C'est une maladie qui devient actuellement un fléau social. Les polluants chimiques de l'atmosphère peuvent être impliqués dans l'apparition de l'asthme et le déclenchement des crises chez l'asthmatique, dans les villes plus particulièrement. Le tabac peut également induire un asthme bronchique ainsi que l'exposition accrue aux acariens. C'est une maladie qui devient actuellement un fléau social. Les polluants chimiques de l'atmosphère peuvent être impliqués dans l'apparition de l'asthme et le déclenchement des crises chez l'asthmatique, dans les villes plus particulièrement. Le tabac peut également induire un asthme bronchique ainsi que l'exposition accrue aux acariens. La prévalence de l'asthme et des maladies allergiques ne cesse d'augmenter. L'asthme est une maladie des bronches. Les bronches sont les conduits qui permettent à l'air chargé d'oxygène d'aller aux poumons pour oxygéner le sang qui irrigue ensuite l'organisme. L'asthme se caractérise par des difficultés pour respirer, dues à une contraction (resserrement) des bronches (bronchospasme). L'enfant, qui jusque-là se portait bien, se met à tousser. Sa respiration devient rapide et sifflante. Vous entendrez bien les sifflements en posant votre oreille sur sa poitrine. Autrement dit, il s'agit d'une maladie inflammatoire chronique des bronches. L'inflammation des bronches est la lésion initiale dans la maladie asthmatique. Si elle n'est pas soignée, cette inflammation chronique conduit à l'accélération du vieillissement bronchique. C'est d'autant plus grave que l'appareil respiratoire de l'enfant est en pleine évolution jusqu'à dix ans. Quelles en sont les causes ? Les principaux facteurs de risque sont l'exposition, surtout pendant la petite enfance, à des allergènes à l'intérieur des habitations (comme les acariens-dans la literie et les tapis, les chats) et des antécédents familiaux d'asthme ou d'allergie. Il semblerait que les enfants de parents asthmatiques avaient beaucoup plus tendance à souffrir de la maladie. L'exposition à la fumée du tabac et l'exposition à des irritants chimiques sur les lieux de travail sont des facteurs de risque supplémentaires. Parmi les autres facteurs de risque figurent certains médicaments (aspirine et autres médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens), un faible poids de naissance ou une infection respiratoire. Le climatiseur (air froid), et l'humidité peuvent aggraver l'asthme. L'urbanisation semble également liée à une augmentation de l'asthme, mais la nature du risque n'est pas nette, car les études effectuées ne tiennent pas compte des allergènes présents à l'intérieur des habitations alors que l'on sait que ceux-ci sont des facteurs de risque importants. Certaines causes sont inconnues à ce jour, cependant nombreux sont les spécialistes qui sont convaincus qu'il y a des éléments dans l'environnement en rapport avec le développement et l'industrialisation qui entretient cette augmentation. Même si certaines crises peuvent être facilitées par des facteurs psychologiques, l'asthme n'est pas une maladie psychosomatique. Comment reconnaître une crise d'asthme ? La crise d'asthme est facile à reconnaître : la respiration est difficile et s'accompagne d'un sifflement plus ou moins audible qui est entendu à l'expiration (le sifflement provient de l'air qui a du mal à sortir des bronches serrées). Souvent, I'enfant tousse de façon répétée, se plaint d'être oppressé. Même si elle est parfois spectaculaire, la crise d'asthme est le plus souvent améliorée par les traitements qui desserrent les bronches. Cependant, toute crise, même apparemment légère, nécessite une surveillance attentive. Si les traitements semblent inefficaces : enfant épuisé et a du mal à parler ; le pourtour des lèvres est bleu ; I'enfant a déjà fait des crises graves ; n'hésitez pas à prendre votre enfant au servive des urgences médicales. Qu'en est-il réellement du traitement L'asthme étant une maladie chronique, elle exige généralement des soins médicaux continus. Les patients, souffrant d'asthme modéré à grave, doivent suivre un traitement au long cours et prendre des médicaments (par exemple des anti-inflammatoires) chaque jour pour endiguer l'inflammation sous-jacente et prévenir les symptômes et les crises. Si les symptômes apparaissent, des médicaments d'action rapide peuvent les soulager. Les médicaments ne sont pas le seul moyen de lutter contre la maladie. Il est également important d'éviter tout ce qui déclenche des crises, les stimulants qui irritent et enflamment les voies respiratoires et qui aggravent l'asthme. Chaque personne doit apprendre à éviter ce qui déclenche ses crises. La question que se pose toute maman ayant un enfant asthmatique est : mon petit peut-il guérir de son asthme ? Si l'inflammation des bronches n'est pas combattue par des médicaments adaptés, elle va persister et même augmenter. Elle entraîne alors un épaississement de la paroi des bronches, ce qui leur fait perdre leur souplesse. L'évolution à l'âge adulte dépend surtout de la gravité de l'asthme pendant l'enfance. Le plus souvent, si l'asthme est léger, il le restera. Au contraire, si l'asthme est grave pendant l'enfance, il a peu de chances de devenir léger. Sans dramatiser, il faut bien surveiller un enfant asthmatique, même si son asthme est léger. La prévalence de l'asthme et des maladies allergiques ne cesse d'augmenter. L'asthme est une maladie des bronches. Les bronches sont les conduits qui permettent à l'air chargé d'oxygène d'aller aux poumons pour oxygéner le sang qui irrigue ensuite l'organisme. L'asthme se caractérise par des difficultés pour respirer, dues à une contraction (resserrement) des bronches (bronchospasme). L'enfant, qui jusque-là se portait bien, se met à tousser. Sa respiration devient rapide et sifflante. Vous entendrez bien les sifflements en posant votre oreille sur sa poitrine. Autrement dit, il s'agit d'une maladie inflammatoire chronique des bronches. L'inflammation des bronches est la lésion initiale dans la maladie asthmatique. Si elle n'est pas soignée, cette inflammation chronique conduit à l'accélération du vieillissement bronchique. C'est d'autant plus grave que l'appareil respiratoire de l'enfant est en pleine évolution jusqu'à dix ans. Quelles en sont les causes ? Les principaux facteurs de risque sont l'exposition, surtout pendant la petite enfance, à des allergènes à l'intérieur des habitations (comme les acariens-dans la literie et les tapis, les chats) et des antécédents familiaux d'asthme ou d'allergie. Il semblerait que les enfants de parents asthmatiques avaient beaucoup plus tendance à souffrir de la maladie. L'exposition à la fumée du tabac et l'exposition à des irritants chimiques sur les lieux de travail sont des facteurs de risque supplémentaires. Parmi les autres facteurs de risque figurent certains médicaments (aspirine et autres médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens), un faible poids de naissance ou une infection respiratoire. Le climatiseur (air froid), et l'humidité peuvent aggraver l'asthme. L'urbanisation semble également liée à une augmentation de l'asthme, mais la nature du risque n'est pas nette, car les études effectuées ne tiennent pas compte des allergènes présents à l'intérieur des habitations alors que l'on sait que ceux-ci sont des facteurs de risque importants. Certaines causes sont inconnues à ce jour, cependant nombreux sont les spécialistes qui sont convaincus qu'il y a des éléments dans l'environnement en rapport avec le développement et l'industrialisation qui entretient cette augmentation. Même si certaines crises peuvent être facilitées par des facteurs psychologiques, l'asthme n'est pas une maladie psychosomatique. Comment reconnaître une crise d'asthme ? La crise d'asthme est facile à reconnaître : la respiration est difficile et s'accompagne d'un sifflement plus ou moins audible qui est entendu à l'expiration (le sifflement provient de l'air qui a du mal à sortir des bronches serrées). Souvent, I'enfant tousse de façon répétée, se plaint d'être oppressé. Même si elle est parfois spectaculaire, la crise d'asthme est le plus souvent améliorée par les traitements qui desserrent les bronches. Cependant, toute crise, même apparemment légère, nécessite une surveillance attentive. Si les traitements semblent inefficaces : enfant épuisé et a du mal à parler ; le pourtour des lèvres est bleu ; I'enfant a déjà fait des crises graves ; n'hésitez pas à prendre votre enfant au servive des urgences médicales. Qu'en est-il réellement du traitement L'asthme étant une maladie chronique, elle exige généralement des soins médicaux continus. Les patients, souffrant d'asthme modéré à grave, doivent suivre un traitement au long cours et prendre des médicaments (par exemple des anti-inflammatoires) chaque jour pour endiguer l'inflammation sous-jacente et prévenir les symptômes et les crises. Si les symptômes apparaissent, des médicaments d'action rapide peuvent les soulager. Les médicaments ne sont pas le seul moyen de lutter contre la maladie. Il est également important d'éviter tout ce qui déclenche des crises, les stimulants qui irritent et enflamment les voies respiratoires et qui aggravent l'asthme. Chaque personne doit apprendre à éviter ce qui déclenche ses crises. La question que se pose toute maman ayant un enfant asthmatique est : mon petit peut-il guérir de son asthme ? Si l'inflammation des bronches n'est pas combattue par des médicaments adaptés, elle va persister et même augmenter. Elle entraîne alors un épaississement de la paroi des bronches, ce qui leur fait perdre leur souplesse. L'évolution à l'âge adulte dépend surtout de la gravité de l'asthme pendant l'enfance. Le plus souvent, si l'asthme est léger, il le restera. Au contraire, si l'asthme est grave pendant l'enfance, il a peu de chances de devenir léger. Sans dramatiser, il faut bien surveiller un enfant asthmatique, même si son asthme est léger.