Une rencontre a été annoncée pour demain à al-Qods occupée, au cours de laquelle MM. Abbas et Olmert se pencheront «sur les négociation en cours, la situation sur le terrain et l'instauration d'une trêve» à Ghaza, a indiqué le chef des négociateurs palestiniens. Une rencontre a été annoncée pour demain à al-Qods occupée, au cours de laquelle MM. Abbas et Olmert se pencheront «sur les négociation en cours, la situation sur le terrain et l'instauration d'une trêve» à Ghaza, a indiqué le chef des négociateurs palestiniens. Une nouvelle rencontre est prévue demain entre le président palestinien Mahmoud Abbas et le Premier ministre israélien Ehud Olmert, pour parler du processus de paix toujours au point mort en raison de la politique d'Israël qui ne respecte pas ses engagements internationaux. Une rencontre a été annoncée pour demain à al-Qods occupée, au cours de laquelle MM. Abbas et Olmert se pencheront «sur les négociation en cours, la situation sur le terrain et l'instauration d'une trêve» à Ghaza, a indiqué le chef des négociateurs palestiniens, Saëb Erekat. Elle se tiendra à la mi-journée à la résidence de fonction du Premier ministre israélien, avant son départ pour une visite à Washington appelée à faire pression sur les Israéliens pour respecter le processus de paix. La dernière rencontre entre les deux dirigeants avait eu lieu le 5 mai sans toutefois donner des résultats qui permettent donné un nouveau souffle au processus de paix relancé lors de la conférence d'Annapolis, aux Etats-Unis. Israéliens et Palestiniens ont repris les discussions de paix en novembre dernier sous les auspices des Etats-Unis avec l'objectif notamment de parvenir à un accord de paix avant la fin 2008, mais les discussions n'ont enregistré aucune percée depuis, soulignent les observateurs. Récemment, M. Abbas a déclaré que le processus de paix israélo-palestinien est toujours au point mort, et «aucun progrès» n'a été réalisé en matière de sécurité, et ce, à cause de l'absence de pression américaine sur Israël. «Aucun progrès ne peut se faire sans une véritable pression américaine sur le gouvernement israélien, afin de parvenir à une solution avant la fin de cette année», avait-il dit lors d'une rencontre avec le leader le Front démocratique de libération de la Palestine (FDLP). «Les négociations n'avancent ni sur la question d'Al-Qods (occupée), ni sur celle des réfugiés, des frontières ou des colonies et aucun progrès en matière de paix ou de sécurité n'a été enregistré», a fait savoir M. Abbas. Pour sa part, M. Hawatmeh s'est déclaré en faveur d'un «arrêt des négociations jusqu'à ce que cessent la colonisation et les hostilités». Mercredi dernier, M. Erekat avait fait état de blocage sur tous les dossiers qui sont sur la table des négociations qui, souligne-t-il «font face à de véritables difficultés», parmi lesquelles figurent «le blocus, les points de passage, les murs et la poursuite des activités de colonisation». Le responsable palestinien a également appelé Washington à faire pression sur Israël afin de changer sa politique et d'honorer ses engagements envers la communauté internationale. Israël poursuit ses agressions dans les territoires palestiniens, alors que des efforts sont déployés par de nombreuses parties afin de ramener la paix dans la région. Le prix Nobel de la paix sud-africain, Desmond Tutu, a déploré jeudi «le silence et la complicité» de la communauté internationale face à la situation «abominable» à Ghaza en raison de la poursuite des agressions israéliennes et du blocus imposé sur ce territoire. Concernant toujours la situation à Ghaza, l'avocate et universitaire britannique Christine Chinkin, qui fait partie de la mission, a estimé qu'Israël pourrait être tenu pour responsable d'un «crime de guerre» pour ce drame et «peut-être de crime contre l'humanité» en imposant une «punition collective» aux habitants de ce territoire. Une nouvelle rencontre est prévue demain entre le président palestinien Mahmoud Abbas et le Premier ministre israélien Ehud Olmert, pour parler du processus de paix toujours au point mort en raison de la politique d'Israël qui ne respecte pas ses engagements internationaux. Une rencontre a été annoncée pour demain à al-Qods occupée, au cours de laquelle MM. Abbas et Olmert se pencheront «sur les négociation en cours, la situation sur le terrain et l'instauration d'une trêve» à Ghaza, a indiqué le chef des négociateurs palestiniens, Saëb Erekat. Elle se tiendra à la mi-journée à la résidence de fonction du Premier ministre israélien, avant son départ pour une visite à Washington appelée à faire pression sur les Israéliens pour respecter le processus de paix. La dernière rencontre entre les deux dirigeants avait eu lieu le 5 mai sans toutefois donner des résultats qui permettent donné un nouveau souffle au processus de paix relancé lors de la conférence d'Annapolis, aux Etats-Unis. Israéliens et Palestiniens ont repris les discussions de paix en novembre dernier sous les auspices des Etats-Unis avec l'objectif notamment de parvenir à un accord de paix avant la fin 2008, mais les discussions n'ont enregistré aucune percée depuis, soulignent les observateurs. Récemment, M. Abbas a déclaré que le processus de paix israélo-palestinien est toujours au point mort, et «aucun progrès» n'a été réalisé en matière de sécurité, et ce, à cause de l'absence de pression américaine sur Israël. «Aucun progrès ne peut se faire sans une véritable pression américaine sur le gouvernement israélien, afin de parvenir à une solution avant la fin de cette année», avait-il dit lors d'une rencontre avec le leader le Front démocratique de libération de la Palestine (FDLP). «Les négociations n'avancent ni sur la question d'Al-Qods (occupée), ni sur celle des réfugiés, des frontières ou des colonies et aucun progrès en matière de paix ou de sécurité n'a été enregistré», a fait savoir M. Abbas. Pour sa part, M. Hawatmeh s'est déclaré en faveur d'un «arrêt des négociations jusqu'à ce que cessent la colonisation et les hostilités». Mercredi dernier, M. Erekat avait fait état de blocage sur tous les dossiers qui sont sur la table des négociations qui, souligne-t-il «font face à de véritables difficultés», parmi lesquelles figurent «le blocus, les points de passage, les murs et la poursuite des activités de colonisation». Le responsable palestinien a également appelé Washington à faire pression sur Israël afin de changer sa politique et d'honorer ses engagements envers la communauté internationale. Israël poursuit ses agressions dans les territoires palestiniens, alors que des efforts sont déployés par de nombreuses parties afin de ramener la paix dans la région. Le prix Nobel de la paix sud-africain, Desmond Tutu, a déploré jeudi «le silence et la complicité» de la communauté internationale face à la situation «abominable» à Ghaza en raison de la poursuite des agressions israéliennes et du blocus imposé sur ce territoire. Concernant toujours la situation à Ghaza, l'avocate et universitaire britannique Christine Chinkin, qui fait partie de la mission, a estimé qu'Israël pourrait être tenu pour responsable d'un «crime de guerre» pour ce drame et «peut-être de crime contre l'humanité» en imposant une «punition collective» aux habitants de ce territoire.