Au cours de sa visite d'inspection et de travail à Blida, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a dénoncé les conditions d'octroi des marchés publics dans le domaine de la construction. Les entrepreneurs chinois, selon lui, sont défavorisés par rapport à leurs confrères égyptiens et turcs. «Avec les Egyptiens, les prix sont déterminés selon la loi de l'économie de marché, ceux des marché signés avec les Chinois passent par des négociations politiques» a reproché le président de la République. Il a, à cet effet, appelé à un alignement des prix proposés aux Chinois avec ceux des autres compagnies étrangères. L'intervention de M. Bouteflika vient ainsi comme une explication à l'essoufflement enregistré dans les chantiers de cités attribués aux Chinois. Lors de l'inauguration d'une cité de 865 logements Aadl le président de la République s'est interrogé sur la qualité du travail des Chinois auprès du ministre de l'Habitat, M. Noureddine Moussa. Les logements de la cité en question seront distribués très prochainement selon l'exposant du projet. Le prix de vente administré aux citoyens serait de 20.000 DA le m2. Le coût réel du mètre carré s'élève, cependant, à 30.000 DA. Ce sont des appartements en F3 et F4 que comportent les 25 immeubles de la cité inaugurée. Les immeubles comptent, par ailleurs, 36 locaux commerciaux. Il convient de noter que cette cité a été réalisée par une entreprise égyptienne. L'inauguration de la cité Aadl a été précédée par deux autres points d'inspection. Le premier concerne la pose de la première pierre dans un projet de construction d'un pôle universitaire à El Affroun. Le pôle en question est divisé en deux zones : une pédagogique et une autre résidentielle. Sa capacité d'accueil est importante : 27.000 places pédagogiques et 15.000 lits, en plus d'un centre de d'enseignement intensif de langues, un centre audiovisuel ainsi que trois centres de soutien pédagogique. Le coût de réalisation de ce pôle est estimé à 3 milliards de dinars. Le délai de sa réalisation à été fixé à deux années. Ce sont justement les Chinois qui ont décroché le marché de sa construction. Le deuxième point d'inspection s'est effectué dans la même localité. Abdelaziz Bouteflika a procédé à la mise en service d'un poste de très haute tension (THT) d'une capacité de 400 KV non atteinte lors du démarrage. Le président de la République à prôné au réalisateur du projet « d'établir des comptes rendus objectifs du projet ». L'exposant a expliqué qu'il s'agissait d'un problème technique. Il convient de noter que le poste mis en marche compte parmi 9 autres stations réparties sur le territoire national. Un projet lancé en 2006 dans le but de renforcer la sécurité en approvisionnement électrique à travers le pays. La réalisation de ce poste a coûté quelque 783 millions de dinars. L'exposant a avancé que ce projet est estimé le plus important en Algérie. Au cours de sa visite d'inspection et de travail à Blida, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a dénoncé les conditions d'octroi des marchés publics dans le domaine de la construction. Les entrepreneurs chinois, selon lui, sont défavorisés par rapport à leurs confrères égyptiens et turcs. «Avec les Egyptiens, les prix sont déterminés selon la loi de l'économie de marché, ceux des marché signés avec les Chinois passent par des négociations politiques» a reproché le président de la République. Il a, à cet effet, appelé à un alignement des prix proposés aux Chinois avec ceux des autres compagnies étrangères. L'intervention de M. Bouteflika vient ainsi comme une explication à l'essoufflement enregistré dans les chantiers de cités attribués aux Chinois. Lors de l'inauguration d'une cité de 865 logements Aadl le président de la République s'est interrogé sur la qualité du travail des Chinois auprès du ministre de l'Habitat, M. Noureddine Moussa. Les logements de la cité en question seront distribués très prochainement selon l'exposant du projet. Le prix de vente administré aux citoyens serait de 20.000 DA le m2. Le coût réel du mètre carré s'élève, cependant, à 30.000 DA. Ce sont des appartements en F3 et F4 que comportent les 25 immeubles de la cité inaugurée. Les immeubles comptent, par ailleurs, 36 locaux commerciaux. Il convient de noter que cette cité a été réalisée par une entreprise égyptienne. L'inauguration de la cité Aadl a été précédée par deux autres points d'inspection. Le premier concerne la pose de la première pierre dans un projet de construction d'un pôle universitaire à El Affroun. Le pôle en question est divisé en deux zones : une pédagogique et une autre résidentielle. Sa capacité d'accueil est importante : 27.000 places pédagogiques et 15.000 lits, en plus d'un centre de d'enseignement intensif de langues, un centre audiovisuel ainsi que trois centres de soutien pédagogique. Le coût de réalisation de ce pôle est estimé à 3 milliards de dinars. Le délai de sa réalisation à été fixé à deux années. Ce sont justement les Chinois qui ont décroché le marché de sa construction. Le deuxième point d'inspection s'est effectué dans la même localité. Abdelaziz Bouteflika a procédé à la mise en service d'un poste de très haute tension (THT) d'une capacité de 400 KV non atteinte lors du démarrage. Le président de la République à prôné au réalisateur du projet « d'établir des comptes rendus objectifs du projet ». L'exposant a expliqué qu'il s'agissait d'un problème technique. Il convient de noter que le poste mis en marche compte parmi 9 autres stations réparties sur le territoire national. Un projet lancé en 2006 dans le but de renforcer la sécurité en approvisionnement électrique à travers le pays. La réalisation de ce poste a coûté quelque 783 millions de dinars. L'exposant a avancé que ce projet est estimé le plus important en Algérie.