Les médecins vétérinaires se disent épaulés dans leur initiative par les différentes structures régionales, après avoir reçu les procès-verbaux des assemblées générales de 41 wilayas adhérentes. Les médecins vétérinaires se disent épaulés dans leur initiative par les différentes structures régionales, après avoir reçu les procès-verbaux des assemblées générales de 41 wilayas adhérentes. Le Syndicat national des vétérinaires fonctionnaires de l'administration publique (SNVFAP), décrète une grève de sept jours, et ce du 31 mai au 6 juin prochain. En effet, cette décision a été prise à l'issue du conseil consultatif de ce syndicat, qui s'est tenu en date du 8 juin dernier, et le préavis de grève déposé le 21 mai dernier, lit-on dans un communiqué parvenu à notre rédaction. Le syndicat des médecins vétérinaires, faut-il le rappeler, a déjà observé, du 14 avril au 02 mai dernier, un mouvement de protestation dit alors «griffe de la colère ». Cette démonstration de force n'a pourtant pas donné de résultats, et ce, malgré la sagesse dont ont fait montre les vétérinaires, qui ont repris du service et émis de multiples demandes d'audience auprès des responsables du secteur, affirment les rédacteurs du communiqué. « Devant le silence des autorités compétentes, à savoir la Direction générale de la Fonction publique et le ministère des Finances, et face à la situation de blocage dans lequel se trouve son avant-projet de statut, et le marasme que vivent les médecins vétérinaires», le SNVFAP a décidé d'une autre grève, afin de réitérer ses revendications non encore satisfaites, lit-on encore dans le même communiqué. Les revendications des vétérinaires s'articulent autour de l'aboutissement de l'avant-projet de statut des médecins vétérinaires et médecins vétérinaires spécialistes, tel qu'il a été rédigé en commun avec la tutelle, et de la récupération de la prime vétérinaire spécifique, qui a été assimilée par le ministère des Finances à l'indemnité globale spécifique. Aussi, les médecins vétérinaires réclament-ils qu'ils soient associés dans les discussions concernant le projet du régime indemnitaire, mais aussi l'ouverture d'un dialogue sur le fonctionnement et le devenir des services vétérinaires. Toutefois, le Syndicat national des vétérinaires fonctionnaires de l'administration publique (SNVFAP) a pris le soin d'assurer un service minimum durant les sept journées de débrayage, pour ne pas pénaliser les consommateurs. «Le SNVFAP a veillé au respect de toutes les lois en vigueur afin d'éviter toute décision de gel de sa grève des 7 jours par la justice», prévoient les rédacteurs du communiqué, décidés d'aller jusqu'au bout de leurs revendications, et surtout réussir cette énième grève. Par ailleurs, les médecins vétérinaires se disent épaulés dans leur initiative par les différentes structures régionales, après avoir reçu les procès-verbaux des assemblées générales de 41 wilayas adhérentes. Ces dernières ont mandaté le conseil national consultatif du syndicat des vétérinaires à prendre toutes les dispositions nécessaires et donner suite au mouvement de protestation. Pour rappel, la récente grève observée par les vétérinaires a eu des répercussions néfastes, puisque plusieurs conteneurs de viande sont restés bloqués au port d'Alger. Le Syndicat national des vétérinaires fonctionnaires de l'administration publique (SNVFAP), décrète une grève de sept jours, et ce du 31 mai au 6 juin prochain. En effet, cette décision a été prise à l'issue du conseil consultatif de ce syndicat, qui s'est tenu en date du 8 juin dernier, et le préavis de grève déposé le 21 mai dernier, lit-on dans un communiqué parvenu à notre rédaction. Le syndicat des médecins vétérinaires, faut-il le rappeler, a déjà observé, du 14 avril au 02 mai dernier, un mouvement de protestation dit alors «griffe de la colère ». Cette démonstration de force n'a pourtant pas donné de résultats, et ce, malgré la sagesse dont ont fait montre les vétérinaires, qui ont repris du service et émis de multiples demandes d'audience auprès des responsables du secteur, affirment les rédacteurs du communiqué. « Devant le silence des autorités compétentes, à savoir la Direction générale de la Fonction publique et le ministère des Finances, et face à la situation de blocage dans lequel se trouve son avant-projet de statut, et le marasme que vivent les médecins vétérinaires», le SNVFAP a décidé d'une autre grève, afin de réitérer ses revendications non encore satisfaites, lit-on encore dans le même communiqué. Les revendications des vétérinaires s'articulent autour de l'aboutissement de l'avant-projet de statut des médecins vétérinaires et médecins vétérinaires spécialistes, tel qu'il a été rédigé en commun avec la tutelle, et de la récupération de la prime vétérinaire spécifique, qui a été assimilée par le ministère des Finances à l'indemnité globale spécifique. Aussi, les médecins vétérinaires réclament-ils qu'ils soient associés dans les discussions concernant le projet du régime indemnitaire, mais aussi l'ouverture d'un dialogue sur le fonctionnement et le devenir des services vétérinaires. Toutefois, le Syndicat national des vétérinaires fonctionnaires de l'administration publique (SNVFAP) a pris le soin d'assurer un service minimum durant les sept journées de débrayage, pour ne pas pénaliser les consommateurs. «Le SNVFAP a veillé au respect de toutes les lois en vigueur afin d'éviter toute décision de gel de sa grève des 7 jours par la justice», prévoient les rédacteurs du communiqué, décidés d'aller jusqu'au bout de leurs revendications, et surtout réussir cette énième grève. Par ailleurs, les médecins vétérinaires se disent épaulés dans leur initiative par les différentes structures régionales, après avoir reçu les procès-verbaux des assemblées générales de 41 wilayas adhérentes. Ces dernières ont mandaté le conseil national consultatif du syndicat des vétérinaires à prendre toutes les dispositions nécessaires et donner suite au mouvement de protestation. Pour rappel, la récente grève observée par les vétérinaires a eu des répercussions néfastes, puisque plusieurs conteneurs de viande sont restés bloqués au port d'Alger.