Le premier secrétaire du Front des Forces Socialistes (FFS) a lancé, hier, dans son discours de clôture des travaux de la conférence nationale des élus de son parti qui se sont déroulés à Zéralda, les 5 et 6 juin, un appel aux citoyens, à faire preuve «de vigilance et de lucidité». Le responsable du FFS n'a pas manqué de lancer également un appel, demandant «la démocratisation du pouvoir» en s'étalant sur les révoltes quotidiennes qui secouent le pays dont «les jeunes sont les premières victimes» et «les manœuvres de coulisses enregistrées du Nord au Sud et d'Est en Ouest», lors des derniers élections législatives et locales. Selon Karim Tabbou, les émeutes et la tension sociale ne sont que la résultante de «l'inéquité des responsables de l'administration», affirmant que «l'alternative existe». Cette alternative est résumée par le premier secrétaire du FFS. C'est, dit-il «le retour de la confiance et des solutions viables aux problèmes qui se posent», prônant «un changement qui associe « les forces sociales, les politiques et la population ». Il est entendu, affirme-t-il que «la population est le moteur du changement», s'interrogeant sur l'utilité «de réviser, d'amender ou même d'annuler la Constitution». La révision de la Constitution, souligne-t-il «ne changera rien au problème », tant qu'il y aura «un des équilibre des forces et une alternance clanique au pouvoir». Selon lui, «seul le retour à la politique constitue l'alternance démocratique», saluant au passage l'initiative de Aït Ahmed, Abdelhamid Mehri et Mouloud Hamrouche, qui, souligne-t-il «prend de l'essor sur le terrain». Auparavant, abordant la situation interne du FFS, le premier secrétaire, a tenu à rassurer les militants quant à «la mise en place des organes de sa formation politique et de la relance du FFS», dont les maîtres mots sont «la rigueur dans le travail, redonner espoir aux populations et alléger leurs souffrances», reconnaissant toutefois «le recul de son parti», dû selon lui «à des raisons endogènes au parti». Prenant l'exemple de l'APC de Tizi-Ouzou qui a vu défiler pas moins de 7 présidents d'obédience FFS en 2 mandats, et qui finalement tombée entre les mains d'un autre parti, et celle d'El-kseur, il s'interroge. «Comment voulez-vous que les citoyens, dans ce cas, nous renouvellent leur confiance», tout en n'excluant pas «les tentatives de coup d'Etat dont a été victime le FFS à l'instar des autres partis politiques et organisations syndicales». Saluant les efforts des élus de son parti, malgré leur dispersion, le premier secrétaire du FFS souligne la nécessité de telles rencontres (conférence nationale), recommandant à ces mêmes élus à travailler « dans la sérénité et le sérieux », et à défendre le FFS «le pari des principes». Le premier secrétaire du Front des Forces Socialistes (FFS) a lancé, hier, dans son discours de clôture des travaux de la conférence nationale des élus de son parti qui se sont déroulés à Zéralda, les 5 et 6 juin, un appel aux citoyens, à faire preuve «de vigilance et de lucidité». Le responsable du FFS n'a pas manqué de lancer également un appel, demandant «la démocratisation du pouvoir» en s'étalant sur les révoltes quotidiennes qui secouent le pays dont «les jeunes sont les premières victimes» et «les manœuvres de coulisses enregistrées du Nord au Sud et d'Est en Ouest», lors des derniers élections législatives et locales. Selon Karim Tabbou, les émeutes et la tension sociale ne sont que la résultante de «l'inéquité des responsables de l'administration», affirmant que «l'alternative existe». Cette alternative est résumée par le premier secrétaire du FFS. C'est, dit-il «le retour de la confiance et des solutions viables aux problèmes qui se posent», prônant «un changement qui associe « les forces sociales, les politiques et la population ». Il est entendu, affirme-t-il que «la population est le moteur du changement», s'interrogeant sur l'utilité «de réviser, d'amender ou même d'annuler la Constitution». La révision de la Constitution, souligne-t-il «ne changera rien au problème », tant qu'il y aura «un des équilibre des forces et une alternance clanique au pouvoir». Selon lui, «seul le retour à la politique constitue l'alternance démocratique», saluant au passage l'initiative de Aït Ahmed, Abdelhamid Mehri et Mouloud Hamrouche, qui, souligne-t-il «prend de l'essor sur le terrain». Auparavant, abordant la situation interne du FFS, le premier secrétaire, a tenu à rassurer les militants quant à «la mise en place des organes de sa formation politique et de la relance du FFS», dont les maîtres mots sont «la rigueur dans le travail, redonner espoir aux populations et alléger leurs souffrances», reconnaissant toutefois «le recul de son parti», dû selon lui «à des raisons endogènes au parti». Prenant l'exemple de l'APC de Tizi-Ouzou qui a vu défiler pas moins de 7 présidents d'obédience FFS en 2 mandats, et qui finalement tombée entre les mains d'un autre parti, et celle d'El-kseur, il s'interroge. «Comment voulez-vous que les citoyens, dans ce cas, nous renouvellent leur confiance», tout en n'excluant pas «les tentatives de coup d'Etat dont a été victime le FFS à l'instar des autres partis politiques et organisations syndicales». Saluant les efforts des élus de son parti, malgré leur dispersion, le premier secrétaire du FFS souligne la nécessité de telles rencontres (conférence nationale), recommandant à ces mêmes élus à travailler « dans la sérénité et le sérieux », et à défendre le FFS «le pari des principes».