Les demi-finales de la Coupe d'Algérie de football prévues demain, offriront un plateau inédit avec la présence à ce stade de la compétition d'un cendrillon (ESM Koléa), un novice (JSMBéjaia), et deux habitués, le WA Tlemcen et le NA Hussein-Dey. Les demi-finales de la Coupe d'Algérie de football prévues demain, offriront un plateau inédit avec la présence à ce stade de la compétition d'un cendrillon (ESM Koléa), un novice (JSMBéjaia), et deux habitués, le WA Tlemcen et le NA Hussein-Dey. L'élimination précoce des grands spécialistes de l'épreuve, l'USM Alger, l' ES Sétif, le MC Alger, le CR Belouizdad, le MCOran et la JS Kabylie (32 trophées à eux six), a aiguisé l'appétit des prétendants au sacre, qui ne jouent même pas les premiers rôles en championnat. L'ESM Koléa, club de la division "inter-régions", rêve d'être le premier club du 3e palier de la hiérarchie du football à graver son nom sur le livre d'or de l'épreuve. David et Goliath A tout Seigneur, tout honneur: le club de la ville mythique de l'Andalous, Koléa sera confronté à la formation du WA Tlemcen, sacrée à deux reprises (1998 et 2002), et jouera avec le désir d'atteindre l'ultime étape de cette belle épreuve populaire. La formation de Koléa, 2e de son groupe derrière le WR Bentalha, n'a nourri aucun complexe tout au long de sa belle aventure, en franchissant allégrement l'obstacle de ses différents adversaires depuis les 1/32e de finale: NRB Touggourt (1-0), JS Sig (2-1), OS Ouenza (2-0) et l' USM Annaba 0-0 (aux TAB 3-1). Les hommes de Nacereddine Akli, qui sont involontairement à l'origine de la crise interne qui secoue actuellement l'équipe bônoise, ne sont pas encore redescendus sur terre. Mieux encore, ils ambitionnent de réserver le même sort aux camarades de l'international Lounés Gaouaoui, en misant sur leur volonté légendaire et la joie de jouer. A Relizane, les camarades de l'excellent gardien Benrabah, compteront beaucoup sur leurs fidèles fans qui ne cessent de prendre goût à cette belle Saga, et qui se préparent à rallier cette ville de l'Ouest pour soutenir leur équipe. De son côté, le WAT qui occupe la peu reluisante dernière place du championnat de D1, veut absolument sauver sa saison par un troisième sacre en Coupe d'Algérie et atténuer un tant soit peu la déception de leurs fans. Le nul arraché courageusement au stade "Habib Bouakeul" devant le MCO lors de la 27e journée disputée lundi, a remonté le moral des hommes de Fouad Bouali, qui croient désormais "au miracle", à savoir le maintien parmi l'élite. Mais, les Kerris, Djallit, Tiyouli et autres Sylla, vont se méfier beaucoup de cette imprévisible équipe de l'ESMK qui a défrayé la chronique, raison pour laquelle ils prennent très au sérieux ce "cendrillon" en tentant de ne pas vivre la cruelle mésaventure des ''annabis''. La Belle à Tizi Ouzou L'autre duel du dernier carré mettra aux prises deux nationaux qui se connaissent parfaitement bien, et qui se retrouveront vendredi à Tizi-Ouzou pour la 3e fois cette saison . A présent, le score est à égalité (1-1): lors du match aller, les béjaouis s'étaient imposés nettement par 3 à 0, alors qu'au match retour, les "Sang et Or" ont gagné par (3 à 1), ce qui va donner lieu à une véritable "belle" dont le vainqueur aura l'honneur d'être présent à la grande finale. La JSMB, qui atteint pour la 1ère fois ce stade avancé de la compétition, ambitionne de réaliser le rêve des sportifs de ''Yemma Gouraya'', une coupe d'Algérie. Ainsi, depuis leur qualification aux dépens du MC Oran au stade du 20 août (Alger), les camarades du vétéran Mounir Zeghdoud, sacré à plusieurs reprises avec son ancienne équipe, l'USM Alger, ne vivent que pour cet évènement, rêve de tous les sportifs béjaouis. Sous l'impulsion de leur coach El-Hadi Khezzar, les N'jeukam, Boukessassa, Meddour, Braham Chaouch, Belkheir et Ghazi, sont conscients de l'importance de cette mission, et sont prêts à relever le défi et atteindre la finale, ce qui constitue pour eux une première "historique". La victoire à l'arraché obtenue lundi devant l'USM Blida (2-1), a été pour les Béjaouis un véritable bol d'oxygène, car elle leur assure définitivement leur maintien en Division 1. En revanche, le Nasria pas tout a fait rassuré de son avenir parmi l'élite, reste sur une cuisante défaite (3-0) à Tizi-Ouzou, devant le nouveau champion d'Algérie. Toutefois, faisant contre mauvaise fortune bon coeur, les "jeunots" du jeune coach Farid Zemiti ne semblent pas être perturbés par leur position quelque peu critique en championnat, et désirent puiser dans cette épreuve de "Dame Coupe" une motivation supplémentaire pour les aider à sortir du piège de la relégation. Le NAHD, sacré en 1979 devant la JS Kabylie (2-1), espère rééditer 29 ans après les exploits absolument fantastiques d'une équipe de rêve: Merzekane, Kheddis, Guendouz et Majder. D'autant que les ''jeunes'' du NAHD ont évincé deux grosses cylindrées et non des moindres, l'USM Alger et le CR Belouizdad. Facteur pyschlogique favorable: les Nahdistes ont un faible pour "Dame Coupe" pour l'avoir courtisée à plusieurs reprises en atteignant sans la remporter l'ultime étape, devant l'ES Sétif (1967), la JS Kabylie (1978), et surtout la DNC Alger en 1982 (en plein mondial espagnol), au moment où ses meilleurs éléments brillaient sous les couleurs nationales à Gijon (Espagne). Demain, les purs produits de la pépinière nahdiste, à l'instar de Toual, Gana, Sedkaoui, Attafene et autres Ouznadji croient dur comme fer à une cinquième "finale". Mais surtout à un second "triomphe". L'élimination précoce des grands spécialistes de l'épreuve, l'USM Alger, l' ES Sétif, le MC Alger, le CR Belouizdad, le MCOran et la JS Kabylie (32 trophées à eux six), a aiguisé l'appétit des prétendants au sacre, qui ne jouent même pas les premiers rôles en championnat. L'ESM Koléa, club de la division "inter-régions", rêve d'être le premier club du 3e palier de la hiérarchie du football à graver son nom sur le livre d'or de l'épreuve. David et Goliath A tout Seigneur, tout honneur: le club de la ville mythique de l'Andalous, Koléa sera confronté à la formation du WA Tlemcen, sacrée à deux reprises (1998 et 2002), et jouera avec le désir d'atteindre l'ultime étape de cette belle épreuve populaire. La formation de Koléa, 2e de son groupe derrière le WR Bentalha, n'a nourri aucun complexe tout au long de sa belle aventure, en franchissant allégrement l'obstacle de ses différents adversaires depuis les 1/32e de finale: NRB Touggourt (1-0), JS Sig (2-1), OS Ouenza (2-0) et l' USM Annaba 0-0 (aux TAB 3-1). Les hommes de Nacereddine Akli, qui sont involontairement à l'origine de la crise interne qui secoue actuellement l'équipe bônoise, ne sont pas encore redescendus sur terre. Mieux encore, ils ambitionnent de réserver le même sort aux camarades de l'international Lounés Gaouaoui, en misant sur leur volonté légendaire et la joie de jouer. A Relizane, les camarades de l'excellent gardien Benrabah, compteront beaucoup sur leurs fidèles fans qui ne cessent de prendre goût à cette belle Saga, et qui se préparent à rallier cette ville de l'Ouest pour soutenir leur équipe. De son côté, le WAT qui occupe la peu reluisante dernière place du championnat de D1, veut absolument sauver sa saison par un troisième sacre en Coupe d'Algérie et atténuer un tant soit peu la déception de leurs fans. Le nul arraché courageusement au stade "Habib Bouakeul" devant le MCO lors de la 27e journée disputée lundi, a remonté le moral des hommes de Fouad Bouali, qui croient désormais "au miracle", à savoir le maintien parmi l'élite. Mais, les Kerris, Djallit, Tiyouli et autres Sylla, vont se méfier beaucoup de cette imprévisible équipe de l'ESMK qui a défrayé la chronique, raison pour laquelle ils prennent très au sérieux ce "cendrillon" en tentant de ne pas vivre la cruelle mésaventure des ''annabis''. La Belle à Tizi Ouzou L'autre duel du dernier carré mettra aux prises deux nationaux qui se connaissent parfaitement bien, et qui se retrouveront vendredi à Tizi-Ouzou pour la 3e fois cette saison . A présent, le score est à égalité (1-1): lors du match aller, les béjaouis s'étaient imposés nettement par 3 à 0, alors qu'au match retour, les "Sang et Or" ont gagné par (3 à 1), ce qui va donner lieu à une véritable "belle" dont le vainqueur aura l'honneur d'être présent à la grande finale. La JSMB, qui atteint pour la 1ère fois ce stade avancé de la compétition, ambitionne de réaliser le rêve des sportifs de ''Yemma Gouraya'', une coupe d'Algérie. Ainsi, depuis leur qualification aux dépens du MC Oran au stade du 20 août (Alger), les camarades du vétéran Mounir Zeghdoud, sacré à plusieurs reprises avec son ancienne équipe, l'USM Alger, ne vivent que pour cet évènement, rêve de tous les sportifs béjaouis. Sous l'impulsion de leur coach El-Hadi Khezzar, les N'jeukam, Boukessassa, Meddour, Braham Chaouch, Belkheir et Ghazi, sont conscients de l'importance de cette mission, et sont prêts à relever le défi et atteindre la finale, ce qui constitue pour eux une première "historique". La victoire à l'arraché obtenue lundi devant l'USM Blida (2-1), a été pour les Béjaouis un véritable bol d'oxygène, car elle leur assure définitivement leur maintien en Division 1. En revanche, le Nasria pas tout a fait rassuré de son avenir parmi l'élite, reste sur une cuisante défaite (3-0) à Tizi-Ouzou, devant le nouveau champion d'Algérie. Toutefois, faisant contre mauvaise fortune bon coeur, les "jeunots" du jeune coach Farid Zemiti ne semblent pas être perturbés par leur position quelque peu critique en championnat, et désirent puiser dans cette épreuve de "Dame Coupe" une motivation supplémentaire pour les aider à sortir du piège de la relégation. Le NAHD, sacré en 1979 devant la JS Kabylie (2-1), espère rééditer 29 ans après les exploits absolument fantastiques d'une équipe de rêve: Merzekane, Kheddis, Guendouz et Majder. D'autant que les ''jeunes'' du NAHD ont évincé deux grosses cylindrées et non des moindres, l'USM Alger et le CR Belouizdad. Facteur pyschlogique favorable: les Nahdistes ont un faible pour "Dame Coupe" pour l'avoir courtisée à plusieurs reprises en atteignant sans la remporter l'ultime étape, devant l'ES Sétif (1967), la JS Kabylie (1978), et surtout la DNC Alger en 1982 (en plein mondial espagnol), au moment où ses meilleurs éléments brillaient sous les couleurs nationales à Gijon (Espagne). Demain, les purs produits de la pépinière nahdiste, à l'instar de Toual, Gana, Sedkaoui, Attafene et autres Ouznadji croient dur comme fer à une cinquième "finale". Mais surtout à un second "triomphe".