La diva algérienne, remarquablement accompagnée par l'orchestre de Madjed Sourour, a indéniablement conféré une dimension supplémentaire au festival arabe de Djemila. La diva algérienne, remarquablement accompagnée par l'orchestre de Madjed Sourour, a indéniablement conféré une dimension supplémentaire au festival arabe de Djemila. La diva algérienne Warda a illuminé de sa présence l'antique Cuicul et charmé le public, vendredi soir, en clôture du 4e festival de la chanson arabe de Djemila. Au cours de l'ultime soirée de cette manifestation, marquée par la présence de la ministre de la culture, Mme Khalida Toumi, et d'une assistance très nombreuse, l'interprète de Aïd El Karama a interprété plusieurs de ses «standards» dont «Khellik Hina», «Akdhab Aleïk», «Etouanass bik» ou encore «Harram't Ahibbek». Cédant aux sollicitations de l'assistance, reprenant volontiers des passages de ses «tubes» les plus connus, elle «provoquait» souvent le public lorsqu'elle estimait que celui-ci «s'endormait un peu», suscitant les acclamations d'une assistance conquise et admirative. Egale à elle-même, le port altier dans une longue robe scintillante aux tons pastel, belle et le sourire resplendissant, la diva algérienne, remarquablement accompagnée par l'orchestre de Madjed Sourour, a indéniablement conféré une dimension supplémentaire au festival arabe de Djemila, faisant dire à un spectateur qui pense déjà à la 5e édition que «la barre est désormais placée très haut». A l'issue de son tour de chant, Warda a été honorée par la ministre de la culture qui lui a remis un bouquet de roses et le trophée du festival pendant que le ciel de Djemila s'embrasait du déploiement des corolles crépitantes et multicolores d'un superbe feu d'artifice. Avant l'apparition attendue de Warda, le public, plus nombreux que d'habitude face à la grande scène dressée au pied de l'arc de l'empereur Caracalla, avait été «mis en appétit» par le chanteur populaire égyptien Hakim. Vedette incontestée du «shaâbi» qui puise son inspiration des maximes populaires et de la vie quotidienne, notamment dans les campagnes du pays du Nil, Hakim, grâce à sa présence sur scène, sa voix puissante et son orchestre où dominent les cuivres et la percussion, a su donner le ton à une soirée que le public de Djemila gardera sans doute longtemps en mémoire La diva algérienne Warda a illuminé de sa présence l'antique Cuicul et charmé le public, vendredi soir, en clôture du 4e festival de la chanson arabe de Djemila. Au cours de l'ultime soirée de cette manifestation, marquée par la présence de la ministre de la culture, Mme Khalida Toumi, et d'une assistance très nombreuse, l'interprète de Aïd El Karama a interprété plusieurs de ses «standards» dont «Khellik Hina», «Akdhab Aleïk», «Etouanass bik» ou encore «Harram't Ahibbek». Cédant aux sollicitations de l'assistance, reprenant volontiers des passages de ses «tubes» les plus connus, elle «provoquait» souvent le public lorsqu'elle estimait que celui-ci «s'endormait un peu», suscitant les acclamations d'une assistance conquise et admirative. Egale à elle-même, le port altier dans une longue robe scintillante aux tons pastel, belle et le sourire resplendissant, la diva algérienne, remarquablement accompagnée par l'orchestre de Madjed Sourour, a indéniablement conféré une dimension supplémentaire au festival arabe de Djemila, faisant dire à un spectateur qui pense déjà à la 5e édition que «la barre est désormais placée très haut». A l'issue de son tour de chant, Warda a été honorée par la ministre de la culture qui lui a remis un bouquet de roses et le trophée du festival pendant que le ciel de Djemila s'embrasait du déploiement des corolles crépitantes et multicolores d'un superbe feu d'artifice. Avant l'apparition attendue de Warda, le public, plus nombreux que d'habitude face à la grande scène dressée au pied de l'arc de l'empereur Caracalla, avait été «mis en appétit» par le chanteur populaire égyptien Hakim. Vedette incontestée du «shaâbi» qui puise son inspiration des maximes populaires et de la vie quotidienne, notamment dans les campagnes du pays du Nil, Hakim, grâce à sa présence sur scène, sa voix puissante et son orchestre où dominent les cuivres et la percussion, a su donner le ton à une soirée que le public de Djemila gardera sans doute longtemps en mémoire