Le climat des affaires en Algérie est actuellement bien apprécié par la Banque européenne d'investissement (BEI), tant les réformes économiques et financières en pleine évolution, suscitent tout l'intérêt des investisseurs occidentaux, de plus en plus attirés par les opportunités d'investissement qu'offre le pays. En effet, selon le vice-président de la BEI, Philippe de Fontaine Vive Curtaz, «les réformes engagées par l'Algérie ont pour but essentiel l'amélioration du climat d'investissement, notamment en ce qui concerne la privatisation d'entreprises publiques, la restructuration et la transformation des infrastructures inhérentes aux secteurs des télécommunications et de l'énergie (pétrole, gaz, électricité…) en pleine expansion à présent." Rappelons que le ministre de l'industrie et de la Promotion des investissements, Hamid Temmar, a affirmé récemment que «cent entreprises publiques sont concernées par la privatisation durant le premier semestre de l'année cours». La BEI a déjà accordé des aides financières conséquentes à des entreprisses algériennes parmi lesquelles la Nouvelle conserverie algérienne (NCA) qui a bénéficié, il y a trois mois, d'un crédit de 3 millions d'euros pour le développement de cette entreprise de production de boissons et de jus. La NCA a récemment lancé un programme de mise à niveau nécessitant un montant de près de 9 millions d'euros. Ce genre de subvention de la BEI est destiné à positionner les entreprises privées algériennes sur le marché. Exerçant également des fonctions à l'organisme de Facilité euro-méditérranéenne d'investissement et de partenariat (FEMIP), Curtaz estime que «l'Algérie devra poursuivre ses réformes dans la privatisation des entreprises publiques et du secteur financier où la BEI vient de signer un accord de partenariat avec des institutions nationales». Néanmoins, la BEI, qui estime que les indicateurs macro-économiques du pays sont positifs, préconise «l'utilisation efficiente des ressources financières abondantes pour avancer dans le développement économique et la réforme bancaire, sachant que cette banque a octroyé, depuis 28 années, des financements à l'Algérie de l'ordre de 2,5 milliards d'euros pour la promotion du secteur public». La BEI intervient en Algérie notamment pour accompagner les entreprises du secteur privé par le biais d'opérations de capital investissement. Cependant, elle encourage la transformation du paysage bancaire et financier national en appuyant le projet de privatisation du Crédit populaire d'Algérie (CPA) dont l'opération avait été retardée en raison de la crise des crédits hypothécaires à risques (subprimes) ayant éclaboussé les Etats-Unis d'Amérique durant l'été 2007. Mais, selon le ministre des Finances, Karim Djoudi, «le processus de privatisation du CPA pourrait être relancé à partir de la fin du premier trimestre 2008 lorsqu'il y aura une transparence totale sur les comptes des partenaires éventuels de cette banque publique nationale et sur leur stratégie». Le climat des affaires en Algérie est actuellement bien apprécié par la Banque européenne d'investissement (BEI), tant les réformes économiques et financières en pleine évolution, suscitent tout l'intérêt des investisseurs occidentaux, de plus en plus attirés par les opportunités d'investissement qu'offre le pays. En effet, selon le vice-président de la BEI, Philippe de Fontaine Vive Curtaz, «les réformes engagées par l'Algérie ont pour but essentiel l'amélioration du climat d'investissement, notamment en ce qui concerne la privatisation d'entreprises publiques, la restructuration et la transformation des infrastructures inhérentes aux secteurs des télécommunications et de l'énergie (pétrole, gaz, électricité…) en pleine expansion à présent." Rappelons que le ministre de l'industrie et de la Promotion des investissements, Hamid Temmar, a affirmé récemment que «cent entreprises publiques sont concernées par la privatisation durant le premier semestre de l'année cours». La BEI a déjà accordé des aides financières conséquentes à des entreprisses algériennes parmi lesquelles la Nouvelle conserverie algérienne (NCA) qui a bénéficié, il y a trois mois, d'un crédit de 3 millions d'euros pour le développement de cette entreprise de production de boissons et de jus. La NCA a récemment lancé un programme de mise à niveau nécessitant un montant de près de 9 millions d'euros. Ce genre de subvention de la BEI est destiné à positionner les entreprises privées algériennes sur le marché. Exerçant également des fonctions à l'organisme de Facilité euro-méditérranéenne d'investissement et de partenariat (FEMIP), Curtaz estime que «l'Algérie devra poursuivre ses réformes dans la privatisation des entreprises publiques et du secteur financier où la BEI vient de signer un accord de partenariat avec des institutions nationales». Néanmoins, la BEI, qui estime que les indicateurs macro-économiques du pays sont positifs, préconise «l'utilisation efficiente des ressources financières abondantes pour avancer dans le développement économique et la réforme bancaire, sachant que cette banque a octroyé, depuis 28 années, des financements à l'Algérie de l'ordre de 2,5 milliards d'euros pour la promotion du secteur public». La BEI intervient en Algérie notamment pour accompagner les entreprises du secteur privé par le biais d'opérations de capital investissement. Cependant, elle encourage la transformation du paysage bancaire et financier national en appuyant le projet de privatisation du Crédit populaire d'Algérie (CPA) dont l'opération avait été retardée en raison de la crise des crédits hypothécaires à risques (subprimes) ayant éclaboussé les Etats-Unis d'Amérique durant l'été 2007. Mais, selon le ministre des Finances, Karim Djoudi, «le processus de privatisation du CPA pourrait être relancé à partir de la fin du premier trimestre 2008 lorsqu'il y aura une transparence totale sur les comptes des partenaires éventuels de cette banque publique nationale et sur leur stratégie».