Les Pays-Bas ont sollicité la coopération de l'Algérie en matière de lutte antiterroriste, en vue de traquer le réseau d'Al-Qaïda au Maghreb arabe. La sollicitation de l'Algérie par les Pays-Bas est venue de son ministre des Affaires étrangères, Maxime Verhagen, qui a affirmé que son pays était "en discussions avancées" avec l'Algérie pour lutter contre Al-Qaïda qui, a-t-il dit, "a dépassé les frontières du Pakistan et de l'Afghanistan". "Désormais la menace s'est accrue de manière substantielle au Maghreb et dans la région sahélienne", prévient le ministre hollandais, ajoutant qu'Al-Qaïda au Maghreb a des réseaux de contact dans des pays d'Europe occidentale et les récentes arrestations en Autriche et en Allemagne, "représentent une menace potentielle pour les Pays-Bas". A cause de ces liens avec les pays du Maghreb, "il est important de travailler en étroite collaboration avec l'Algérie pour réduire l'influence d'Al Qaïda au Maghreb", a-t-il précisé. L'appel des Pays-Bas à une large coopération dans la lutte contre le terrorisme intervient quelques jours seulement après que les Etats-Unis eurent décidé de geler les avoirs de quatre responsables algériens de la Branche d'Al-Qaïda au Maghreb.Selon Adam Szubin, directeur du bureau de contrôle des avoirs étrangers au Trésor américain, l'Algérie "a fait preuve d'un courage remarquable face aux horribles attaques terroristes visant son propre peuple", précisant que les quatre terroristes visés "comptent parmi les plus coupables de cette violence". "Nous sommes fiers de soutenir les efforts de l'Algérie et de la communauté mondiale pour combattre cette menace mortelle et nous continuerons de le faire", a-t-il souligné. Ces sanctions, qui visent les terroristes ou ceux qui leur fournissent soutien ou assistance matérielle, consistent en un gel de leurs avoirs aux Etats-Unis et interdisent aux citoyens américains d'entrer en relation d'affaires avec eux.Les quatre membres visés par ces sanctions sont Salah Gasmi, responsable du comité d'information de la branche, d'Al-Qaïda au Maghreb, Yahia Djouadi, chef de l'organisation dans la zone saharienne, Ahmed Deghedegh, responsable financier de la branche, et Abid Hammadou, un autre haut responsable basé au Mali. En début du mois en cours, le chef de la branche Al-Qaïda au Maghreb, Abdelmalek Droukdel, alias "Abou Moussaab Abdelouadoud", avait affirmé dans une interview au New York Times que l'organisation "n'hésitera pas à frapper les Etats-Unis quand elle le peut, où elle le peut, où que ce soit dans le monde". Les Pays-Bas ont sollicité la coopération de l'Algérie en matière de lutte antiterroriste, en vue de traquer le réseau d'Al-Qaïda au Maghreb arabe. La sollicitation de l'Algérie par les Pays-Bas est venue de son ministre des Affaires étrangères, Maxime Verhagen, qui a affirmé que son pays était "en discussions avancées" avec l'Algérie pour lutter contre Al-Qaïda qui, a-t-il dit, "a dépassé les frontières du Pakistan et de l'Afghanistan". "Désormais la menace s'est accrue de manière substantielle au Maghreb et dans la région sahélienne", prévient le ministre hollandais, ajoutant qu'Al-Qaïda au Maghreb a des réseaux de contact dans des pays d'Europe occidentale et les récentes arrestations en Autriche et en Allemagne, "représentent une menace potentielle pour les Pays-Bas". A cause de ces liens avec les pays du Maghreb, "il est important de travailler en étroite collaboration avec l'Algérie pour réduire l'influence d'Al Qaïda au Maghreb", a-t-il précisé. L'appel des Pays-Bas à une large coopération dans la lutte contre le terrorisme intervient quelques jours seulement après que les Etats-Unis eurent décidé de geler les avoirs de quatre responsables algériens de la Branche d'Al-Qaïda au Maghreb.Selon Adam Szubin, directeur du bureau de contrôle des avoirs étrangers au Trésor américain, l'Algérie "a fait preuve d'un courage remarquable face aux horribles attaques terroristes visant son propre peuple", précisant que les quatre terroristes visés "comptent parmi les plus coupables de cette violence". "Nous sommes fiers de soutenir les efforts de l'Algérie et de la communauté mondiale pour combattre cette menace mortelle et nous continuerons de le faire", a-t-il souligné. Ces sanctions, qui visent les terroristes ou ceux qui leur fournissent soutien ou assistance matérielle, consistent en un gel de leurs avoirs aux Etats-Unis et interdisent aux citoyens américains d'entrer en relation d'affaires avec eux.Les quatre membres visés par ces sanctions sont Salah Gasmi, responsable du comité d'information de la branche, d'Al-Qaïda au Maghreb, Yahia Djouadi, chef de l'organisation dans la zone saharienne, Ahmed Deghedegh, responsable financier de la branche, et Abid Hammadou, un autre haut responsable basé au Mali. En début du mois en cours, le chef de la branche Al-Qaïda au Maghreb, Abdelmalek Droukdel, alias "Abou Moussaab Abdelouadoud", avait affirmé dans une interview au New York Times que l'organisation "n'hésitera pas à frapper les Etats-Unis quand elle le peut, où elle le peut, où que ce soit dans le monde".