Des chercheurs américains ont produit une molécule de synthèse qui élimine chez les souris la myotonie, (trouble du tonus musculaire ou comme on peut l'appeler également la "force musculaire" se caractérisant par une lenteur et une difficulté à la décontraction). La contraction involontaire des muscles est un des principaux symptômes de la dystrophie (dégénérescence) musculaire, selon une étude américaine. Les auteurs de cette recherche estiment que cette avancée offre un espoir de traitement pour cette maladie génétique incurable et handicapante. Le Dr Charles Thornton, co-directeur du Centre des maladies neuromusculaires de l'Université de Rochester (New York, nord est), principal auteur de cette recherche affirme que «ces travaux apportent la preuve que cette maladie génétique est réversible même quand elle est déjà très avancée». Des injections de cette molécule dans des souris, chez qui avaient été induites de la myotonie dystrophique, ont permis de restaurer un mécanisme cellulaire clé contrôlant l'activité électrique des muscles. Chez les personnes souffrant de dystrophie musculaire, ce mécanisme essentiel ne fonctionne pas, empêchant les cellules des muscles de se détendre normalement. "Ces résultats nous encouragent à croire que d'autres symptômes de la dystrophie musculaire peuvent aussi être réversibles", souligne-t-il. Ces chercheurs ont constaté qu'après le rétablissement de ce mécanisme, les muscles ont retrouvé une fonction normale. La myotonie est l'un des premiers signes de la dystrophie musculaire et est le symptôme par lequel les médecins diagnostiquent le plus souvent la maladie. Celle-ci se caractérise par la dégénérescence de la fibre musculaire striée aboutissant à une atrophie progressive de la plupart des muscles dont la conséquence est un handicap moteur variable selon le stade d'évolution. Des chercheurs américains ont produit une molécule de synthèse qui élimine chez les souris la myotonie, (trouble du tonus musculaire ou comme on peut l'appeler également la "force musculaire" se caractérisant par une lenteur et une difficulté à la décontraction). La contraction involontaire des muscles est un des principaux symptômes de la dystrophie (dégénérescence) musculaire, selon une étude américaine. Les auteurs de cette recherche estiment que cette avancée offre un espoir de traitement pour cette maladie génétique incurable et handicapante. Le Dr Charles Thornton, co-directeur du Centre des maladies neuromusculaires de l'Université de Rochester (New York, nord est), principal auteur de cette recherche affirme que «ces travaux apportent la preuve que cette maladie génétique est réversible même quand elle est déjà très avancée». Des injections de cette molécule dans des souris, chez qui avaient été induites de la myotonie dystrophique, ont permis de restaurer un mécanisme cellulaire clé contrôlant l'activité électrique des muscles. Chez les personnes souffrant de dystrophie musculaire, ce mécanisme essentiel ne fonctionne pas, empêchant les cellules des muscles de se détendre normalement. "Ces résultats nous encouragent à croire que d'autres symptômes de la dystrophie musculaire peuvent aussi être réversibles", souligne-t-il. Ces chercheurs ont constaté qu'après le rétablissement de ce mécanisme, les muscles ont retrouvé une fonction normale. La myotonie est l'un des premiers signes de la dystrophie musculaire et est le symptôme par lequel les médecins diagnostiquent le plus souvent la maladie. Celle-ci se caractérise par la dégénérescence de la fibre musculaire striée aboutissant à une atrophie progressive de la plupart des muscles dont la conséquence est un handicap moteur variable selon le stade d'évolution.