Stade 1er novembre de Tizi- Ouzou, temps brumeux, affluence record. Avertissements : Dehouche ( JSK), Kamilou et Gaha (coton sport) Buts : Bensaid ( 6è) et chaouchi (88è) (Jsk) Kamilou pour Coton Sport ( 44è). Composition des équipes : JSK: - C haouchi- Meftah , Douicher , Coulibaly, Abdeslam, Demba, Dehouche, Wassiou, Amaouche, Bensaid, Derrag. Coton Sport de Garoua: Ahmadou, Mdazana , Gaha, Kingo , Makadji, Abdul, Omaro, Osmaira, Zoua, Kamilou, M assano Arbitres : trio tunisien : Djedida, Saarah et Amina Fathi Stade 1er novembre de Tizi- Ouzou, temps brumeux, affluence record. Avertissements : Dehouche ( JSK), Kamilou et Gaha (coton sport) Buts : Bensaid ( 6è) et chaouchi (88è) (Jsk) Kamilou pour Coton Sport ( 44è). Composition des équipes : JSK: - C haouchi- Meftah , Douicher , Coulibaly, Abdeslam, Demba, Dehouche, Wassiou, Amaouche, Bensaid, Derrag. Coton Sport de Garoua: Ahmadou, Mdazana , Gaha, Kingo , Makadji, Abdul, Omaro, Osmaira, Zoua, Kamilou, M assano Arbitres : trio tunisien : Djedida, Saarah et Amina Fathi L'exploit tant attendu et espéré de voir la JSK remonter à domicile son handicap de buts de 3 à 0, encaissé à l'aller, n'a pas eu lieu. La victoire de 2 à 1 arrachée au forceps à Tizi- Ouzou, vendredi, au match retour contre la coriace équipe camerounaise du Coton Sport de Garaoua pour le compte des 8eme de finale de la ligue des champions d'Afrique, demeure nettement insuffisante pour une qualification à la phase des poules de cette compétition continentale. Le but précoce, marqué à la 6eme minute de la première mi-temps par Bensaid, bien qu'ayant suscité un grand espoir parmi les supporters, venus en nombre record de tous les coins du pays pour galvaniser ses favoris, n' a malheureusement pas tenu ses promesses, puisque les camarades d'Amaouche, égal à lui-même par ailleurs, ont raté une pelle d'occasions, avant de voir, contre toute attente, l'équipe camerounaise égaliser une minute avant la pause. Cette réalisation de Coton Sport, venant confirmer que les joueurs de cette équipe n'ont point les jambes en «coton», a considérablement compliqué la mission des protégés de Saib Moussa, tant il fallait marquer 4 autres buts sans en encaisser pour espérer renverser la vapeur. Désespérés par cette tournure désavantageuse de la rencontre, nombreux ont été les spectateurs qui ont préféré quitter le stade avant la fin de la première mi-temps. Une minorité de ceux qui sont restés s'en sont pris au président du club, en l'accusant d'être responsable de la «débâcle». Des déchaînés ont même déversé leur colère sur les cabines de presse et les grilles de l'enceinte du stade. En deuxième mi-temps, les joueurs de la Jsk étaient visiblement démoralisés par le but encaissé, ce dont profitèrent habilement les camerounais, surtout que le style du jeu adopté par les verts et jaunes, consistant en des passes longues et aériennes, arrangeait parfaitement leurs affaires au vu de leur gabarit. Le penalty obtenu à deux minutes de la fin par la JSK et transformé par le gardien Chaouchi ne pouvait pas changer le cours de la partie, tant il est venu trop tard. D'ailleurs, même le président du club, Mohand cherif Hannachi a qualifié ce penalty accordé à son équipe de «parade trouvé par l'arbitre pour se blanchir la conscience, après nous avoir privé de 2 penaltys indiscutables au moment opportun ou nous pouvions tuer le match». S'en prenant toujours à l'arbitre, il dira sur un ton catégorique «au match aller, le référée nous a coupé les jambes, celui d'aujourd'hui nous a achevé». S'exprimant à l'endroit des fauteurs de troubles, il a affirmé que «ceux-là n'ont rien à voir avec la Jsk, ils rendraient mieux service au club en restant chez eux». De son coté, l'entraîneur Saib a estimé que les «jeunes méritent plus d'égards, car ils ont donné le maximum d'eux tout le long de la saison sportive couronnée par un titre de champion et une qualification pour la coupe de la Caf», tout en avouant, toutefois, que «le niveau de la Jsk aligné sur celui du football algérien se situe en deçà de celui exigé par celui de la ligue des champions d'Afrique». Porté aux anges par la performance de ses protégés, l'entraîneur de Coton Sport, le français Denis Lavagne, ne cache pas sa satisfaction, en déclarant que «cette victoire nous permet de rentrer dans la cour des grands». Avec cette qualification qui confirme notre résultat de l'aller, nous comptons «aller le plus loin possible», a-t-il ajouté. L'exploit tant attendu et espéré de voir la JSK remonter à domicile son handicap de buts de 3 à 0, encaissé à l'aller, n'a pas eu lieu. La victoire de 2 à 1 arrachée au forceps à Tizi- Ouzou, vendredi, au match retour contre la coriace équipe camerounaise du Coton Sport de Garaoua pour le compte des 8eme de finale de la ligue des champions d'Afrique, demeure nettement insuffisante pour une qualification à la phase des poules de cette compétition continentale. Le but précoce, marqué à la 6eme minute de la première mi-temps par Bensaid, bien qu'ayant suscité un grand espoir parmi les supporters, venus en nombre record de tous les coins du pays pour galvaniser ses favoris, n' a malheureusement pas tenu ses promesses, puisque les camarades d'Amaouche, égal à lui-même par ailleurs, ont raté une pelle d'occasions, avant de voir, contre toute attente, l'équipe camerounaise égaliser une minute avant la pause. Cette réalisation de Coton Sport, venant confirmer que les joueurs de cette équipe n'ont point les jambes en «coton», a considérablement compliqué la mission des protégés de Saib Moussa, tant il fallait marquer 4 autres buts sans en encaisser pour espérer renverser la vapeur. Désespérés par cette tournure désavantageuse de la rencontre, nombreux ont été les spectateurs qui ont préféré quitter le stade avant la fin de la première mi-temps. Une minorité de ceux qui sont restés s'en sont pris au président du club, en l'accusant d'être responsable de la «débâcle». Des déchaînés ont même déversé leur colère sur les cabines de presse et les grilles de l'enceinte du stade. En deuxième mi-temps, les joueurs de la Jsk étaient visiblement démoralisés par le but encaissé, ce dont profitèrent habilement les camerounais, surtout que le style du jeu adopté par les verts et jaunes, consistant en des passes longues et aériennes, arrangeait parfaitement leurs affaires au vu de leur gabarit. Le penalty obtenu à deux minutes de la fin par la JSK et transformé par le gardien Chaouchi ne pouvait pas changer le cours de la partie, tant il est venu trop tard. D'ailleurs, même le président du club, Mohand cherif Hannachi a qualifié ce penalty accordé à son équipe de «parade trouvé par l'arbitre pour se blanchir la conscience, après nous avoir privé de 2 penaltys indiscutables au moment opportun ou nous pouvions tuer le match». S'en prenant toujours à l'arbitre, il dira sur un ton catégorique «au match aller, le référée nous a coupé les jambes, celui d'aujourd'hui nous a achevé». S'exprimant à l'endroit des fauteurs de troubles, il a affirmé que «ceux-là n'ont rien à voir avec la Jsk, ils rendraient mieux service au club en restant chez eux». De son coté, l'entraîneur Saib a estimé que les «jeunes méritent plus d'égards, car ils ont donné le maximum d'eux tout le long de la saison sportive couronnée par un titre de champion et une qualification pour la coupe de la Caf», tout en avouant, toutefois, que «le niveau de la Jsk aligné sur celui du football algérien se situe en deçà de celui exigé par celui de la ligue des champions d'Afrique». Porté aux anges par la performance de ses protégés, l'entraîneur de Coton Sport, le français Denis Lavagne, ne cache pas sa satisfaction, en déclarant que «cette victoire nous permet de rentrer dans la cour des grands». Avec cette qualification qui confirme notre résultat de l'aller, nous comptons «aller le plus loin possible», a-t-il ajouté.
