Plusieurs commerçants, notamment ceux des rues Ibn Badis (route de Tébessa) et des Fedaïnes, ont observé, hier, une grève illimitée pour protester contre le marché parallèle qui a pris des dimensions alarmantes de façon à nuire à leur commerce, eux qui paient les impôts et autres frais divers, alors que l'on sait que ces commerçants ambulants exposent sur les trottoirs et les chaussées les mêmes articles et à des prix très compétitifs voire symboliques attirant quotidiennement la foule au grand dam des vrais commerçants contraints de fermer. En effet, la rue Ibn Badis est devenue inaccessible même pour les piétons puisqu'on étale sur la chaussée tout ce qui se vend : effets vestimentaires et souliers made in China, pain, jouets, portables, fruits, fripes... un climat où prospèrent les voleurs à la tire et les délinquants venus des périphériques de la ville. Les mêmes scènes sont observées aux rues Ouarti-Abderrahmane, Hrirèch-Abdellatif, Ibn Khaldoun et à la place de l'Indépendance qui se trouvent squattées le soir par des marchands ambulants qui étalent, sur les trottoirs et à même la chaussée, tout ce qui est à portée de main allant des produits cosmétiques aux fruits et légumes et même le pain, la viande rouge et les poissons, ce qui représente un danger réel pour le consommateur qui, poussé par la cherté de la vie, fait à des achats dans de tels endroits. Ainsi devant ce triple préjudice causé aux commerçants légitimes, aux consommateurs et à l'environnement, une intervention rapide et efficace s'impose afin de nettoyer nos rues de ce commerce parasite. Plusieurs commerçants, notamment ceux des rues Ibn Badis (route de Tébessa) et des Fedaïnes, ont observé, hier, une grève illimitée pour protester contre le marché parallèle qui a pris des dimensions alarmantes de façon à nuire à leur commerce, eux qui paient les impôts et autres frais divers, alors que l'on sait que ces commerçants ambulants exposent sur les trottoirs et les chaussées les mêmes articles et à des prix très compétitifs voire symboliques attirant quotidiennement la foule au grand dam des vrais commerçants contraints de fermer. En effet, la rue Ibn Badis est devenue inaccessible même pour les piétons puisqu'on étale sur la chaussée tout ce qui se vend : effets vestimentaires et souliers made in China, pain, jouets, portables, fruits, fripes... un climat où prospèrent les voleurs à la tire et les délinquants venus des périphériques de la ville. Les mêmes scènes sont observées aux rues Ouarti-Abderrahmane, Hrirèch-Abdellatif, Ibn Khaldoun et à la place de l'Indépendance qui se trouvent squattées le soir par des marchands ambulants qui étalent, sur les trottoirs et à même la chaussée, tout ce qui est à portée de main allant des produits cosmétiques aux fruits et légumes et même le pain, la viande rouge et les poissons, ce qui représente un danger réel pour le consommateur qui, poussé par la cherté de la vie, fait à des achats dans de tels endroits. Ainsi devant ce triple préjudice causé aux commerçants légitimes, aux consommateurs et à l'environnement, une intervention rapide et efficace s'impose afin de nettoyer nos rues de ce commerce parasite.