Le site virtuel second life est placé depuis quelque temps au banc des accusés pour incitation à la violence, propagation de sexe, et encouragement des jeux d'argent. Le site virtuel second life est placé depuis quelque temps au banc des accusés pour incitation à la violence, propagation de sexe, et encouragement des jeux d'argent. Autrement parler, les accusations portés à l'encontre de ce monde virtuel sont : infraction patrimoniales (vol, jeux d'argent, blanchiment, etc...) ou des infractions contre l'intégrité physique (pornographie, meurtre, viol, etc.). En France, des associations manifestent leur colère et réclament catégoriquement l'interdiction aux jeunes d'accès à ce site jugé potentiellement dangereux. En Algérie, nombreux sont les jeunes qui manifestent leur engouement pour ce site dont les versions basique et payante sont disponibles, donc facilement accessibles via le net. Les jeunes aujourd'hui, des quatre coins du monde, mènent une double vie : réelle et virtuelle. Chose qui est potentiellement dangereuse pour nombre de spécialistes qui mettent en gardes la population juvénile et les parents contre une dépendance au virtuel. Face au foisonnement des sites virtuels dont second life, la question qui se pose : Ce monde est-il en passe de prendre le dessus sur le monde réel ? Quels sont ses risques potentiels pour les jeunes accros ? Peut-il affecter le comportement de ces derniers ? Faut-il interdire le monde virtuel second Life ? Plus de 7 millions d'utilisateurs dont un pourcentage important de jeunes se trouvent actuellement sur le site de second life, une simulation sociétale virtuelle, permettant de vivre une "seconde vie" sous la forme d'un avatar dans un univers persistant géré par les joueurs. Ce monde créé officiellement en juillet 2003 par le studio californien Linden Lab, suscite l'admiration et l'engouement des jouvenceaux. Seulement, ce monde virtuel consistant en un jeu de rôle n'a pas tardé à susciter la colère des parents et des associations en France et dans quelques contrées du monde. De quoi l'accuse-t-on ? Sexe et jeux d'argent sont trop facilement accessibles aux enfants et ados dans Second Life ? Ce qui motive la demande de quelques associations françaises de l'interdiction d'accès, pour les mineurs, de ce jeu sur Internet. Théoriquement parlant, second life est interdite aux mineurs, car les jeunes dont l'âge est inférieur à 18 ans ne peuvent accéder qu'à une version édulcorée et payante, ce qui les empêchent d'accéder. Seulement, d'un point de vue pratique, il n'y a aucun contrà´le, car il suffit juste de mentir sur son âge. La réalité virtuelle de Second Life Seconde life n'est pas un jeu. C'est un monde virtuel dans lequel les participants sont appelés «résidents» et non «joueurs». Qu'ils aient accès à la version basique (non payante) ou à la premium (payante), il suffit aux résidants de vivre virtuellement. Ces derniers ont eux-mêmes l'opportunité de créer leur monde virtuel à l'image du monde réel, de s'approprié un espace défini. Le monde est constitué de plusieurs régions. Pour passer de l'une à l'autre, on utilise le moteur de recherche et la téléportation. A quoi sont exposés les jeunes ? L'enfant est exposé, à travers second life, à des scènes de violence sexuelles et des pratiques sexuelles différentes. Scène de viol, de bondage, de zoophilie. Aussi des liens vers des sites de pornographie ou de prostitution du monde réel sont proposés. L'enfant a aussi accès aux jeux d'argent, aux jeux de casinos, et des loteries. Même sans carte bancaire, le résidant peut, par exemple, miser l'argent gagné en se prostituant, toujours sans avoir besoin de carte bancaire. Les spécialistes menacent Contrairement à certains spécialistes qui ont confirmé le danger limite de second life, d'autres appellent à une limitation d'accès pour quelques catégories du public. Les jeunes et les ados étant particulièrement vulnérables, une forte exposition au virtuel risque de leur être nuisible. «Dans cette univers où? tous est permis, tout les maux sociaux, sexuels ou relationnels existent. Le résidant peut camper n'importe quel rôle. Ainsi, un enfant peut être violeur, délinquant, criminel ou autre. Le fait que ce monde prennent le dessus sur la réalité est possible, notamment lors d'une trop forte exposition à second life », confirme un psychologue. C'est à se questionner réellement si second life n'altère pas la perception des jeunes du monde réel, n'emmène pas à une identification aux avatars inventés via le site et n'ouvre pas grand la porte au déchaînement de pulsions de destructions dans cet univers ? Autrement parler, les accusations portés à l'encontre de ce monde virtuel sont : infraction patrimoniales (vol, jeux d'argent, blanchiment, etc...) ou des infractions contre l'intégrité physique (pornographie, meurtre, viol, etc.). En France, des associations manifestent leur colère et réclament catégoriquement l'interdiction aux jeunes d'accès à ce site jugé potentiellement dangereux. En Algérie, nombreux sont les jeunes qui manifestent leur engouement pour ce site dont les versions basique et payante sont disponibles, donc facilement accessibles via le net. Les jeunes aujourd'hui, des quatre coins du monde, mènent une double vie : réelle et virtuelle. Chose qui est potentiellement dangereuse pour nombre de spécialistes qui mettent en gardes la population juvénile et les parents contre une dépendance au virtuel. Face au foisonnement des sites virtuels dont second life, la question qui se pose : Ce monde est-il en passe de prendre le dessus sur le monde réel ? Quels sont ses risques potentiels pour les jeunes accros ? Peut-il affecter le comportement de ces derniers ? Faut-il interdire le monde virtuel second Life ? Plus de 7 millions d'utilisateurs dont un pourcentage important de jeunes se trouvent actuellement sur le site de second life, une simulation sociétale virtuelle, permettant de vivre une "seconde vie" sous la forme d'un avatar dans un univers persistant géré par les joueurs. Ce monde créé officiellement en juillet 2003 par le studio californien Linden Lab, suscite l'admiration et l'engouement des jouvenceaux. Seulement, ce monde virtuel consistant en un jeu de rôle n'a pas tardé à susciter la colère des parents et des associations en France et dans quelques contrées du monde. De quoi l'accuse-t-on ? Sexe et jeux d'argent sont trop facilement accessibles aux enfants et ados dans Second Life ? Ce qui motive la demande de quelques associations françaises de l'interdiction d'accès, pour les mineurs, de ce jeu sur Internet. Théoriquement parlant, second life est interdite aux mineurs, car les jeunes dont l'âge est inférieur à 18 ans ne peuvent accéder qu'à une version édulcorée et payante, ce qui les empêchent d'accéder. Seulement, d'un point de vue pratique, il n'y a aucun contrà´le, car il suffit juste de mentir sur son âge. La réalité virtuelle de Second Life Seconde life n'est pas un jeu. C'est un monde virtuel dans lequel les participants sont appelés «résidents» et non «joueurs». Qu'ils aient accès à la version basique (non payante) ou à la premium (payante), il suffit aux résidants de vivre virtuellement. Ces derniers ont eux-mêmes l'opportunité de créer leur monde virtuel à l'image du monde réel, de s'approprié un espace défini. Le monde est constitué de plusieurs régions. Pour passer de l'une à l'autre, on utilise le moteur de recherche et la téléportation. A quoi sont exposés les jeunes ? L'enfant est exposé, à travers second life, à des scènes de violence sexuelles et des pratiques sexuelles différentes. Scène de viol, de bondage, de zoophilie. Aussi des liens vers des sites de pornographie ou de prostitution du monde réel sont proposés. L'enfant a aussi accès aux jeux d'argent, aux jeux de casinos, et des loteries. Même sans carte bancaire, le résidant peut, par exemple, miser l'argent gagné en se prostituant, toujours sans avoir besoin de carte bancaire. Les spécialistes menacent Contrairement à certains spécialistes qui ont confirmé le danger limite de second life, d'autres appellent à une limitation d'accès pour quelques catégories du public. Les jeunes et les ados étant particulièrement vulnérables, une forte exposition au virtuel risque de leur être nuisible. «Dans cette univers où? tous est permis, tout les maux sociaux, sexuels ou relationnels existent. Le résidant peut camper n'importe quel rôle. Ainsi, un enfant peut être violeur, délinquant, criminel ou autre. Le fait que ce monde prennent le dessus sur la réalité est possible, notamment lors d'une trop forte exposition à second life », confirme un psychologue. C'est à se questionner réellement si second life n'altère pas la perception des jeunes du monde réel, n'emmène pas à une identification aux avatars inventés via le site et n'ouvre pas grand la porte au déchaînement de pulsions de destructions dans cet univers ?