après Louisa Hanoune «une boite à pandore qui n'est pas près de se fermer». Elle pense au contraire qu'«elle va s'élargir pour toucher d'autres pays dans le cadre de la mondialisation». Elle estime que le continent africain est le plus menacé de partition en raison des conflits intérieurs qui sévissent au sein des pays et de la politique du «pousse-toi que le m'y mette des grandes puissances». Les élections prévues dans plusieurs pays du monde, notamment en Afrique et Asie sont, juge la secrétaire générale du PT, «porteuses de grands dangers pour ces pays» en raison, poursuit-elle « des interventions des puissance étrangères dans les affaires internes de ces pays». Sur un autre plan, le leader du PT exprime ses vives craintes pour l'année 2008. Pour preuve, avance-t-elle, «la grande offensive sur la souveraineté nationale». L'idée d'instituer une commission internationale sur les attentats du 11 décembre 2007, le lien entre la nébuleuse El Qaïda et le GSPC algérien, les tentatives d'évangélisation qui ont cours à travers le territoire national et le front social dégradé, sont, selon Louisa Hanoune, des ingrédients auxquels «il faut faire vraiment attention». Sur ce dernier point, elle plaide pour «un bilan chiffré de la politique de privatisation en termes de perte d'emploi et de ressources qu'elle a générées». Enfin, pour Louisa Hanoune, «il est temps d'apaiser la situation» en stoppant les privatisations et le gel de l'accord d'association avec l'Union européenne qui ont précipités la désertification économique et industrielle de l'Algérie.