La date du 29 avril a été choisie pour honorer Jean-Georges Noverre (1727-1810), créateur du ballet moderne. Considéré comme le Shakespeare de la chorégraphie, il a produit son premier ballet en 1754. La date du 29 avril a été choisie pour honorer Jean-Georges Noverre (1727-1810), créateur du ballet moderne. Considéré comme le Shakespeare de la chorégraphie, il a produit son premier ballet en 1754. Aujourd'hui débutera au TNA Mahieddine-Bachtarzi d'Alger, sous l'égide de Mme Khalida Toumi, la première édition de journées chorégraphiques qui se clôturera le 4 mai. Ainsi, l'Algérie entre dans la danse à l'occasion de la journée mondiale de cet art instaurée en 1982 à l'initiative du Comité de Danse International de l'UNESCO qui collabore depuis 1995 avec l'Alliance mondiale de la danse. D'après les organisateurs de la rencontre dont la célèbre chorégraphe Nouara Adami et M. Feth Ennour, directeur du TNA, l'objectif de ces journées est d'impulser une nouvelle dynamique pour revaloriser ce volet de notre patrimoine immatériel qui souffre d'une culture du tabou. Les objectifs de cette semaine coïncident donc avec ceux de la Journée internationale et de son message annuel qui est de « réunir le monde de la danse, rendre hommage à la danse, célébrer son universalité et, franchissant toutes les barrières politiques, culturelles et ethniques, rassembler l'humanité toute entière en amitié et paix autour de la danse, langage universel». Comme de coutume, l'année internationale de la danse est inaugurée par un message rédigé par une personnalité de cet art. Gladys Faith Agulhas, chorégraphe sud-africaine, écrit dans le message international 2008 : «La danse est le miroir qui reflète l'impossible rendu possible. Ainsi tout le monde peut être touché, peut entendre, sentir et l'éprouver. Les sons venus de nos cœurs et de notre Ame sont notre rythme. Chacun de nos mouvements dévoile l'histoire de l'humanité. Cet élément donne à l'esprit humain la possibilité d'atteindre l'ultime Liberté.» En Algérie, outre les danses traditionnelles régionales, les dernières années ont vu un engouement grandissant de la jeunesse pour les danses contemporaines. Des rencontres de danses modernes ont lieu régulièrement dans toutes les villes du pays. Il n'est pas rare que le promeneur d'Alger ou d'ailleurs soit surpris par le spectacle de jeunes gens et jeunes filles dansant sur la tête, slammant ou smurfant à qui mieux mieux. Lors de la manifestation « Alger, capitale de la culture arabe 2007 », la pièce de théâtre Tin-Hinan a décliné un savant mélange de danses contemporaines et de danses traditionnelles targuies, avec un résultat des plus esthétiques. La chorégraphe Nouara Adami, qui a monté la pièce, soulignait alors que les membres de la troupe étaient des jeunes danseurs amateurs. La date du 29 avril a été choisie pour honorer Jean-Georges Noverre (1727-1810), créateur du ballet moderne. Considéré comme le Shakespeare du Ballet, il a produit son premier ballet en 1754. Son fameux ouvrage «Les lettres de la danse» a été publié en 1760. Ses idées révolutionnaires ont codifié les techniques de la dance classique pour en faire un art majeur. Il a rompu avec la rigidité des dances de cour en y introduisant l'art dramatique. Le ballet n'était plus un divertissement mais un récit des émotions humaines, illustrées par l'action. Il a également introduit des changements dans le costume des danseurs. Aujourd'hui débutera au TNA Mahieddine-Bachtarzi d'Alger, sous l'égide de Mme Khalida Toumi, la première édition de journées chorégraphiques qui se clôturera le 4 mai. Ainsi, l'Algérie entre dans la danse à l'occasion de la journée mondiale de cet art instaurée en 1982 à l'initiative du Comité de Danse International de l'UNESCO qui collabore depuis 1995 avec l'Alliance mondiale de la danse. D'après les organisateurs de la rencontre dont la célèbre chorégraphe Nouara Adami et M. Feth Ennour, directeur du TNA, l'objectif de ces journées est d'impulser une nouvelle dynamique pour revaloriser ce volet de notre patrimoine immatériel qui souffre d'une culture du tabou. Les objectifs de cette semaine coïncident donc avec ceux de la Journée internationale et de son message annuel qui est de « réunir le monde de la danse, rendre hommage à la danse, célébrer son universalité et, franchissant toutes les barrières politiques, culturelles et ethniques, rassembler l'humanité toute entière en amitié et paix autour de la danse, langage universel». Comme de coutume, l'année internationale de la danse est inaugurée par un message rédigé par une personnalité de cet art. Gladys Faith Agulhas, chorégraphe sud-africaine, écrit dans le message international 2008 : «La danse est le miroir qui reflète l'impossible rendu possible. Ainsi tout le monde peut être touché, peut entendre, sentir et l'éprouver. Les sons venus de nos cœurs et de notre Ame sont notre rythme. Chacun de nos mouvements dévoile l'histoire de l'humanité. Cet élément donne à l'esprit humain la possibilité d'atteindre l'ultime Liberté.» En Algérie, outre les danses traditionnelles régionales, les dernières années ont vu un engouement grandissant de la jeunesse pour les danses contemporaines. Des rencontres de danses modernes ont lieu régulièrement dans toutes les villes du pays. Il n'est pas rare que le promeneur d'Alger ou d'ailleurs soit surpris par le spectacle de jeunes gens et jeunes filles dansant sur la tête, slammant ou smurfant à qui mieux mieux. Lors de la manifestation « Alger, capitale de la culture arabe 2007 », la pièce de théâtre Tin-Hinan a décliné un savant mélange de danses contemporaines et de danses traditionnelles targuies, avec un résultat des plus esthétiques. La chorégraphe Nouara Adami, qui a monté la pièce, soulignait alors que les membres de la troupe étaient des jeunes danseurs amateurs. La date du 29 avril a été choisie pour honorer Jean-Georges Noverre (1727-1810), créateur du ballet moderne. Considéré comme le Shakespeare du Ballet, il a produit son premier ballet en 1754. Son fameux ouvrage «Les lettres de la danse» a été publié en 1760. Ses idées révolutionnaires ont codifié les techniques de la dance classique pour en faire un art majeur. Il a rompu avec la rigidité des dances de cour en y introduisant l'art dramatique. Le ballet n'était plus un divertissement mais un récit des émotions humaines, illustrées par l'action. Il a également introduit des changements dans le costume des danseurs.