La gestion du terminal des conteneurs au niveau du port d'Alger, ainsi que du port de Djendjen dans la wilaya de Jijel, sera bientôt confiée au groupe émirati «Dubai Ports».Les deux parties seraient parvenues à un accord de principe dans ce sens, à l'issue de la 6e session de la commission mixte algéro-émiratie, en attendant la décision du conseil national des investissements qui pourrait intervenir dès la semaine prochaine. L'opération de concession de la gestion des ports d'Algérie a été déjà entamée par le ministère des Transports qui avait confié la gestion du port de Béjaïa à une société étrangère.Cette concession est rendue indispensable par les pouvoirs publics pour permettre une modernisation des ports d'Algérie, pays devenu une plaque tournante des échanges commerciaux avec les pays étrangers. D'autre part, la 6ème session de la commission mixte algéro-émiratie a été sanctionnée par la signature de cinq mémorandums d'entente dans les secteurs de la pêche, de l'environnement, de l'agriculture et de la jeunesse et des sports. Des accords qui devraient, selon le ministre des Finances, Karim Djoudi, avoir un «impact positif» sur la coopération entre les deux pays et ouvrir des «perspectives prometteuses» pour «davantage de coopération et de complémentarité dans tous les domaines». Les deux pays ont convenu également de convertir en projets d'investissement la dette algérienne contractée auprès des Emirats et estimée à 330 millions de dollars.Mais au-delà des déclarations optimistes de part et d'autre, d'aucuns pensent que la concrétisation des projets annoncés en grande pompe par les hommes d'affaires émiratis reste en deçà des aspirations algériennes. D'ailleurs, M. Karim Djoudi n'a pas manqué de le faire savoir aux investisseurs émiratis en exprimant son mécontentement à ce sujet en présence du ministre de l'Economie des Emirats, Soltan El Mansouri.Ce dernier a tenté de rassurer en affirmant que les investissements émiratis en Algérie dépasseront 50 milliards de dollars entre 2006 et 2010. Toutefois, et loin d'applaudir la déclaration du ministre émirati, Karim Djoudi a indiqué que les discussions vont se poursuivre entre les deux pays pour parvenir à la conclusion de nouveaux projets en commun dans d'autres domaines comme l'agriculture, l'industrie, l'agroalimentaire et l'énergie. Dans cette perspective, un groupe de travail a été mis sur pied entre les deux parties à même de définir les priorités et les projets à identifier. La gestion du terminal des conteneurs au niveau du port d'Alger, ainsi que du port de Djendjen dans la wilaya de Jijel, sera bientôt confiée au groupe émirati «Dubai Ports».Les deux parties seraient parvenues à un accord de principe dans ce sens, à l'issue de la 6e session de la commission mixte algéro-émiratie, en attendant la décision du conseil national des investissements qui pourrait intervenir dès la semaine prochaine. L'opération de concession de la gestion des ports d'Algérie a été déjà entamée par le ministère des Transports qui avait confié la gestion du port de Béjaïa à une société étrangère.Cette concession est rendue indispensable par les pouvoirs publics pour permettre une modernisation des ports d'Algérie, pays devenu une plaque tournante des échanges commerciaux avec les pays étrangers. D'autre part, la 6ème session de la commission mixte algéro-émiratie a été sanctionnée par la signature de cinq mémorandums d'entente dans les secteurs de la pêche, de l'environnement, de l'agriculture et de la jeunesse et des sports. Des accords qui devraient, selon le ministre des Finances, Karim Djoudi, avoir un «impact positif» sur la coopération entre les deux pays et ouvrir des «perspectives prometteuses» pour «davantage de coopération et de complémentarité dans tous les domaines». Les deux pays ont convenu également de convertir en projets d'investissement la dette algérienne contractée auprès des Emirats et estimée à 330 millions de dollars.Mais au-delà des déclarations optimistes de part et d'autre, d'aucuns pensent que la concrétisation des projets annoncés en grande pompe par les hommes d'affaires émiratis reste en deçà des aspirations algériennes. D'ailleurs, M. Karim Djoudi n'a pas manqué de le faire savoir aux investisseurs émiratis en exprimant son mécontentement à ce sujet en présence du ministre de l'Economie des Emirats, Soltan El Mansouri.Ce dernier a tenté de rassurer en affirmant que les investissements émiratis en Algérie dépasseront 50 milliards de dollars entre 2006 et 2010. Toutefois, et loin d'applaudir la déclaration du ministre émirati, Karim Djoudi a indiqué que les discussions vont se poursuivre entre les deux pays pour parvenir à la conclusion de nouveaux projets en commun dans d'autres domaines comme l'agriculture, l'industrie, l'agroalimentaire et l'énergie. Dans cette perspective, un groupe de travail a été mis sur pied entre les deux parties à même de définir les priorités et les projets à identifier.