Par solidarité avec les enseignants contractuels grévistes, le Conseil des lycées d'Alger (CLA) revendique l'annulation du concours exigé aux enseignants contractuels qui donne droit à la titularisation. Pour protester contre cette « injustice », les enseignants contractuels observent, depuis quatre jours, une grève de la faim. Pour l'heure, Benbouzid reste ferme. « Les concours qu'organise son département est la seule voie de titularisation. » Le ministre de l'Education nationale explique que « les contractuels ne sont que des suppléants et par voie de conséquence, ils n'ont pas les mêmes droits que les titulaires ». En fait, les enseignants contractuels ne sont pas contre le concours en soi, mais dénoncent l' «opacité et le favoritisme qui caractérisent leur déroulement». « Il n'est pas acceptable que l'on exige des enseignants contractuels, dont la plupart ont à leur actif au minimum 5 années d'ancienneté de passer par un concours pour leur intégration ; à ceux-là mêmes, on demande de passer par un concours dont l'issue est on ne peut plus aléatoire. Ceci est inadmissible ! », soutient le CLA. Pour Benbouzid, les choses sont claires : « Ancienneté ne veut pas dire expérience.» Par solidarité avec les enseignants contractuels grévistes, le Conseil des lycées d'Alger (CLA) revendique l'annulation du concours exigé aux enseignants contractuels qui donne droit à la titularisation. Pour protester contre cette « injustice », les enseignants contractuels observent, depuis quatre jours, une grève de la faim. Pour l'heure, Benbouzid reste ferme. « Les concours qu'organise son département est la seule voie de titularisation. » Le ministre de l'Education nationale explique que « les contractuels ne sont que des suppléants et par voie de conséquence, ils n'ont pas les mêmes droits que les titulaires ». En fait, les enseignants contractuels ne sont pas contre le concours en soi, mais dénoncent l' «opacité et le favoritisme qui caractérisent leur déroulement». « Il n'est pas acceptable que l'on exige des enseignants contractuels, dont la plupart ont à leur actif au minimum 5 années d'ancienneté de passer par un concours pour leur intégration ; à ceux-là mêmes, on demande de passer par un concours dont l'issue est on ne peut plus aléatoire. Ceci est inadmissible ! », soutient le CLA. Pour Benbouzid, les choses sont claires : « Ancienneté ne veut pas dire expérience.»