Baylache est un jeune chanteur kabyle qui fait un travail artistique original. Ses belles mélodies et ses paroles harmonieusement composées berceront, à coups sûr, plus d'un. Baylache est un jeune chanteur kabyle qui fait un travail artistique original. Ses belles mélodies et ses paroles harmonieusement composées berceront, à coups sûr, plus d'un. Les éditions Allagh Music sises dans la commune de Tazmalt, dans la wilaya de Béjaïa, viennent d'éditer le nouvel album du jeune chanteur Baylache. Un travail artistique bien élaboré. Après une chanson incrustée dans la dernière cassette de son père (Idir Akfadou), ce talentueux artiste décide de voler «de ses propres ailes» en tentant l'aventure de faire un produit artistique propre à lui. Pour réussir son album, l'auteur de «D lawan ad ruhegh», (Le temps de partir) a fait appel à des professionnels du monde artistique : Ahmed pour les arrangements, Dahmane pour le violon, Youcef Saou pour le Naï, Rabah Oukrine pour la percussion et Linda pour la voix féminine qui a donné une saveur particulière aux chansons. Dans ce nouvel album, on peut écouter huit (08) morceaux : «Nemgarad», (La rupture), «Tahnint», (Ma bien aimée), «Oudem ajdid», (L'étrangeté), «Tagara n temzi», (La nostalgie de la jeunesse), «Thermedh-iyi», (Insoutenable privation), «Tasnawit», (Le lycée), «Yir Targit», (Le cauchemar) et un morceau instrumental. La musique de ce nouveau-né est à mi-chemin entre le folklore kabyle et la musique moderne. Baylache, de son vrai nom Abalache Yazid a pu créer son propre style tout en s'inspirant d'abord des créations de son père, puis des grands chanteurs kabyles tels que Lani Rabah et M'hand. Cependant, le jeune créateur a fait des recherches musicales pour élaborer un travail bien ficelé et original ; une chose qui manque énormément ces derniers temps puisque les reprises sont devenues monnaie courante. Baylache chante les quêtes identitaires, les questions existentielles, la nostalgie de la jeunesse et surtout les déceptions amoureuses. «Ma déchéance n'est qu'un incommensurable spleen / Mon destin est inchangeable / Mes malheurs sont inamovibles / Tu me cherches dans tes espaces ténébreux / J'aurais aimé que tu renonces à cet amour impossible / A ces fragments d'un passé broyé par le temps et les tourments / Le vent de l'amour t'apportera mes salutations les plus sincères et les plus chaleureuses / Mes larmes ne font que prolonger mes douleurs / Mes songes n'arrivent plus à se faire de l'espace dans ce monde / Ce monde qui me prive de toi / La rupture était inévitable / Chacun de nous a choisi le chemin qui lui semble bon / Nos blessures sont encore vivaces / Le destin nous a dégueulé impitoyablement», chante l'artiste dans l'une des ses belles chansons. Edité en cassette et CD, ce nouvel album est disponible chez les disquaires depuis quelques jours. C'est un travail artistique qui enrichira la chanson algérienne qui a plus que besoin de ce genre de créations au moment où on ne cesse de dire que nos chanteurs sont en mal d'inspiration. Les éditions Allagh Music sises dans la commune de Tazmalt, dans la wilaya de Béjaïa, viennent d'éditer le nouvel album du jeune chanteur Baylache. Un travail artistique bien élaboré. Après une chanson incrustée dans la dernière cassette de son père (Idir Akfadou), ce talentueux artiste décide de voler «de ses propres ailes» en tentant l'aventure de faire un produit artistique propre à lui. Pour réussir son album, l'auteur de «D lawan ad ruhegh», (Le temps de partir) a fait appel à des professionnels du monde artistique : Ahmed pour les arrangements, Dahmane pour le violon, Youcef Saou pour le Naï, Rabah Oukrine pour la percussion et Linda pour la voix féminine qui a donné une saveur particulière aux chansons. Dans ce nouvel album, on peut écouter huit (08) morceaux : «Nemgarad», (La rupture), «Tahnint», (Ma bien aimée), «Oudem ajdid», (L'étrangeté), «Tagara n temzi», (La nostalgie de la jeunesse), «Thermedh-iyi», (Insoutenable privation), «Tasnawit», (Le lycée), «Yir Targit», (Le cauchemar) et un morceau instrumental. La musique de ce nouveau-né est à mi-chemin entre le folklore kabyle et la musique moderne. Baylache, de son vrai nom Abalache Yazid a pu créer son propre style tout en s'inspirant d'abord des créations de son père, puis des grands chanteurs kabyles tels que Lani Rabah et M'hand. Cependant, le jeune créateur a fait des recherches musicales pour élaborer un travail bien ficelé et original ; une chose qui manque énormément ces derniers temps puisque les reprises sont devenues monnaie courante. Baylache chante les quêtes identitaires, les questions existentielles, la nostalgie de la jeunesse et surtout les déceptions amoureuses. «Ma déchéance n'est qu'un incommensurable spleen / Mon destin est inchangeable / Mes malheurs sont inamovibles / Tu me cherches dans tes espaces ténébreux / J'aurais aimé que tu renonces à cet amour impossible / A ces fragments d'un passé broyé par le temps et les tourments / Le vent de l'amour t'apportera mes salutations les plus sincères et les plus chaleureuses / Mes larmes ne font que prolonger mes douleurs / Mes songes n'arrivent plus à se faire de l'espace dans ce monde / Ce monde qui me prive de toi / La rupture était inévitable / Chacun de nous a choisi le chemin qui lui semble bon / Nos blessures sont encore vivaces / Le destin nous a dégueulé impitoyablement», chante l'artiste dans l'une des ses belles chansons. Edité en cassette et CD, ce nouvel album est disponible chez les disquaires depuis quelques jours. C'est un travail artistique qui enrichira la chanson algérienne qui a plus que besoin de ce genre de créations au moment où on ne cesse de dire que nos chanteurs sont en mal d'inspiration.