Les éditions Melody Plus, sises à Ighzer Amokrane, dans la wilaya de Béjaïa, viennent d'éditer le nouvel album du chanteur Salim Idir. Ce nouveau-né artistique se compose de huit chansons : «Taghribt» (L'immigrée), «Xas rouh» (Partir), «Xas hssou» (Confessions), «Oul ittmelketh» (Le coeur hanté), «Lvavour» (Le bateau), «Anidaten ?» (Où sont-ils ?), «Iniyid» (Dis-moi) et (Hommage à Tahar Oudjedi). L'artiste nous invite à écouter de très belles mélodies, soigneusement arrangées et nous fait découvrir des poèmes exquis. «Tu te refuges dans le silence / Un silence insignifiant / Tu me prives de tes mots et tu t'absentes / Le temps m'éloigne de toi et me trouble / J'aimerais avoir de tes nouvelles / J'aimerais entendre ta douce voix / J'aimerais que tu me dise même l'amère réalité / Que tu me laisses fuir tes chaînes / Que tu me laisses croire à d'autres jours moins vertigineux / Le temps, ce joueur, m'agasse démesurément», chante le talentueux artiste. Salim Idir est un jeune artiste né le 16 janvier 1973 dans le village Taourirt, sur les auteurs de l'Akfadou, en Kabylie. Très jeune, il découvre sa vocation pour le chant et fait ses premiers pas artistiques dans la chorale musicale de sa région natale. A l'âge de 16 ans, le jeune surdoué fait ses premiers enregistrements professionnels. En 1990, l'auteur de «Allen-im» (Tes beaux yeux) édite une cassette, en duo avec le chanteur Kamel Ath Hsyen, et récidive deux ans plus tard (en 1992) avec un autre album, plus élaboré. Depuis, un long chemin est déjà parcouru. Le nouvel album de Salim est disponible en cassette et en CD. C'est un travail artistique digne de ce nom. L'artiste consacre des chansons pour l'amour, la liberté, l'identité, les problèmes de la société, les rêves des jeunes Algériens et rend un vibrant hommage à un grand chanteur, feu Tahar Oudjedi, un chanteur qui a quitté ce monde tragiquement à la fleur de l'âge, le 8 mars 1991 à Lyon, en France. Salim se souvient de celui qui l'a énormément aidé dans le domaine artistique, il lui dédie une belle et triste chanson et chante des textes inédits de l'auteur de «Arrach n tmourt» (Les enfants du pays). Pour bien réussir ce nouvel album, Salim Idir a fait appel à des professionnels du monde artistique tel que Smaïl Ouroufal, Omar Amirouche… En somme, le jeune Salim a réussi à faire un travail artistique original et captivant. Peut-être ce n'est que le début d'une autre étape dans sa carrière musicale. Une carrière qui sera très mouvementée. Les éditions Melody Plus, sises à Ighzer Amokrane, dans la wilaya de Béjaïa, viennent d'éditer le nouvel album du chanteur Salim Idir. Ce nouveau-né artistique se compose de huit chansons : «Taghribt» (L'immigrée), «Xas rouh» (Partir), «Xas hssou» (Confessions), «Oul ittmelketh» (Le coeur hanté), «Lvavour» (Le bateau), «Anidaten ?» (Où sont-ils ?), «Iniyid» (Dis-moi) et (Hommage à Tahar Oudjedi). L'artiste nous invite à écouter de très belles mélodies, soigneusement arrangées et nous fait découvrir des poèmes exquis. «Tu te refuges dans le silence / Un silence insignifiant / Tu me prives de tes mots et tu t'absentes / Le temps m'éloigne de toi et me trouble / J'aimerais avoir de tes nouvelles / J'aimerais entendre ta douce voix / J'aimerais que tu me dise même l'amère réalité / Que tu me laisses fuir tes chaînes / Que tu me laisses croire à d'autres jours moins vertigineux / Le temps, ce joueur, m'agasse démesurément», chante le talentueux artiste. Salim Idir est un jeune artiste né le 16 janvier 1973 dans le village Taourirt, sur les auteurs de l'Akfadou, en Kabylie. Très jeune, il découvre sa vocation pour le chant et fait ses premiers pas artistiques dans la chorale musicale de sa région natale. A l'âge de 16 ans, le jeune surdoué fait ses premiers enregistrements professionnels. En 1990, l'auteur de «Allen-im» (Tes beaux yeux) édite une cassette, en duo avec le chanteur Kamel Ath Hsyen, et récidive deux ans plus tard (en 1992) avec un autre album, plus élaboré. Depuis, un long chemin est déjà parcouru. Le nouvel album de Salim est disponible en cassette et en CD. C'est un travail artistique digne de ce nom. L'artiste consacre des chansons pour l'amour, la liberté, l'identité, les problèmes de la société, les rêves des jeunes Algériens et rend un vibrant hommage à un grand chanteur, feu Tahar Oudjedi, un chanteur qui a quitté ce monde tragiquement à la fleur de l'âge, le 8 mars 1991 à Lyon, en France. Salim se souvient de celui qui l'a énormément aidé dans le domaine artistique, il lui dédie une belle et triste chanson et chante des textes inédits de l'auteur de «Arrach n tmourt» (Les enfants du pays). Pour bien réussir ce nouvel album, Salim Idir a fait appel à des professionnels du monde artistique tel que Smaïl Ouroufal, Omar Amirouche… En somme, le jeune Salim a réussi à faire un travail artistique original et captivant. Peut-être ce n'est que le début d'une autre étape dans sa carrière musicale. Une carrière qui sera très mouvementée.