Une convention liée à un programme d'actions pour accompagner les jeunes artisans sera signée, aujourd'hui, entre la Chambre nationale de l'artisanat et des métiers (Cnam) et le Fonds national de l'apprentissage et de la formation continue (FNAC), a affirmé M. Mustapha Benbada, ministre de la Petite et moyenne entreprise et de l'Artisanat. Le ministre qui s'est exprimé lors de l'inauguration de la 14e édition du Salon international de l'artisanat traditionnel, a souligné qu'à l'heure où l'artisanat traditionnel en Algérie connaît un redémarrage significatif, la formation et l'apprentissage dans les métiers qui forment ce secteur semblent être plus qu'une nécessité. « Il ne suffit pas de signer des conventions-cadres généralistes, mais ces dernières doivent être consolidées par l'élaboration et la mise en œuvre d'un programme d'actions précis et opérationnel qui assure la bonne application des recommandations citées dans les conventions », a indiqué M. Benbada qui a souligné, à cette occasion, qu' « une convention d'apprentissage concernant les artisans existe déjà entre le ministère des PME et de l'Artisanat et le ministère de la Formation et de l'Enseignement professionnels ». Ce programme d'actions permettra aux deux institutions de procéder à l'identification des besoins réels des artisans algériens en matière d'apprentissage et de formation continue. « Un ensemble de procédures comprenant des actions qui s'étalent dans le temps et les méthodes et moyens de leurs exécution », a souligné M. Benbada en précisant que « ce plan permettra l'amélioration de certains métiers artisanaux ainsi que l'accompagnement d'un groupe d'artisans dans le domaine de l'apprentissage pour mieux appréhender leurs métiers ». Par ailleurs, cette 14e édition, inaugurée avant-hier par le ministre de la Petite et moyenne entreprise et de l'Artisanat, a été marquée par la présence de plusieurs institutions publiques de soutien aux jeunes artisans, notamment, le CPA, l'Angem, le Fgar et l'Ansej. Les participants à cet évènement, à savoir les artisans, ont toutefois exprimé leur mécontentement vis-à-vis de l'augmentation des frais de participation à ce Salon. « Les prix élevés de participation ont condamné plusieurs artisans à ne pas se présenter à ce rendez-vous… » « Des augmentations qui dépassent les 100% ont été infligées aux anciens artisans, soit ceux qui ont eu leurs cartes d'adhésion à la chambre nationale de l'artisanat avant 2007 », a déploré un artisan spécialiste dans la sculpture sur bois. Le même intervenant a affirmé que ces frais de participation sont passés de 14.000 DA lors du Salon arabe tenu en 2007 à plus de 28.000 DA pour cette édition, alors que « les différents services, notamment l'hébergement, laissent à désirer ». Le ministre qui s'est exprimé sur l'augmentation des frais de participation lors de la conférence de presse organisée pour le lancement du salon a expliqué que c'est par souci de professionnalisme que le ministère a pris cette mesure. Ce Salon a été, en outre, un lieu de rencontres entre les différents artisans activant dans les mêmes métiers ou dans des métiers différents. Ce lieu a permis à ces professionnels des métiers artisanaux d'évoquer leurs problèmes concernant, entre autres, la cherté et la rareté de la matière première, l'anarchie dans laquele se trouve actuellement le marché des produits artisanaux, notamment la commercialisation de ces derniers vers l'extérieur qui représente un des principaux objectifs du ministère de la PME et de l'Artisanat dans le cadre du programme de développement durable des métiers de l'artisanat qui s'étale jusqu'en 2010. Une convention liée à un programme d'actions pour accompagner les jeunes artisans sera signée, aujourd'hui, entre la Chambre nationale de l'artisanat et des métiers (Cnam) et le Fonds national de l'apprentissage et de la formation continue (FNAC), a affirmé M. Mustapha Benbada, ministre de la Petite et moyenne entreprise et de l'Artisanat. Le ministre qui s'est exprimé lors de l'inauguration de la 14e édition du Salon international de l'artisanat traditionnel, a souligné qu'à l'heure où l'artisanat traditionnel en Algérie connaît un redémarrage significatif, la formation et l'apprentissage dans les métiers qui forment ce secteur semblent être plus qu'une nécessité. « Il ne suffit pas de signer des conventions-cadres généralistes, mais ces dernières doivent être consolidées par l'élaboration et la mise en œuvre d'un programme d'actions précis et opérationnel qui assure la bonne application des recommandations citées dans les conventions », a indiqué M. Benbada qui a souligné, à cette occasion, qu' « une convention d'apprentissage concernant les artisans existe déjà entre le ministère des PME et de l'Artisanat et le ministère de la Formation et de l'Enseignement professionnels ». Ce programme d'actions permettra aux deux institutions de procéder à l'identification des besoins réels des artisans algériens en matière d'apprentissage et de formation continue. « Un ensemble de procédures comprenant des actions qui s'étalent dans le temps et les méthodes et moyens de leurs exécution », a souligné M. Benbada en précisant que « ce plan permettra l'amélioration de certains métiers artisanaux ainsi que l'accompagnement d'un groupe d'artisans dans le domaine de l'apprentissage pour mieux appréhender leurs métiers ». Par ailleurs, cette 14e édition, inaugurée avant-hier par le ministre de la Petite et moyenne entreprise et de l'Artisanat, a été marquée par la présence de plusieurs institutions publiques de soutien aux jeunes artisans, notamment, le CPA, l'Angem, le Fgar et l'Ansej. Les participants à cet évènement, à savoir les artisans, ont toutefois exprimé leur mécontentement vis-à-vis de l'augmentation des frais de participation à ce Salon. « Les prix élevés de participation ont condamné plusieurs artisans à ne pas se présenter à ce rendez-vous… » « Des augmentations qui dépassent les 100% ont été infligées aux anciens artisans, soit ceux qui ont eu leurs cartes d'adhésion à la chambre nationale de l'artisanat avant 2007 », a déploré un artisan spécialiste dans la sculpture sur bois. Le même intervenant a affirmé que ces frais de participation sont passés de 14.000 DA lors du Salon arabe tenu en 2007 à plus de 28.000 DA pour cette édition, alors que « les différents services, notamment l'hébergement, laissent à désirer ». Le ministre qui s'est exprimé sur l'augmentation des frais de participation lors de la conférence de presse organisée pour le lancement du salon a expliqué que c'est par souci de professionnalisme que le ministère a pris cette mesure. Ce Salon a été, en outre, un lieu de rencontres entre les différents artisans activant dans les mêmes métiers ou dans des métiers différents. Ce lieu a permis à ces professionnels des métiers artisanaux d'évoquer leurs problèmes concernant, entre autres, la cherté et la rareté de la matière première, l'anarchie dans laquele se trouve actuellement le marché des produits artisanaux, notamment la commercialisation de ces derniers vers l'extérieur qui représente un des principaux objectifs du ministère de la PME et de l'Artisanat dans le cadre du programme de développement durable des métiers de l'artisanat qui s'étale jusqu'en 2010.