A l'approche du 3e congrès ordinaire du parti, le Rassemblement national démocratique (RND), multiplie ses rencontres en vue de finaliser les préparatifs avant le jour J. Et comme pour prévenir, vraisemblablement, toute crise pouvant émailler ce rendez-vous important pour le parti, les cadres du RND lancent dores et déjà, un appel au « dialogue et la concertation » à l'ensemble des militants du parti. « Le RND œuvre pour le dialogue et la concertation sociale mais dans un cadre organisé », a indiqué en substance, ce jeudi, à partir de Constantine, un membre de la direction nationale du parti, Abdelkrim Harchaoui. S'exprimant dans un point de presse tenu en marge des assises régionales des wilayas de l'Est, organisées à Constantine en préparation du 3ème congrès du parti, M. Harchaoui a estimé que le «déficit en dialogue et communication pourrait expliquer l'origine des crises et des drames de par le monde ». Pour M. Harchaoui, le dialogue est un «facteur de cohésion et de stabilité sociales », attributs dont, affirme t-il, « l'Algérie a le plus besoin en ce moment ». Il insiste, ainsi, sur la consolidation de la stabilité du pays qui, a-il dit, est « un préalable à toute intégration dans l'économie mondiale ». Dans ce sens, M. Harchaoui a mis un accent particulier sur les réformes qui, a-t-il fait remarquer, doivent être «permanentes », car le monde est en constante et rapide évolution imposant une remise en question perpétuelle même aux pays les plus avancés. Toujours dans le volet économique, le cadre du RND a souligné que « notre vœu le plus cher est de sortir le pays de la fragilité due à sa dépendance des hydrocarbures dont les prix et la demande sont fixés par les marchés internationaux ». Avertissant que le problème de l'insuffisance des denrées alimentaires sur les marchés internationaux est «structurel et non pas conjoncturel », M. Harchaoui a mis en avant le secteur de l'agriculture. Pour lui, ce secteur doit constituer une «priorité» car, a-t-il dit, «nous allons vers une époque où même avec notre argent, nous ne trouverons pas de denrées alimentaires à acheter ». Il préconise dans cette optique de donner plus de garanties aux fellahs et à leurs enfants pour redynamiser le secteur agricole dans le pays. Dans le même ordre d'idée, ce membre de la direction du RND estime en outre que « le pays doit structurer sa société civile et qu'il est temps de faire face aux réalités du pays sans les occulter », soulignant enfin, que "(nous) ne pouvons pas ouvrir notre pays de façon anarchique mais veiller à le servir même dans nos importations ». A l'approche du 3e congrès ordinaire du parti, le Rassemblement national démocratique (RND), multiplie ses rencontres en vue de finaliser les préparatifs avant le jour J. Et comme pour prévenir, vraisemblablement, toute crise pouvant émailler ce rendez-vous important pour le parti, les cadres du RND lancent dores et déjà, un appel au « dialogue et la concertation » à l'ensemble des militants du parti. « Le RND œuvre pour le dialogue et la concertation sociale mais dans un cadre organisé », a indiqué en substance, ce jeudi, à partir de Constantine, un membre de la direction nationale du parti, Abdelkrim Harchaoui. S'exprimant dans un point de presse tenu en marge des assises régionales des wilayas de l'Est, organisées à Constantine en préparation du 3ème congrès du parti, M. Harchaoui a estimé que le «déficit en dialogue et communication pourrait expliquer l'origine des crises et des drames de par le monde ». Pour M. Harchaoui, le dialogue est un «facteur de cohésion et de stabilité sociales », attributs dont, affirme t-il, « l'Algérie a le plus besoin en ce moment ». Il insiste, ainsi, sur la consolidation de la stabilité du pays qui, a-il dit, est « un préalable à toute intégration dans l'économie mondiale ». Dans ce sens, M. Harchaoui a mis un accent particulier sur les réformes qui, a-t-il fait remarquer, doivent être «permanentes », car le monde est en constante et rapide évolution imposant une remise en question perpétuelle même aux pays les plus avancés. Toujours dans le volet économique, le cadre du RND a souligné que « notre vœu le plus cher est de sortir le pays de la fragilité due à sa dépendance des hydrocarbures dont les prix et la demande sont fixés par les marchés internationaux ». Avertissant que le problème de l'insuffisance des denrées alimentaires sur les marchés internationaux est «structurel et non pas conjoncturel », M. Harchaoui a mis en avant le secteur de l'agriculture. Pour lui, ce secteur doit constituer une «priorité» car, a-t-il dit, «nous allons vers une époque où même avec notre argent, nous ne trouverons pas de denrées alimentaires à acheter ». Il préconise dans cette optique de donner plus de garanties aux fellahs et à leurs enfants pour redynamiser le secteur agricole dans le pays. Dans le même ordre d'idée, ce membre de la direction du RND estime en outre que « le pays doit structurer sa société civile et qu'il est temps de faire face aux réalités du pays sans les occulter », soulignant enfin, que "(nous) ne pouvons pas ouvrir notre pays de façon anarchique mais veiller à le servir même dans nos importations ».