Le groupe Vitajus a reçu, samedi dernier, le trophée du meilleur exportateur algérien hors hydrocarbures «Trophée Export 2008». Le groupe Vitajus a reçu, samedi dernier, le trophée du meilleur exportateur algérien hors hydrocarbures «Trophée Export 2008». Cinquième du genre, cette distinction a été décernée par un jury composé du World Trade Center Algéria, de la Direction générale des Douanes, de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI), de l'Agence nationale de promotion du commerce extérieur (ALGEX), de l'Association nationale des exportateurs algériens (ANEXAL) et du Forum des chefs d'entreprise (FCE). Sim, Saidal et Tonic ont, auparavant, reçu cette récompense. La part du groupe Vitajus à l'export représente 600.000 dollars ce qui correspond à 3 % de la production a indiqué, Adel Abdelaziz, directeur commercial à Vitajus. Se classant parmi les leaders du marché de la boisson en Algérie, le groupe Vitajus a réussi à placer ses produits au Canada, aux Etats-Unis, en Guyane française, en Jordanie ou encore en Libye. Le groupe ambitionnait de pénétrer le marché chinois, mais le violent séisme qui a frappé le pays a retardé quelque peu l'échéance, souligne M. Abdelaziz. Par ailleurs, le groupe Michelin s'est vu attribué «Le prix spécial du Jury», quant au groupe General Plast, qui opère dans l'industrie du plastique, il a reçu le prix « Primo Export », lancé pour la première fois lors de cette cérémonie. De son côté, le groupe IMC, opèrant dans la fabrication de cuillères, couteaux et fourchettes, a reçu, quant à lui, le «Prix d'encouragement du Jury». Intervenant lors de cette cérémonie, le ministre du Commerce, M. Djaâboub, a déploré le fait que « les exportations algériennes hors hydrocarbures, bien qu'elles aient dépassé la barre du milliard de dollars en 2007, n'ont pu couvrir des factures aussi importantes comme la poudre de lait qui était de l'ordre de 1,2 milliard de dollars en 2007 ou encore des médicaments de 1,8 milliard pour le même exercice ». Le ministre reconnait que beaucoup de produits industriels et agricoles algériens ne peuvent être exportés à grande échelle, « faute de professionnalisme», imputant par là le faible taux d'exportation à la non conformité des produits avec les normes internationales en vigueur en termes de qualité ou d'emballage. A cet égard, il a souligné l'importance, pour les opérateurs économiques algériens de développer leurs produits afin qu'ils puissent être exportés. Le ministre a également invité les exportateurs algériens à bénéficier des avantages offerts par les pouvoirs publics en matière de promotion du commerce extérieur hors hydrocarbures. Il s'agit, notamment, du Fonds spécial pour la promotion des exportations (FSPE), qui prendra en charge, désormais, de nouvelles activités liées à l'exportation comme la formation, le recyclage et l'organisation de rencontres et séminaires sur le commerce extérieur, a fait savoir le ministre. Concernant l'évolution du commerce extérieur de l'Algérie en 2007, M. Tibaoui a constaté que plusieurs sociétés privées, essentiellement issues des investissements directs étrangers, ont déjà commencé à exporter. Installé en Algérie depuis sept ans, le WTC, qui s'appuie sur un réseau mondial de 300 antennes implantées à travers une centaine de pays, œuvre pour le développement du commerce international. Cinquième du genre, cette distinction a été décernée par un jury composé du World Trade Center Algéria, de la Direction générale des Douanes, de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI), de l'Agence nationale de promotion du commerce extérieur (ALGEX), de l'Association nationale des exportateurs algériens (ANEXAL) et du Forum des chefs d'entreprise (FCE). Sim, Saidal et Tonic ont, auparavant, reçu cette récompense. La part du groupe Vitajus à l'export représente 600.000 dollars ce qui correspond à 3 % de la production a indiqué, Adel Abdelaziz, directeur commercial à Vitajus. Se classant parmi les leaders du marché de la boisson en Algérie, le groupe Vitajus a réussi à placer ses produits au Canada, aux Etats-Unis, en Guyane française, en Jordanie ou encore en Libye. Le groupe ambitionnait de pénétrer le marché chinois, mais le violent séisme qui a frappé le pays a retardé quelque peu l'échéance, souligne M. Abdelaziz. Par ailleurs, le groupe Michelin s'est vu attribué «Le prix spécial du Jury», quant au groupe General Plast, qui opère dans l'industrie du plastique, il a reçu le prix « Primo Export », lancé pour la première fois lors de cette cérémonie. De son côté, le groupe IMC, opèrant dans la fabrication de cuillères, couteaux et fourchettes, a reçu, quant à lui, le «Prix d'encouragement du Jury». Intervenant lors de cette cérémonie, le ministre du Commerce, M. Djaâboub, a déploré le fait que « les exportations algériennes hors hydrocarbures, bien qu'elles aient dépassé la barre du milliard de dollars en 2007, n'ont pu couvrir des factures aussi importantes comme la poudre de lait qui était de l'ordre de 1,2 milliard de dollars en 2007 ou encore des médicaments de 1,8 milliard pour le même exercice ». Le ministre reconnait que beaucoup de produits industriels et agricoles algériens ne peuvent être exportés à grande échelle, « faute de professionnalisme», imputant par là le faible taux d'exportation à la non conformité des produits avec les normes internationales en vigueur en termes de qualité ou d'emballage. A cet égard, il a souligné l'importance, pour les opérateurs économiques algériens de développer leurs produits afin qu'ils puissent être exportés. Le ministre a également invité les exportateurs algériens à bénéficier des avantages offerts par les pouvoirs publics en matière de promotion du commerce extérieur hors hydrocarbures. Il s'agit, notamment, du Fonds spécial pour la promotion des exportations (FSPE), qui prendra en charge, désormais, de nouvelles activités liées à l'exportation comme la formation, le recyclage et l'organisation de rencontres et séminaires sur le commerce extérieur, a fait savoir le ministre. Concernant l'évolution du commerce extérieur de l'Algérie en 2007, M. Tibaoui a constaté que plusieurs sociétés privées, essentiellement issues des investissements directs étrangers, ont déjà commencé à exporter. Installé en Algérie depuis sept ans, le WTC, qui s'appuie sur un réseau mondial de 300 antennes implantées à travers une centaine de pays, œuvre pour le développement du commerce international.