Amar Tou, lors de son passage à la Télévision nationale, n'a pas omis de mettre le doigt sur la plaie pour constater les dysfonctionnements et les anomalies dans la perspective de prodiguer le «traitement» nécessaire afin d'y remédier. Amar Tou, lors de son passage à la Télévision nationale, n'a pas omis de mettre le doigt sur la plaie pour constater les dysfonctionnements et les anomalies dans la perspective de prodiguer le «traitement» nécessaire afin d'y remédier. C'est un vrai diagnostic qu'a établi Amar Tou dans le secteur de la santé lors de son passage à la Télévision nationale. De la désorganisation régnant dans les hôpitaux et autres centres de soins, à la fermeture des cliniques privées en passant par le chantier des réformes insufflées au secteur, il n'a pas omis de mettre le doigt sur la plaie, pour constater les dysfonctionnements et les anomalies, dans la perspective de prodiguer le «traitement» nécessaire afin d'y remédier. En effet, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, a reconnu que la désorganisation enregistrée dans les urgences médicales figure parmi les points noirs du secteur de la santé. Amar Tou, qui était l'invité de l'émission «Forum de la télévision», a affirmé que ce problème devra être réglé à travers, notamment, la création de structures sanitaires au niveau des grands axes routiers enregistrant des accidents de la circulation et en dehors des grands hôpitaux qui accueillent un nombre important de malades. Cela étant dit, le ministre a estimé qu'il n'était pas facile de maîtriser le problème des urgences médicales, dans la mesure où l'on ne connaît pas la nature des maladies, assurant dans ce contexte que ce problème sera réglé grâce à la mise en réseau intranet du système de gestion des rendez-vous médicaux et d'orientation des malades. A vrai dire, les enregistrements de malades, leur admission dans les structures sanitaires et la gestion même de ces infrastructures sont source de sérieux désagréments pour l'ensemble des citoyens. D'où l'urgence d'une thérapie adéquate, susceptible d'améliorer les prestations sanitaires et de repenser le système à même de permettre une meilleure qualité de soins pour les patients. Concernant la fermeture de certaines cliniques privées, Amar Tou a affirmé que cette décision est intervenue suite à certaines infractions enregistrées, dont l'absence de registres des malades, le manque de spécialistes et l'inadéquation des blocs opératoires. En outre, les chirurgiens opérant dans nombre de ces cliniques ne sont pas connus, a précisé le ministre. «Le ministère prévoit les mêmes sanctions pour les secteurs public et privé en cas d'infraction à la loi», a-t-il indiqué, ajoutant que «la fermeture était temporaire et que la sanction sera levée dès que les cliniques en question se conformeront à la réglementation». Par ailleurs, le ministre a souligné la nécessité d'encourager l'investissement dans le secteur privé qui représente actuellement 6 % seulement de l'ensemble des structures de santé en Algérie, soit 3.000 lits contre 62.000 pour le secteur public. Concernant les interventions chirurgicales, le ministre a affirmé que le secteur public a assuré 90 % des opérations durant l'année 2007, soit l'équivalent de 574.000 opérations. Pour ce qui est des carences enregistrées dans les régions des Hauts Plateaux et du Sud, le ministre de la santé a affirmé que les wilayas d'Illizi, Béchar et Tindouf ont bénéficié de médecins spécialistes, indiquant que 60 % des praticiens affectés dans ces régions devront s'y établir car, «l'Etat a réuni toutes les conditions nécessaires à cet effet», a-t-il expliqué. C'est un vrai diagnostic qu'a établi Amar Tou dans le secteur de la santé lors de son passage à la Télévision nationale. De la désorganisation régnant dans les hôpitaux et autres centres de soins, à la fermeture des cliniques privées en passant par le chantier des réformes insufflées au secteur, il n'a pas omis de mettre le doigt sur la plaie, pour constater les dysfonctionnements et les anomalies, dans la perspective de prodiguer le «traitement» nécessaire afin d'y remédier. En effet, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, a reconnu que la désorganisation enregistrée dans les urgences médicales figure parmi les points noirs du secteur de la santé. Amar Tou, qui était l'invité de l'émission «Forum de la télévision», a affirmé que ce problème devra être réglé à travers, notamment, la création de structures sanitaires au niveau des grands axes routiers enregistrant des accidents de la circulation et en dehors des grands hôpitaux qui accueillent un nombre important de malades. Cela étant dit, le ministre a estimé qu'il n'était pas facile de maîtriser le problème des urgences médicales, dans la mesure où l'on ne connaît pas la nature des maladies, assurant dans ce contexte que ce problème sera réglé grâce à la mise en réseau intranet du système de gestion des rendez-vous médicaux et d'orientation des malades. A vrai dire, les enregistrements de malades, leur admission dans les structures sanitaires et la gestion même de ces infrastructures sont source de sérieux désagréments pour l'ensemble des citoyens. D'où l'urgence d'une thérapie adéquate, susceptible d'améliorer les prestations sanitaires et de repenser le système à même de permettre une meilleure qualité de soins pour les patients. Concernant la fermeture de certaines cliniques privées, Amar Tou a affirmé que cette décision est intervenue suite à certaines infractions enregistrées, dont l'absence de registres des malades, le manque de spécialistes et l'inadéquation des blocs opératoires. En outre, les chirurgiens opérant dans nombre de ces cliniques ne sont pas connus, a précisé le ministre. «Le ministère prévoit les mêmes sanctions pour les secteurs public et privé en cas d'infraction à la loi», a-t-il indiqué, ajoutant que «la fermeture était temporaire et que la sanction sera levée dès que les cliniques en question se conformeront à la réglementation». Par ailleurs, le ministre a souligné la nécessité d'encourager l'investissement dans le secteur privé qui représente actuellement 6 % seulement de l'ensemble des structures de santé en Algérie, soit 3.000 lits contre 62.000 pour le secteur public. Concernant les interventions chirurgicales, le ministre a affirmé que le secteur public a assuré 90 % des opérations durant l'année 2007, soit l'équivalent de 574.000 opérations. Pour ce qui est des carences enregistrées dans les régions des Hauts Plateaux et du Sud, le ministre de la santé a affirmé que les wilayas d'Illizi, Béchar et Tindouf ont bénéficié de médecins spécialistes, indiquant que 60 % des praticiens affectés dans ces régions devront s'y établir car, «l'Etat a réuni toutes les conditions nécessaires à cet effet», a-t-il expliqué.