Cette nouvelle mise en garde a été formulée à l'issue de la réunion du Bureau du secrétariat national du Polisario et consacrée aux derniers développements de la question sahraouie aux Nations Unies Cette nouvelle mise en garde a été formulée à l'issue de la réunion du Bureau du secrétariat national du Polisario et consacrée aux derniers développements de la question sahraouie aux Nations Unies C'est dans des propos à peine nuancés que le Front Polisario a tenu à mettre en garde le royaume du Maroc contre toute tentative visant à dénaturer le conflit qui oppose les deux parties, tout en réaffirmant son rejet au processus visant la négation des droits du peuple sahraoui à l'autodétermination et à l'indépendance. Cette nouvelle mise en garde a été formulée à l'issue de la réunion du Bureau du secrétariat national du Polisario, tenue à Bir Lahlou, dans les territoires sahraouis libérés, sous la présidence de M. Mohamed Abdelaziz, président de la RASD, et consacrée aux derniers développements de la question sahraouie aux Nations Unies, à la lumière de l'adoption, par le Conseil de sécurité, le 30 avril dernier, de la résolution 1813. Le front Polisario a affirmé qu'il n'accepterait "ni aujourd'hui, ni demain" d'entrer dans un processus visant la négation des droits inaliénables et imprescriptibles du peuple sahraoui, tout en se félicitant du fait que, par cette nouvelle résolution, le Conseil de sécurité "ait décidé de consacrer la légalité internationale et réaffirmé la pertinence des résolutions 1754 et 1783 appelant les deux parties en conflit à engager des négociations, en vue d'aboutir à une solution garantissant le droit inaliénable du peuple sahraoui". Le Front Polisario qui considère l'approche personnelle prônée par M. Peter Van Walsum d'"illégale, injuste et complètement alignée sur les thèses de l'occupant colonial marocain", "condamne avec vigueur cette approche" et estime que M. Walsum " a perdu la confiance du peuple sahraoui et, partant, ne peut plus jouer de rôle dans le processus en cours visant la décolonisation du Sahara occidental". Par ailleurs, et dans le cadre de la solidarité avec le peuple sahraoui, une délégation de l'Union internationale de la jeunesse socialiste se trouve, depuis samedi dernier, dans les camps de réfugiés sahraouis, sous la conduite de la présidente, la néo-zélandaise Jacinda Ardern, la SG, l'irlandaise Yvonne O'Callaghan et la vice-présidentede l'Union et coordinatrice de la Commission africaine auprès de l'Union, la béninoise Judicael Biaou. La visite dans les camps de réfugiés sahraouis et les contacts établis avec l'Union de la jeunesse sahraouie et le Front Polisario constituent un premier pas dans le cadre d'un projet que l'Union a décidé de mener, à savoir la consolidation de la paix dans la région, a indiqué Mme Jacinda Ardern. Relevant de l'Internationale socialiste dont le siège est à Londres, l'Union internationale de la jeunesse socialiste est la plus importante organisation juvénile dans le monde regroupant 150 organisations de partis socialistes et travaillistes et de la social-démocratie dans une centaine de pays, dont l'Union nationale de la jeunesse de Sakiet El Hamra et de Oued Edheb. Lors de son séjour dans les camps de réfugiés sahraouis, la délégation devait rencontrer les responsables de l'Union de la jeunesse sahraouie et les dirigeants du Front Polisario, mais également des organisations de la société civile qui jouent, désormais, un rôle prépondérant dans la sensibilisation à la justesse de la cause du peuple sahraoui via un réseau de relations internationales. C'est dans des propos à peine nuancés que le Front Polisario a tenu à mettre en garde le royaume du Maroc contre toute tentative visant à dénaturer le conflit qui oppose les deux parties, tout en réaffirmant son rejet au processus visant la négation des droits du peuple sahraoui à l'autodétermination et à l'indépendance. Cette nouvelle mise en garde a été formulée à l'issue de la réunion du Bureau du secrétariat national du Polisario, tenue à Bir Lahlou, dans les territoires sahraouis libérés, sous la présidence de M. Mohamed Abdelaziz, président de la RASD, et consacrée aux derniers développements de la question sahraouie aux Nations Unies, à la lumière de l'adoption, par le Conseil de sécurité, le 30 avril dernier, de la résolution 1813. Le front Polisario a affirmé qu'il n'accepterait "ni aujourd'hui, ni demain" d'entrer dans un processus visant la négation des droits inaliénables et imprescriptibles du peuple sahraoui, tout en se félicitant du fait que, par cette nouvelle résolution, le Conseil de sécurité "ait décidé de consacrer la légalité internationale et réaffirmé la pertinence des résolutions 1754 et 1783 appelant les deux parties en conflit à engager des négociations, en vue d'aboutir à une solution garantissant le droit inaliénable du peuple sahraoui". Le Front Polisario qui considère l'approche personnelle prônée par M. Peter Van Walsum d'"illégale, injuste et complètement alignée sur les thèses de l'occupant colonial marocain", "condamne avec vigueur cette approche" et estime que M. Walsum " a perdu la confiance du peuple sahraoui et, partant, ne peut plus jouer de rôle dans le processus en cours visant la décolonisation du Sahara occidental". Par ailleurs, et dans le cadre de la solidarité avec le peuple sahraoui, une délégation de l'Union internationale de la jeunesse socialiste se trouve, depuis samedi dernier, dans les camps de réfugiés sahraouis, sous la conduite de la présidente, la néo-zélandaise Jacinda Ardern, la SG, l'irlandaise Yvonne O'Callaghan et la vice-présidentede l'Union et coordinatrice de la Commission africaine auprès de l'Union, la béninoise Judicael Biaou. La visite dans les camps de réfugiés sahraouis et les contacts établis avec l'Union de la jeunesse sahraouie et le Front Polisario constituent un premier pas dans le cadre d'un projet que l'Union a décidé de mener, à savoir la consolidation de la paix dans la région, a indiqué Mme Jacinda Ardern. Relevant de l'Internationale socialiste dont le siège est à Londres, l'Union internationale de la jeunesse socialiste est la plus importante organisation juvénile dans le monde regroupant 150 organisations de partis socialistes et travaillistes et de la social-démocratie dans une centaine de pays, dont l'Union nationale de la jeunesse de Sakiet El Hamra et de Oued Edheb. Lors de son séjour dans les camps de réfugiés sahraouis, la délégation devait rencontrer les responsables de l'Union de la jeunesse sahraouie et les dirigeants du Front Polisario, mais également des organisations de la société civile qui jouent, désormais, un rôle prépondérant dans la sensibilisation à la justesse de la cause du peuple sahraoui via un réseau de relations internationales.