Depuis le début de cette année, pas moins de neuf corps de candidats à l'émigration clandestine ont été repêchés au large des côtes algériennes a indiqué hier le Commandement des Forces navales. Depuis le début de cette année, pas moins de neuf corps de candidats à l'émigration clandestine ont été repêchés au large des côtes algériennes a indiqué hier le Commandement des Forces navales. Le phénomène de l'émigration clandestine continue à faire des ravages en Algérie. Depuis le début de cette année, il ne se passe pas un jour sans que les forces navales n'interceptent des dizaines et des dizaines de harragas entassés sur des embarcations de fortune. En tentant une traversée périlleuse vers les côtes européennes, l'eldorado chimérique, ces Algériens, dans leur écrasante majorité, laissent souvent leur vie sur les rivages. Ainsi pas moins de neuf corps de candidats à l'émigration clandestine ont été repêchés au large des côtes algériennes depuis le début de l'année, a indiqué hier le Commandement des Forces navales. Pour sa part, le lieutenant-colonel Slimane Defaïri, chef de la cellule de communication des Forces navales, a précisé que dans le cadre de la lutte contre l'émigration clandestine, "les gardes-côtes ont effectué, depuis le début de l'année, 27 opérations de recherche et de sauvetage qui leur ont permis de secourir 422 candidats à l'émigration clandestine et de repêcher neuf corps". Par ailleurs, 32 harragas ont été interceptés au large des côtes italiennes lors d'opérations menées par le Centre national des opérations de surveillance et de sauvetage en coordination avec le Centre italien de coordination des opérations de sauvetage, a ajouté le même interlocuteur. D'autre part, 91 autres harragas ont été rapatriés après leur interception près des côtes espagnoles. Ces chiffres confirment bien que le phénomène des harragas prend des proportions inquiétantes. Un récent rapport de la Marine algérienne indique même que le nombre de personnes qui ont trouvé la mort lors de leur tentative de traversée de la Méditerranée et dont les corps ont été repêchés a connu une augmentation régulière ces deux dernières années, passant de 29 en 2005 à 73 en 2006 et 83 en 2007. Selon d'autres observateurs, le nombre de personnes portées disparues, s'établirait à plusieurs centaines, au regard des dossiers déposés par les familles auprès des services de Rétablissement des liens familiaux (RLF) dépendants du Croissant Rouge Algérien (CRA). Cet organisme a pour mission d'aider les familles à retrouver les traces de leurs enfants, en coopération avec les Croix Rouges des pays européens, notamment espagnole et italienne. Soulignons enfin que près des deux tiers des corps repêchés n'avaient pas pu être identifiés, du fait de leur "état de décomposition très avancé", note le Commandement des Forces navales. C'est dire donc que la tragédie des harragas s'illustre de plus en plus par son horreur. Le phénomène de l'émigration clandestine continue à faire des ravages en Algérie. Depuis le début de cette année, il ne se passe pas un jour sans que les forces navales n'interceptent des dizaines et des dizaines de harragas entassés sur des embarcations de fortune. En tentant une traversée périlleuse vers les côtes européennes, l'eldorado chimérique, ces Algériens, dans leur écrasante majorité, laissent souvent leur vie sur les rivages. Ainsi pas moins de neuf corps de candidats à l'émigration clandestine ont été repêchés au large des côtes algériennes depuis le début de l'année, a indiqué hier le Commandement des Forces navales. Pour sa part, le lieutenant-colonel Slimane Defaïri, chef de la cellule de communication des Forces navales, a précisé que dans le cadre de la lutte contre l'émigration clandestine, "les gardes-côtes ont effectué, depuis le début de l'année, 27 opérations de recherche et de sauvetage qui leur ont permis de secourir 422 candidats à l'émigration clandestine et de repêcher neuf corps". Par ailleurs, 32 harragas ont été interceptés au large des côtes italiennes lors d'opérations menées par le Centre national des opérations de surveillance et de sauvetage en coordination avec le Centre italien de coordination des opérations de sauvetage, a ajouté le même interlocuteur. D'autre part, 91 autres harragas ont été rapatriés après leur interception près des côtes espagnoles. Ces chiffres confirment bien que le phénomène des harragas prend des proportions inquiétantes. Un récent rapport de la Marine algérienne indique même que le nombre de personnes qui ont trouvé la mort lors de leur tentative de traversée de la Méditerranée et dont les corps ont été repêchés a connu une augmentation régulière ces deux dernières années, passant de 29 en 2005 à 73 en 2006 et 83 en 2007. Selon d'autres observateurs, le nombre de personnes portées disparues, s'établirait à plusieurs centaines, au regard des dossiers déposés par les familles auprès des services de Rétablissement des liens familiaux (RLF) dépendants du Croissant Rouge Algérien (CRA). Cet organisme a pour mission d'aider les familles à retrouver les traces de leurs enfants, en coopération avec les Croix Rouges des pays européens, notamment espagnole et italienne. Soulignons enfin que près des deux tiers des corps repêchés n'avaient pas pu être identifiés, du fait de leur "état de décomposition très avancé", note le Commandement des Forces navales. C'est dire donc que la tragédie des harragas s'illustre de plus en plus par son horreur.