Les dernières acquisitions militaires du royaume sont interprétées par le président de la RASD comme une « volonté manifeste d'agression du peuple sahraoui et une escalade dangereuse aux conséquences incalculables ». Les dernières acquisitions militaires du royaume sont interprétées par le président de la RASD comme une « volonté manifeste d'agression du peuple sahraoui et une escalade dangereuse aux conséquences incalculables ». «Le Maroc, contrairement aux déclarations de ses responsables, n'a aucune intention de trouver une solution pacifique au problème du Sahara Occidental », a indiqué le président de la RASD, Mohamed Abdelaziz. En marge du déjeuner offert en l'honneur des journalistes algériens, le président de la RASD n'a pas manqué l'occasion pour évoquer la politique « agressive » du royaume marocain envers ses voisins maghrébins. « Un an après son indépendance, l'Algérie a été agressée par le royaume marocain, revendiquant une partie de ce territoire chèrement acquis. Le même procédé a failli être utilisé avec son voisin mMauritanien. D'ailleurs, il a fallu attendre 1968 pour que ce dernier pays soit reconnu par le royaume chérifien », a-t-il souligné. Les dernières acquisitions militaires du royaume sont interprétée par le président de la RASD comme une « volonté manifeste d'agression du peuple sahraoui et une escalade dangereuse aux conséquences incalculables ». Concernant le report de la date des prochaine négociations, Mohamed Abdelaziz, tout en condamnant la politique du « fait accompli contraire aux traditions de l'ONU » dit ignorer les raisons, sans omettre de dénoncer cet énième report, l'assimilant à une « tentative de déstabilisation de la part des autorités marocaines ». Dans ce chapitre, il a encore réaffirmé la disponibilité du Front Polisario « a s'asseoir à la table des négociations pour un dialogue constructif » et « surtout à respecter toutes les résolutions du Conseil de sécurité ». « On va à Manhasset pour appliquer la résolution 1754 », a-t-il précisé. Sur l'avenir de ces négociations, le président sahraoui écarte pour le moment toute option, privilégiant plutôt la solution politique, indiquant à ce sujet que le dernier mot revient au peuple qui « doit décider de son propre sort ». Dans ce contexte, il lance un appel au Marocains pour « mettre fin à son agression » et faire preuve de bon sens lui tendant la main afin de construire un édifice maghrébin fort où « tous ses peuples vivront dans une parfaite symbiose et harmonie ». Evoquant la situation des droits de l'Homme dans les territoires occupés, Mohamed Abdelaziz n'a pas caché ses inquiétudes. « Ce qui se passe dans les territoires occupés est une preuve tangible sur la pratique de la répression systématisée par le gouvernement marocain contre tous les Sahraouis et ce sous les yeux des Nations unies », a-t-il indiqué. A en croire le président sahraoui, « plusieurs personnes ont été blessées, d'autres arrêtées et des dizaines de maisons saccagées à l'issue d'une manifestion, réclamant le respect de leur droit à l'autodétermination et à l'indépendance ». Une chose est sûre, la communauté internationale est interpellée aux fins de protéger les Sahraouis. « Depuis le déclenchement du conflit, 500 personnes sont portées disparues. 151 prisonniers de guerre sont entre les mains du colonisateur. On ignore jusqu'à présent leur sort », a-t-il declaré. Il estime que « ces pratiques répressives ne participent pas à créer un climat propice aux négociations directes entre le Maroc et le Polisario, entamées récemment sous les auspices de l'ONU ». Autrement dit, le Maroc veut saboter le processus de paix enclenché à la faveur des négociations directes entre les deux parties. «Le Maroc, contrairement aux déclarations de ses responsables, n'a aucune intention de trouver une solution pacifique au problème du Sahara Occidental », a indiqué le président de la RASD, Mohamed Abdelaziz. En marge du déjeuner offert en l'honneur des journalistes algériens, le président de la RASD n'a pas manqué l'occasion pour évoquer la politique « agressive » du royaume marocain envers ses voisins maghrébins. « Un an après son indépendance, l'Algérie a été agressée par le royaume marocain, revendiquant une partie de ce territoire chèrement acquis. Le même procédé a failli être utilisé avec son voisin mMauritanien. D'ailleurs, il a fallu attendre 1968 pour que ce dernier pays soit reconnu par le royaume chérifien », a-t-il souligné. Les dernières acquisitions militaires du royaume sont interprétée par le président de la RASD comme une « volonté manifeste d'agression du peuple sahraoui et une escalade dangereuse aux conséquences incalculables ». Concernant le report de la date des prochaine négociations, Mohamed Abdelaziz, tout en condamnant la politique du « fait accompli contraire aux traditions de l'ONU » dit ignorer les raisons, sans omettre de dénoncer cet énième report, l'assimilant à une « tentative de déstabilisation de la part des autorités marocaines ». Dans ce chapitre, il a encore réaffirmé la disponibilité du Front Polisario « a s'asseoir à la table des négociations pour un dialogue constructif » et « surtout à respecter toutes les résolutions du Conseil de sécurité ». « On va à Manhasset pour appliquer la résolution 1754 », a-t-il précisé. Sur l'avenir de ces négociations, le président sahraoui écarte pour le moment toute option, privilégiant plutôt la solution politique, indiquant à ce sujet que le dernier mot revient au peuple qui « doit décider de son propre sort ». Dans ce contexte, il lance un appel au Marocains pour « mettre fin à son agression » et faire preuve de bon sens lui tendant la main afin de construire un édifice maghrébin fort où « tous ses peuples vivront dans une parfaite symbiose et harmonie ». Evoquant la situation des droits de l'Homme dans les territoires occupés, Mohamed Abdelaziz n'a pas caché ses inquiétudes. « Ce qui se passe dans les territoires occupés est une preuve tangible sur la pratique de la répression systématisée par le gouvernement marocain contre tous les Sahraouis et ce sous les yeux des Nations unies », a-t-il indiqué. A en croire le président sahraoui, « plusieurs personnes ont été blessées, d'autres arrêtées et des dizaines de maisons saccagées à l'issue d'une manifestion, réclamant le respect de leur droit à l'autodétermination et à l'indépendance ». Une chose est sûre, la communauté internationale est interpellée aux fins de protéger les Sahraouis. « Depuis le déclenchement du conflit, 500 personnes sont portées disparues. 151 prisonniers de guerre sont entre les mains du colonisateur. On ignore jusqu'à présent leur sort », a-t-il declaré. Il estime que « ces pratiques répressives ne participent pas à créer un climat propice aux négociations directes entre le Maroc et le Polisario, entamées récemment sous les auspices de l'ONU ». Autrement dit, le Maroc veut saboter le processus de paix enclenché à la faveur des négociations directes entre les deux parties.