Le chef lieu de la wilaya vit au rythme des mouvements des estivants et des vacanciers qui investissent les places publiques et les terrasses de cafés. Le chef lieu de la wilaya vit au rythme des mouvements des estivants et des vacanciers qui investissent les places publiques et les terrasses de cafés. Tipasa baigne dans un calme serein en cette matinée de juillet. Des estivants venus des quatre coins du pays et même de l'étranger arpentent paisiblement les ruelles ombragées menant aux plages rocheuses et sablonneuses de cette ville qui niche au pied du mont Chenoua. « Le charme et le calme de Tipasa ne laissent personne indifférent », nous a confié Nazim, un émigré rencontré sur les hauteurs de Chenoua plage. Lui, il ne nous cache pas son enthousiasme et son amour pour sa ville natale. Chaque année, il vient, dit-il, à Tipasa passer ses vacances d'été en compagnie de sa famille et parfois d' amis de nationalité française. « Ici, je me ressource et je trouve du bonheur au milieu de cette flore et de la mer avant de rejoindre la France, pour reprendre mon travail », nous a fait savoir Nazim. La wilaya de Tipasa compte 57 plages dont 13 sont interdites à la baignade, souligne-t-on. Lors de notre visite sur les lieux, nous fûmes éblouis tant par la beauté des plages que par leurs étendues. En plus, de la limpidité de l'eau, les adeptes du « bronzage » peuvent s'étendre aisément sur du sable extrêmement fin à l'instar de Chenoua plage, Damous, la plage Bleue. Celles-ci sont délimitées, dans certains cas, par des escarpements rocheux ou forestiers qui plongent dans l'eau bleu de la Méditerranée offrant un charme féérique et une mosaïque d'images à la côte, comme c'est le cas, d'ailleurs, à Taragilette, Damous, Attalia et El Beldj. Ces dernières connaissent, notamment, en cette période de canicule, une grande affluence au point de ne pas trouver où s' installer. Au grand bonheur des concessionnaires Les plages, cédées aux concessionnaires, à l'instar d'Attalia, El Beldj et Caroubier, connaissent, semble-t-il de plus en plus d'engouement. A la plage Bleue, une plage privée, les hommes qui occupent les chaises installées sur les terrasses des cafés scrutent les mouvements de leurs enfants. El-Bledj, une plage sise sur la côte est de la wilaya est louée à un particulier. Elle est de plus en plus prisée par les familles, constate-t-on sur les lieux. Pour pénétrer à l'intérieur de ces dernières, il faut s'acquitter d'une somme de 50 DA. Des tentes multicolores et des huttes en roseaux jonchent les plages. Il s'agit de « restaurants» et de «cafés ». Des familles venues des wilayas de Blida et d'Alger, voire de France, se sont installées dans les différents espaces ombragés. C'est l'ambiance totale. Elles ont l'air de s'y plaire. La location est à la portée des petites bourses nous a révélé l'un des employés au niveau de ce petit coin de rêve. Lors de notre passage, plusieurs familles se sont installées alors que d'autres, habitant les parages, sont habituées à venir en fin d'après-midi. C'est un coin familial, un coin discret, où je me plais beaucoup. Je viens pratiquement chaque matin faire un plongeon avant de commencer mes petites besognes quotidiennes, nous a confié Ouassime, une jeune fille de Hadjout, venue se rafraîchir en compagnie de sa sœur Karima. Taragilette, sise à la lisière de Tipasa est une destination privilégiée pour les vacanciers amateurs de nature, constate-t-on. La mer encore vierge regorge de poissons blancs de bonne qualité, ce qui explique, d'ailleurs, pour Maâmer, l'afflux des amoureux des produits de la mer vers ce paisible coin. Les immatriculations des véhicules que nous croisons attestent de la diversité des régions des estivants. Les gens viennent d'Alger, de Blida, Médéa, Aïn Defla, Béjaïa, Sétif, en plus des immatriculations étrangères. Les paysages naturels aux multiples couleurs sont superbes. Ils ne cessent d' attirer des estivaux provenant des différents coins du pays. En outre, les commodités nécessaires, à l'instar de l'eau, ne manquent pas. Les autorités locales de la wilaya ont consacré, apprend-on, depuis mars dernier, quelque 14 millions de DA pour assurer les travaux d' AEP au profit de 22 plages de 7 communes côtières. Notons à ce propos que des travaux ont été entamés à partir du mois d'avril dernier afin de réaliser 14 fosses sceptiques et et opérer à la pose de collecteurs pour empêcher le déversement des eaux usées au niveau des 10 plages de 3 communes de l'ouest de la wilaya, en l'occurrence Messelmoune, Gouraya et Damous, alors qu'un bassin filtrant est en voie d'achèvement à Douaouda, indique-t-on. Calme et sérénité Le calme et la sérénité ne manquent pas à Tipasa. S'agissant de la sécurité aux niveaux des plages, les estivaux rencontrés sur les lieux nous ont fait savoir que la tranquillité et la sérénité ne manquent pas. « Dans les plages de la wilaya de Tipasa, je me sens en totale sécurité », à en croire Fatiha, enseignante de profession, rencontrée sur les belles corniches de Tipasa, contemplant un magnifique coucher de soleil. Par là, nous constatons une procession de voitures . Les passagers n'ont pu résister, semble t-il, devant la beauté des lieux et les tableaux pittoresques qui s'offrent à leurs yeux. Des gamins proposant de l'eau minérale et des cigarettes sillonnaient et couraient tout le long des corniches pour proposer leurs produits aux passagers. En ces moments de fin de soirée, même le centre-ville ne manque pas d'ambiance. Le chef lieu vit au rythme des mouvements des estivants et des vacanciers qui remplissaient les places publiques et les terrasses des cafés. La fraîcheur donnait du plaisir pour s'offrir une glace ou une boisson fraîche en compagnie de ses amis ou de sa famille, histoire de prendre une bouffée d'oxygène et de changer de décor. «Les randonnées pédestres en ville, c'est aussi l'un des plaisirs des riverains », nous a fait savoir Rachida, une jeune fille rencontrée en ville. La ville de Tipasa, comme ses plages d'ailleurs, baignaient dans un calme et une quiétude sereine. « Aucun incident portant préjudice à la quiétude des visiteurs n'a été enregistré, nous a indiqué l'un des policiers rencontré à la plage de Chenoua. Notons dans le même sens que la nouveauté pour cette saison est, sans doute, le renforcement notable du dispositif du plan « Delphine » mis en place par les gendarmes soutenus par les policiers qui se sont déployés à travers le plan « Azur » au niveau des plages Chenoua plage, Damous, Gouraya, Sidi Ghilès, Cherchell, Douaouda etc. Ces mesures ont été prises, croit-on savoir, suite au nombre très élevé des estivants, des véhicules et des bus, a indiqué le commandant Kerroud. Soulignant, aussi, qu'en plus de la sécurisation des plages, les gendarmes vont devoir, assure-t-il, gérer la circulation routière avec l'appui d'hélicoptères de manière à faire progresser les files de voitures afin d'éviter les embouteillages. Toutefois, il n'en demeure pas moins qu'en partant vers Tipasa, durant les Week end, ce n'est pas une tâche facile. Les automobilistes et voyageurs devront s'armer de patience cet été. Les axes routiers s'avèrent, remarque-t-on, insuffisants, notamment en cette période estivale et surtout durant les week ends. Cependant, la Protection civile a, de son côté, mobilisé beaucoup de moyens humains à l'instar de contrôleurs, de médecins, d'agents sauveteurs, plongeurs professionnels, surveillants de baignade saisonniers, ainsi que de matériels roulants et équipements de communication pour rendre efficace son dispositif de surveillance, d'intervention et de secours au niveau des plages. Tipasa baigne dans un calme serein en cette matinée de juillet. Des estivants venus des quatre coins du pays et même de l'étranger arpentent paisiblement les ruelles ombragées menant aux plages rocheuses et sablonneuses de cette ville qui niche au pied du mont Chenoua. « Le charme et le calme de Tipasa ne laissent personne indifférent », nous a confié Nazim, un émigré rencontré sur les hauteurs de Chenoua plage. Lui, il ne nous cache pas son enthousiasme et son amour pour sa ville natale. Chaque année, il vient, dit-il, à Tipasa passer ses vacances d'été en compagnie de sa famille et parfois d' amis de nationalité française. « Ici, je me ressource et je trouve du bonheur au milieu de cette flore et de la mer avant de rejoindre la France, pour reprendre mon travail », nous a fait savoir Nazim. La wilaya de Tipasa compte 57 plages dont 13 sont interdites à la baignade, souligne-t-on. Lors de notre visite sur les lieux, nous fûmes éblouis tant par la beauté des plages que par leurs étendues. En plus, de la limpidité de l'eau, les adeptes du « bronzage » peuvent s'étendre aisément sur du sable extrêmement fin à l'instar de Chenoua plage, Damous, la plage Bleue. Celles-ci sont délimitées, dans certains cas, par des escarpements rocheux ou forestiers qui plongent dans l'eau bleu de la Méditerranée offrant un charme féérique et une mosaïque d'images à la côte, comme c'est le cas, d'ailleurs, à Taragilette, Damous, Attalia et El Beldj. Ces dernières connaissent, notamment, en cette période de canicule, une grande affluence au point de ne pas trouver où s' installer. Au grand bonheur des concessionnaires Les plages, cédées aux concessionnaires, à l'instar d'Attalia, El Beldj et Caroubier, connaissent, semble-t-il de plus en plus d'engouement. A la plage Bleue, une plage privée, les hommes qui occupent les chaises installées sur les terrasses des cafés scrutent les mouvements de leurs enfants. El-Bledj, une plage sise sur la côte est de la wilaya est louée à un particulier. Elle est de plus en plus prisée par les familles, constate-t-on sur les lieux. Pour pénétrer à l'intérieur de ces dernières, il faut s'acquitter d'une somme de 50 DA. Des tentes multicolores et des huttes en roseaux jonchent les plages. Il s'agit de « restaurants» et de «cafés ». Des familles venues des wilayas de Blida et d'Alger, voire de France, se sont installées dans les différents espaces ombragés. C'est l'ambiance totale. Elles ont l'air de s'y plaire. La location est à la portée des petites bourses nous a révélé l'un des employés au niveau de ce petit coin de rêve. Lors de notre passage, plusieurs familles se sont installées alors que d'autres, habitant les parages, sont habituées à venir en fin d'après-midi. C'est un coin familial, un coin discret, où je me plais beaucoup. Je viens pratiquement chaque matin faire un plongeon avant de commencer mes petites besognes quotidiennes, nous a confié Ouassime, une jeune fille de Hadjout, venue se rafraîchir en compagnie de sa sœur Karima. Taragilette, sise à la lisière de Tipasa est une destination privilégiée pour les vacanciers amateurs de nature, constate-t-on. La mer encore vierge regorge de poissons blancs de bonne qualité, ce qui explique, d'ailleurs, pour Maâmer, l'afflux des amoureux des produits de la mer vers ce paisible coin. Les immatriculations des véhicules que nous croisons attestent de la diversité des régions des estivants. Les gens viennent d'Alger, de Blida, Médéa, Aïn Defla, Béjaïa, Sétif, en plus des immatriculations étrangères. Les paysages naturels aux multiples couleurs sont superbes. Ils ne cessent d' attirer des estivaux provenant des différents coins du pays. En outre, les commodités nécessaires, à l'instar de l'eau, ne manquent pas. Les autorités locales de la wilaya ont consacré, apprend-on, depuis mars dernier, quelque 14 millions de DA pour assurer les travaux d' AEP au profit de 22 plages de 7 communes côtières. Notons à ce propos que des travaux ont été entamés à partir du mois d'avril dernier afin de réaliser 14 fosses sceptiques et et opérer à la pose de collecteurs pour empêcher le déversement des eaux usées au niveau des 10 plages de 3 communes de l'ouest de la wilaya, en l'occurrence Messelmoune, Gouraya et Damous, alors qu'un bassin filtrant est en voie d'achèvement à Douaouda, indique-t-on. Calme et sérénité Le calme et la sérénité ne manquent pas à Tipasa. S'agissant de la sécurité aux niveaux des plages, les estivaux rencontrés sur les lieux nous ont fait savoir que la tranquillité et la sérénité ne manquent pas. « Dans les plages de la wilaya de Tipasa, je me sens en totale sécurité », à en croire Fatiha, enseignante de profession, rencontrée sur les belles corniches de Tipasa, contemplant un magnifique coucher de soleil. Par là, nous constatons une procession de voitures . Les passagers n'ont pu résister, semble t-il, devant la beauté des lieux et les tableaux pittoresques qui s'offrent à leurs yeux. Des gamins proposant de l'eau minérale et des cigarettes sillonnaient et couraient tout le long des corniches pour proposer leurs produits aux passagers. En ces moments de fin de soirée, même le centre-ville ne manque pas d'ambiance. Le chef lieu vit au rythme des mouvements des estivants et des vacanciers qui remplissaient les places publiques et les terrasses des cafés. La fraîcheur donnait du plaisir pour s'offrir une glace ou une boisson fraîche en compagnie de ses amis ou de sa famille, histoire de prendre une bouffée d'oxygène et de changer de décor. «Les randonnées pédestres en ville, c'est aussi l'un des plaisirs des riverains », nous a fait savoir Rachida, une jeune fille rencontrée en ville. La ville de Tipasa, comme ses plages d'ailleurs, baignaient dans un calme et une quiétude sereine. « Aucun incident portant préjudice à la quiétude des visiteurs n'a été enregistré, nous a indiqué l'un des policiers rencontré à la plage de Chenoua. Notons dans le même sens que la nouveauté pour cette saison est, sans doute, le renforcement notable du dispositif du plan « Delphine » mis en place par les gendarmes soutenus par les policiers qui se sont déployés à travers le plan « Azur » au niveau des plages Chenoua plage, Damous, Gouraya, Sidi Ghilès, Cherchell, Douaouda etc. Ces mesures ont été prises, croit-on savoir, suite au nombre très élevé des estivants, des véhicules et des bus, a indiqué le commandant Kerroud. Soulignant, aussi, qu'en plus de la sécurisation des plages, les gendarmes vont devoir, assure-t-il, gérer la circulation routière avec l'appui d'hélicoptères de manière à faire progresser les files de voitures afin d'éviter les embouteillages. Toutefois, il n'en demeure pas moins qu'en partant vers Tipasa, durant les Week end, ce n'est pas une tâche facile. Les automobilistes et voyageurs devront s'armer de patience cet été. Les axes routiers s'avèrent, remarque-t-on, insuffisants, notamment en cette période estivale et surtout durant les week ends. Cependant, la Protection civile a, de son côté, mobilisé beaucoup de moyens humains à l'instar de contrôleurs, de médecins, d'agents sauveteurs, plongeurs professionnels, surveillants de baignade saisonniers, ainsi que de matériels roulants et équipements de communication pour rendre efficace son dispositif de surveillance, d'intervention et de secours au niveau des plages.