La lancinante question de la qualité a été longuement abordée à la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI) par des experts et des consultants algérien et belge au cours d'un séminaire organisé, mardi dernier, au Palais consulaire d'Alger. Les séminaristes ont souligné l'importance de l'amélioration constante de la qualité des produits, notamment ceux destinés à la vente sur le marché mondial, ce qui pousse les entrepreneurs à considérer ce concept comme étant un outil indispensable contribuant à rendre efficace leur outil de production. L'objectif primordial de cette rencontre consiste à sensibiliser les exportateurs sur la nécessité de se conformer aux normes internationales de qualité et de connaître les aspirations et les attentes des consommateurs des pays avancés. La problématique de la certification a également été au centre des débats. Abordant la norme de la qualité en Algérie, les experts ont observé que beaucoup reste à faire, dans la mesure où seulement 25 produits de consommation courante, répondant aux standards internationaux, ont reçu le sceau de la certification de laboratoires internationaux accrédités. Tandis que les petites et moyennes entreprises (PME), considérées comme créatrices de richesse et génératrices de croissance, et ayant obtenu la certification ISO 9001, sont près de 270 seulement en Algérie à briguer l'étendard de la qualité. Le savoir-faire belge et l'expertise des techniciens et spécialistes de ce pays de l'Union européenne ont été proposés aux opérateurs algériens pour une meilleure gestion des entreprises et la maîtrise du contrôle de la qualité des produits, ainsi que l'acquisition des principes élémentaires de la normalisation. Un expert belge en matière de marketing-management, Adam Jean Jacques, estime que «les paramètres de la qualité visent à imprimer une nette performance aux produits afin de faciliter la pénétration du marché international». Sachant que la lutte contre la contrefaçon et la fraude est le cheval de bataille des pouvoirs publics qui font la chasse aux faussaires, les services de contrôle de la qualité ont, depuis plus d'une année, pris des mesures pour enrayer ce phénomène qui fourvoie et dénature l'image de marque des produits algériens. Plus de 1.600 chercheurs et cadres universitaires vont travailler à débusquer les pièges de la contrefaçon avec le concours du Centre algérien du contrôle de la qualité (le CACQ qui a des capacités d'analyse de plus de 40.000 échantillons annuellement)), sachant que les actions en matière de contrôle sont de plus en plus nombreuses. Quant à la responsable de la section économique de l'ambassade de Belgique, F. Kathlejen, elle a insisté sur l'amélioration de la qualité des produits pour le développement des entreprises algériennes et l'augmentation de leurs capacités à exporter. Devenue une exigence incontournable pour la commercialisation des produits algérien sur le marché international, notamment après l'accord d'association avec l'Union européenne et l'adhésion à l'OMC, prévue dans le courant de l'année 2008, la qualité préoccupe actuellement bon nombre d'opérateurs économiques nationaux dont les exportateurs se réunissent souvent à l'Algex afin de débattre des normes de qualité et de certification et même de la qualité de l'emballage. La lancinante question de la qualité a été longuement abordée à la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI) par des experts et des consultants algérien et belge au cours d'un séminaire organisé, mardi dernier, au Palais consulaire d'Alger. Les séminaristes ont souligné l'importance de l'amélioration constante de la qualité des produits, notamment ceux destinés à la vente sur le marché mondial, ce qui pousse les entrepreneurs à considérer ce concept comme étant un outil indispensable contribuant à rendre efficace leur outil de production. L'objectif primordial de cette rencontre consiste à sensibiliser les exportateurs sur la nécessité de se conformer aux normes internationales de qualité et de connaître les aspirations et les attentes des consommateurs des pays avancés. La problématique de la certification a également été au centre des débats. Abordant la norme de la qualité en Algérie, les experts ont observé que beaucoup reste à faire, dans la mesure où seulement 25 produits de consommation courante, répondant aux standards internationaux, ont reçu le sceau de la certification de laboratoires internationaux accrédités. Tandis que les petites et moyennes entreprises (PME), considérées comme créatrices de richesse et génératrices de croissance, et ayant obtenu la certification ISO 9001, sont près de 270 seulement en Algérie à briguer l'étendard de la qualité. Le savoir-faire belge et l'expertise des techniciens et spécialistes de ce pays de l'Union européenne ont été proposés aux opérateurs algériens pour une meilleure gestion des entreprises et la maîtrise du contrôle de la qualité des produits, ainsi que l'acquisition des principes élémentaires de la normalisation. Un expert belge en matière de marketing-management, Adam Jean Jacques, estime que «les paramètres de la qualité visent à imprimer une nette performance aux produits afin de faciliter la pénétration du marché international». Sachant que la lutte contre la contrefaçon et la fraude est le cheval de bataille des pouvoirs publics qui font la chasse aux faussaires, les services de contrôle de la qualité ont, depuis plus d'une année, pris des mesures pour enrayer ce phénomène qui fourvoie et dénature l'image de marque des produits algériens. Plus de 1.600 chercheurs et cadres universitaires vont travailler à débusquer les pièges de la contrefaçon avec le concours du Centre algérien du contrôle de la qualité (le CACQ qui a des capacités d'analyse de plus de 40.000 échantillons annuellement)), sachant que les actions en matière de contrôle sont de plus en plus nombreuses. Quant à la responsable de la section économique de l'ambassade de Belgique, F. Kathlejen, elle a insisté sur l'amélioration de la qualité des produits pour le développement des entreprises algériennes et l'augmentation de leurs capacités à exporter. Devenue une exigence incontournable pour la commercialisation des produits algérien sur le marché international, notamment après l'accord d'association avec l'Union européenne et l'adhésion à l'OMC, prévue dans le courant de l'année 2008, la qualité préoccupe actuellement bon nombre d'opérateurs économiques nationaux dont les exportateurs se réunissent souvent à l'Algex afin de débattre des normes de qualité et de certification et même de la qualité de l'emballage.