L'actuel Secrétaire général de l'UGTA ne semble guère se soucier de la dynamique dont font preuve les syndicats autonomes de la fonction publique sur le terrain. « Je suis donc très à l'aise pour vous dire que nous n'avons aucun complexe à ce propos, ni de leçons à recevoir », a-t-il déclaré dans une interview accordée à l'APS. Tout en rappelant que l'UGTA est à l'origine de l'ouverture du champ syndical en Algérie, en proposant la loi 90/14 qui a consacré les libertés syndicales, le patron de la Centrale syndicale a affirmé qu'il ne développe aucune animosité à l'égard de ces structures, pour qui il éprouve du respect. Il a réitéré pour cela, l'option du dialogue et de la concertation prônée par l'UGTA dans le règlement des conflits sociaux, et ce en vertu du pacte économique et social signé avec le gouvernement et le patronat. «Aujourd'hui, notre pays a besoin de stabilité, je le répète. Que chacun de nous s'attelle à aplanir dans le dialogue les divergences et à construire des convergences », a-t-il insisté, pour dire que le seul souci de la Centrale demeure le bien-être des travailleurs et de leurs familles. Interrogé par ailleurs sur le manque d'agressivité de la part de l'UGTA, Sidi Saïd a riposté que « l'agressivité n'est pas synonyme d'avancées et encore moins de progrès social au bénéfice des travailleurs ». Telle est la vision de l'UGTA, d'un syndicalisme moderne s'appuyant sur le dialogue et la concertation, tel que préconisé par le Bureau international du travail (OIT). Pour le patron de la Centrale syndicale, l'Algérie n'est pas dans une situation particulière, qui permet de recourir à l'agressivité dans la contestation, car les problèmes sociaux des travailleurs et la revendication de leurs droits se règlent par un large dialogue entre tous les partenaires sociaux, réitérant pour cela que « les portes de l'UGTA ont toujours été ouvertes, le sont et le resteront, au dialogue ». L'actuel Secrétaire général de l'UGTA ne semble guère se soucier de la dynamique dont font preuve les syndicats autonomes de la fonction publique sur le terrain. « Je suis donc très à l'aise pour vous dire que nous n'avons aucun complexe à ce propos, ni de leçons à recevoir », a-t-il déclaré dans une interview accordée à l'APS. Tout en rappelant que l'UGTA est à l'origine de l'ouverture du champ syndical en Algérie, en proposant la loi 90/14 qui a consacré les libertés syndicales, le patron de la Centrale syndicale a affirmé qu'il ne développe aucune animosité à l'égard de ces structures, pour qui il éprouve du respect. Il a réitéré pour cela, l'option du dialogue et de la concertation prônée par l'UGTA dans le règlement des conflits sociaux, et ce en vertu du pacte économique et social signé avec le gouvernement et le patronat. «Aujourd'hui, notre pays a besoin de stabilité, je le répète. Que chacun de nous s'attelle à aplanir dans le dialogue les divergences et à construire des convergences », a-t-il insisté, pour dire que le seul souci de la Centrale demeure le bien-être des travailleurs et de leurs familles. Interrogé par ailleurs sur le manque d'agressivité de la part de l'UGTA, Sidi Saïd a riposté que « l'agressivité n'est pas synonyme d'avancées et encore moins de progrès social au bénéfice des travailleurs ». Telle est la vision de l'UGTA, d'un syndicalisme moderne s'appuyant sur le dialogue et la concertation, tel que préconisé par le Bureau international du travail (OIT). Pour le patron de la Centrale syndicale, l'Algérie n'est pas dans une situation particulière, qui permet de recourir à l'agressivité dans la contestation, car les problèmes sociaux des travailleurs et la revendication de leurs droits se règlent par un large dialogue entre tous les partenaires sociaux, réitérant pour cela que « les portes de l'UGTA ont toujours été ouvertes, le sont et le resteront, au dialogue ».