La tenue de cet atelier s'inscrit dans cette démarche et vise à consolider la capacité des institutions nationales à faire face aux engagements internationaux de l'Algérie et à renforcer les mécanismes de coopération internationale. La tenue de cet atelier s'inscrit dans cette démarche et vise à consolider la capacité des institutions nationales à faire face aux engagements internationaux de l'Algérie et à renforcer les mécanismes de coopération internationale. Un atelier d'étude et d'information sur le régime des sanctions contre Al-Qaïda et les taliban, se tiendra les 21 et 22 juillet à Alger, a indiqué dimanche la présidence de la République dans un communiqué. Cet atelier, organisé à l'initiative des autorités nationales concernées et avec le concours des Nations unies, notamment l'Equipe d'appui analytique et de surveillance des sanctions contre Al-Qaïda et les taliban, est destiné aux représentants des départements ministériels et des institutions judiciaires, financières et sécuritaires concernées par la mise en œuvre de ces sanctions, ajoute le communiqué. La tenue de cet atelier s'inscrit dans cette démarche et vise à consolider la capacité des institutions nationales à faire face aux engagements internationaux de l'Algérie et à renforcer les mécanismes de coopération internationale et ce, conformément aux objectifs de la Stratégie mondiale des Nations unies en matière de lutte contre le terrorisme, précise-t-on. Rappelons que le comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1267 (1999) le 15 octobre 1999 est également connu sous le nom de « Comité des sanctions contre Al-Qaïda et les taliban ». Ce comité est l'un des trois organes de lutte contre le terrorisme créés par le Conseil de sécurité. Les deux autres sont le Comité de lutte contre le terrorisme et le Comité 1540. Les trois comités et leurs experts coordonnent leurs activités et coopèrent étroitement. Par ailleurs, dans la mesure du possible, ils rendent compte de leurs travaux au Conseil de sécurité dans le cadre de réunions conjointes. En outre, la coopération entre le Comité et Interpol a débouché sur une importante initiative visant à aider les Etats membres à identifier les personnes inscrites sur la Liste récapitulative grâce à la publication sur le site d'Interpol, depuis décembre 2005, de notices spéciales Interpol-Conseil de sécurité de l'ONU. Ces notices spéciales concernant des entités associées à Al-Qaïda et aux taliban font partie du dispositif mis en place par Interpol et l'ONU pour aider les pays membres à appliquer les sanctions prévues (gel des avoirs et embargo sur les armes). Elles sont diffusées à l'ensemble des 186 pays membres d'Interpol et servent à les informer de l'existence de sanctions à l'encontre des entités visées. Le régime des sanctions a été modifié et renforcé par des résolutions ultérieures, de sorte que les sanctions s'appliquent désormais aux personnes et entités associées à Al-Qaïda, à Oussama ben Laden ou aux Taliban où qu'elles se trouvent. Les noms des personnes et entités ainsi visées sont inscrits dans la Liste récapitulative. Ces résolutions ont toutes été adoptées en vertu du chapitre VII de la Charte des Nations unies, et exigent de tous les Etats qu'ils prennent des mesures à l'encontre de toute personne ou entité associée à Al-Qaïda, à Oussama ben Laden ou aux taliban que le Comité peut désigner. La résolution 1617 du Conseil de sécurité de l'ONU, adoptée à l'unanimité en juillet 2005, prie le secrétaire général des Nations unies de collaborer avec Interpol en vue de l'élaboration d'outils efficaces devant aider le Comité 1267 du Conseil de sécurité à remplir son mandat au regard du gel des avoirs, de l'embargo sur les armes et de l'interdiction de voyager visant les groupes et individus associés à Al-Qaïda et aux taliban. Interpol joue un rôle primordial en aidant les polices des 186 pays membres à échanger des informations essentielles relatives à la criminalité. La publication de ces Notices spéciales attirera l'attention des services chargés de l'application de la loi de nos pays membres sur des activités terroristes dissimulées et aidera les pays à établir d'éventuels liens avec ces entités. Un groupe d'experts a fait récemment l'amer constat des difficultés rencontrées pourr appliquer les sanctions. Seuls 26 pays sur 191 Etats membres ont gelé des comptes bancaires pour une somme approximative de 75 millions de dollars. Une goutte d'eau dans l'océan des financements qui irriguent le terrorisme mondial. Seuls des comptes bancaires ont pu être saisis. Les efforts pour neutraliser les biens et les entreprises affiliés se sont heurtés, entre autres, à l'opacité des paradis fiscaux. Malgré les importants moyens consacrés à cette traque par la communauté financière internationale, les maigres résultats ne sont pas à la hauteur des enjeux. L'Algérie, à l'instar des autres membres de la communauté internationale a, depuis l'adoption de ces résolutions, pris les mesures adéquates pour leur mise en œuvre, notamment en mettant en place les structures de soutien juridique et judiciaire, administratives, sécuritaires et diplomatiques requises et en coopérant activement avec les comités et autres organes d'appui technique au niveau des Nations unies. Un atelier d'étude et d'information sur le régime des sanctions contre Al-Qaïda et les taliban, se tiendra les 21 et 22 juillet à Alger, a indiqué dimanche la présidence de la République dans un communiqué. Cet atelier, organisé à l'initiative des autorités nationales concernées et avec le concours des Nations unies, notamment l'Equipe d'appui analytique et de surveillance des sanctions contre Al-Qaïda et les taliban, est destiné aux représentants des départements ministériels et des institutions judiciaires, financières et sécuritaires concernées par la mise en œuvre de ces sanctions, ajoute le communiqué. La tenue de cet atelier s'inscrit dans cette démarche et vise à consolider la capacité des institutions nationales à faire face aux engagements internationaux de l'Algérie et à renforcer les mécanismes de coopération internationale et ce, conformément aux objectifs de la Stratégie mondiale des Nations unies en matière de lutte contre le terrorisme, précise-t-on. Rappelons que le comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1267 (1999) le 15 octobre 1999 est également connu sous le nom de « Comité des sanctions contre Al-Qaïda et les taliban ». Ce comité est l'un des trois organes de lutte contre le terrorisme créés par le Conseil de sécurité. Les deux autres sont le Comité de lutte contre le terrorisme et le Comité 1540. Les trois comités et leurs experts coordonnent leurs activités et coopèrent étroitement. Par ailleurs, dans la mesure du possible, ils rendent compte de leurs travaux au Conseil de sécurité dans le cadre de réunions conjointes. En outre, la coopération entre le Comité et Interpol a débouché sur une importante initiative visant à aider les Etats membres à identifier les personnes inscrites sur la Liste récapitulative grâce à la publication sur le site d'Interpol, depuis décembre 2005, de notices spéciales Interpol-Conseil de sécurité de l'ONU. Ces notices spéciales concernant des entités associées à Al-Qaïda et aux taliban font partie du dispositif mis en place par Interpol et l'ONU pour aider les pays membres à appliquer les sanctions prévues (gel des avoirs et embargo sur les armes). Elles sont diffusées à l'ensemble des 186 pays membres d'Interpol et servent à les informer de l'existence de sanctions à l'encontre des entités visées. Le régime des sanctions a été modifié et renforcé par des résolutions ultérieures, de sorte que les sanctions s'appliquent désormais aux personnes et entités associées à Al-Qaïda, à Oussama ben Laden ou aux Taliban où qu'elles se trouvent. Les noms des personnes et entités ainsi visées sont inscrits dans la Liste récapitulative. Ces résolutions ont toutes été adoptées en vertu du chapitre VII de la Charte des Nations unies, et exigent de tous les Etats qu'ils prennent des mesures à l'encontre de toute personne ou entité associée à Al-Qaïda, à Oussama ben Laden ou aux taliban que le Comité peut désigner. La résolution 1617 du Conseil de sécurité de l'ONU, adoptée à l'unanimité en juillet 2005, prie le secrétaire général des Nations unies de collaborer avec Interpol en vue de l'élaboration d'outils efficaces devant aider le Comité 1267 du Conseil de sécurité à remplir son mandat au regard du gel des avoirs, de l'embargo sur les armes et de l'interdiction de voyager visant les groupes et individus associés à Al-Qaïda et aux taliban. Interpol joue un rôle primordial en aidant les polices des 186 pays membres à échanger des informations essentielles relatives à la criminalité. La publication de ces Notices spéciales attirera l'attention des services chargés de l'application de la loi de nos pays membres sur des activités terroristes dissimulées et aidera les pays à établir d'éventuels liens avec ces entités. Un groupe d'experts a fait récemment l'amer constat des difficultés rencontrées pourr appliquer les sanctions. Seuls 26 pays sur 191 Etats membres ont gelé des comptes bancaires pour une somme approximative de 75 millions de dollars. Une goutte d'eau dans l'océan des financements qui irriguent le terrorisme mondial. Seuls des comptes bancaires ont pu être saisis. Les efforts pour neutraliser les biens et les entreprises affiliés se sont heurtés, entre autres, à l'opacité des paradis fiscaux. Malgré les importants moyens consacrés à cette traque par la communauté financière internationale, les maigres résultats ne sont pas à la hauteur des enjeux. L'Algérie, à l'instar des autres membres de la communauté internationale a, depuis l'adoption de ces résolutions, pris les mesures adéquates pour leur mise en œuvre, notamment en mettant en place les structures de soutien juridique et judiciaire, administratives, sécuritaires et diplomatiques requises et en coopérant activement avec les comités et autres organes d'appui technique au niveau des Nations unies.