C'est une source diplomatique à Bamako qui annonce l'intervention de Tripoli. La confirmation est donnée lundi par le gouvernement autrichien lequel a rassuré sur l'état de santé des deux otages détenus depuis le 22 février dernier par Al-Qaïda au Maghreb. Le sort des deux otages détenus, selon les diverses informations, sur le territoire malien et plus précisément à Kidali, dans le Nord, est incertain et ce, malgré les diverses tractations entreprises pour leur libération. Même la fetwa lancée par El-Karadaoui appelant les ravisseurs à relâcher les deux ressortissants autrichiens n'a pas eu d'effet. Il semblerait, selon certains spécialistes, que cette affaire serait sur le point de prendre des tournures inattendues au regard de la menace d'exécution proférée par les ravisseurs et ce, après avoir avoir prorogé l'ultimatum. Selon des titres de presse autrichiens et algériens faisant référence à des sources diplomatiques sous couvert de l'anonymat, «la Libye a établi un contact, dans la nuit de lundi à mardi, avec les ravisseurs». Ainsi, l'on a confirmé hier, que la Libye a réussi, via des intermédiaires, à établir un contact avec les ravisseurs des deux otages. Se voulant rassurantes sur l'état de santé des otages en indiquant que «les otages se portent bien», des sources diplomatiques autrichiennes devaient confirmer «la tenue de négociations entre les représentants du gouvernement libyen et les ravisseurs agissant sous la bannière d'Al-Qaïda au Maghreb». Les mêmes sources indiquent que «les négociations se poursuivront». Des déclarations qui, somme toute, ne conduiront qu'à augmenter les appréhensions sur le sort réservé aux otages. De leur côté, et par le biais d'un communiqué diffusé lundi sur Internet, les ravisseurs avaient, doit-on rappeler, prolongé l'ultimatum et menacé de tuer les otages en cas de tentative de les libérer par la force. Ils avaient exigé le versement d'une rançon de 5 millions d'euros contre la libération du couple autrichien. Les terroristes voudraient sans doute rééditer le scénario de la prise d'otages de 2003 qui a vu Berlin verser à Amari Saïfi, alias Abderrezak El Para, ex-émir de la zone 5 du GSPC, la somme de 5 millions d'euros, en contrepartie de la libération de touristes européens enlevés dans le Sud du pays. Une somme qui a été utilisée pour l'achat d'importantes quantités d'armes de guerre, dont une partie a été interceptée et détruite par l'ANP. C'est une source diplomatique à Bamako qui annonce l'intervention de Tripoli. La confirmation est donnée lundi par le gouvernement autrichien lequel a rassuré sur l'état de santé des deux otages détenus depuis le 22 février dernier par Al-Qaïda au Maghreb. Le sort des deux otages détenus, selon les diverses informations, sur le territoire malien et plus précisément à Kidali, dans le Nord, est incertain et ce, malgré les diverses tractations entreprises pour leur libération. Même la fetwa lancée par El-Karadaoui appelant les ravisseurs à relâcher les deux ressortissants autrichiens n'a pas eu d'effet. Il semblerait, selon certains spécialistes, que cette affaire serait sur le point de prendre des tournures inattendues au regard de la menace d'exécution proférée par les ravisseurs et ce, après avoir avoir prorogé l'ultimatum. Selon des titres de presse autrichiens et algériens faisant référence à des sources diplomatiques sous couvert de l'anonymat, «la Libye a établi un contact, dans la nuit de lundi à mardi, avec les ravisseurs». Ainsi, l'on a confirmé hier, que la Libye a réussi, via des intermédiaires, à établir un contact avec les ravisseurs des deux otages. Se voulant rassurantes sur l'état de santé des otages en indiquant que «les otages se portent bien», des sources diplomatiques autrichiennes devaient confirmer «la tenue de négociations entre les représentants du gouvernement libyen et les ravisseurs agissant sous la bannière d'Al-Qaïda au Maghreb». Les mêmes sources indiquent que «les négociations se poursuivront». Des déclarations qui, somme toute, ne conduiront qu'à augmenter les appréhensions sur le sort réservé aux otages. De leur côté, et par le biais d'un communiqué diffusé lundi sur Internet, les ravisseurs avaient, doit-on rappeler, prolongé l'ultimatum et menacé de tuer les otages en cas de tentative de les libérer par la force. Ils avaient exigé le versement d'une rançon de 5 millions d'euros contre la libération du couple autrichien. Les terroristes voudraient sans doute rééditer le scénario de la prise d'otages de 2003 qui a vu Berlin verser à Amari Saïfi, alias Abderrezak El Para, ex-émir de la zone 5 du GSPC, la somme de 5 millions d'euros, en contrepartie de la libération de touristes européens enlevés dans le Sud du pays. Une somme qui a été utilisée pour l'achat d'importantes quantités d'armes de guerre, dont une partie a été interceptée et détruite par l'ANP.