L'attentat a été perpétré par un kamikaze, à bord d'un fourgon de type Hillux, qui a tenté de foncer sur un poste de la gendarmerie nationale, jouxtant un cantonnement des garde-côtes, faisant 8 morts et 19 blessés. L'attentat a été perpétré par un kamikaze, à bord d'un fourgon de type Hillux, qui a tenté de foncer sur un poste de la gendarmerie nationale, jouxtant un cantonnement des garde-côtes, faisant 8 morts et 19 blessés. Un attentat kamikaze a été perpétré dans la nuit de samedi à dimanche, à Zemmouri el-Bahri ( Boumerdes), faisant 8 morts et 19 blessés. Cet énième acte macabre a visé les postes de la gendarmerie et des garde-côtes. Les victimes sont toutes des civils. La forte explosion, entendue à des kilomètres à la ronde, avait alors arraché de son profond sommeil, la population de cette paisible ville côtière. Il a fallu attendre la matinée d'hier, pour voir les langues se délier. Selon certains témoignages, l'attentat a été perpétré par un kamikaze, à bord d'un fourgon de type Hillux, qui a tenté de foncer sur un poste de la gendarmerie nationale, jouxtant un cantonnement des garde-côtes. Cependant, la vigilance d'un gendarme en faction l'a empêché d'atteindre son objectif. Selon les premiers éléments de l'enquête menée par les services de sécurité, le véhicule du kamikaze aurait été chargé de quelque 300 kg de TNT. Un gendarme rencontré sur le lieu du drame, a témoigné que le kamikaze, a été stoppé net par un coup de feu tiré par l'un de ses collègues, alors que lui, criait à tue-tête : «Allah akbar… Allah akbar». D'ailleurs, enchaîne t-il, ce sont ces cris, connus des terroristes, qui ont éveillé le gendarme. L'explosion provoqua alors une grande panique chez les riverains. Ainsi, commença aussitôt le carrousel des ambulances qui évacueront les victimes vers l'hôpital. Parmi les victimes, l'on dénombre, selon des témoignages, deux adolescents, vendeurs de cigarettes et un clandestin, trouvé complètement calciné dans sa propre voiture de type Mégane. La forte explosion a provoqué d'énormes dégâts matériels : les postes de la gendarmerie nationale et de la protection civile ont été complètement ravagés, alors que la façade de la caserne des garde-côtes a été soufflée. En outre l'Office national de l'assainissement (ONA) n'a pas échappé à la forte déflagration. Trois voitures (de marques Toyota, Mégane et Clio), ont été calcinées. Un locataire d'un bungalow a fait savoir que plus d'une dizaine de résidences estivales ont été touchées. La déflagration a causé un cratère de plus d'un mètre de profondeur. Toutes les bâtisses alentour ont été soufflées par la déflagration : vitres, rideaux et toits en tuiles. Par ailleurs, nous avons appris qu'une panique générale s'est emparée des habitants, et ce, juste après l'explosion. «En premier lieu, on a cru à un tremblement de terre, mais avec les coups de feu qui s'en sont suivis, on a compris qu'il s'agit d'un attentat terroriste», témoigne Da Moh, un vieux habitant. K. L. C. Un attentat kamikaze a été perpétré dans la nuit de samedi à dimanche, à Zemmouri el-Bahri ( Boumerdes), faisant 8 morts et 19 blessés. Cet énième acte macabre a visé les postes de la gendarmerie et des garde-côtes. Les victimes sont toutes des civils. La forte explosion, entendue à des kilomètres à la ronde, avait alors arraché de son profond sommeil, la population de cette paisible ville côtière. Il a fallu attendre la matinée d'hier, pour voir les langues se délier. Selon certains témoignages, l'attentat a été perpétré par un kamikaze, à bord d'un fourgon de type Hillux, qui a tenté de foncer sur un poste de la gendarmerie nationale, jouxtant un cantonnement des garde-côtes. Cependant, la vigilance d'un gendarme en faction l'a empêché d'atteindre son objectif. Selon les premiers éléments de l'enquête menée par les services de sécurité, le véhicule du kamikaze aurait été chargé de quelque 300 kg de TNT. Un gendarme rencontré sur le lieu du drame, a témoigné que le kamikaze, a été stoppé net par un coup de feu tiré par l'un de ses collègues, alors que lui, criait à tue-tête : «Allah akbar… Allah akbar». D'ailleurs, enchaîne t-il, ce sont ces cris, connus des terroristes, qui ont éveillé le gendarme. L'explosion provoqua alors une grande panique chez les riverains. Ainsi, commença aussitôt le carrousel des ambulances qui évacueront les victimes vers l'hôpital. Parmi les victimes, l'on dénombre, selon des témoignages, deux adolescents, vendeurs de cigarettes et un clandestin, trouvé complètement calciné dans sa propre voiture de type Mégane. La forte explosion a provoqué d'énormes dégâts matériels : les postes de la gendarmerie nationale et de la protection civile ont été complètement ravagés, alors que la façade de la caserne des garde-côtes a été soufflée. En outre l'Office national de l'assainissement (ONA) n'a pas échappé à la forte déflagration. Trois voitures (de marques Toyota, Mégane et Clio), ont été calcinées. Un locataire d'un bungalow a fait savoir que plus d'une dizaine de résidences estivales ont été touchées. La déflagration a causé un cratère de plus d'un mètre de profondeur. Toutes les bâtisses alentour ont été soufflées par la déflagration : vitres, rideaux et toits en tuiles. Par ailleurs, nous avons appris qu'une panique générale s'est emparée des habitants, et ce, juste après l'explosion. «En premier lieu, on a cru à un tremblement de terre, mais avec les coups de feu qui s'en sont suivis, on a compris qu'il s'agit d'un attentat terroriste», témoigne Da Moh, un vieux habitant. Un attentat kamikaze a été perpétré dans la nuit de samedi à dimanche, à Zemmouri el-Bahri ( Boumerdes), faisant 8 morts et 19 blessés. Cet énième acte macabre a visé les postes de la gendarmerie et des garde-côtes. Les victimes sont toutes des civils. La forte explosion, entendue à des kilomètres à la ronde, avait alors arraché de son profond sommeil, la population de cette paisible ville côtière. Il a fallu attendre la matinée d'hier, pour voir les langues se délier. Selon certains témoignages, l'attentat a été perpétré par un kamikaze, à bord d'un fourgon de type Hillux, qui a tenté de foncer sur un poste de la gendarmerie nationale, jouxtant un cantonnement des garde-côtes. Cependant, la vigilance d'un gendarme en faction l'a empêché d'atteindre son objectif. Selon les premiers éléments de l'enquête menée par les services de sécurité, le véhicule du kamikaze aurait été chargé de quelque 300 kg de TNT. Un gendarme rencontré sur le lieu du drame, a témoigné que le kamikaze, a été stoppé net par un coup de feu tiré par l'un de ses collègues, alors que lui, criait à tue-tête : «Allah akbar… Allah akbar». D'ailleurs, enchaîne t-il, ce sont ces cris, connus des terroristes, qui ont éveillé le gendarme. L'explosion provoqua alors une grande panique chez les riverains. Ainsi, commença aussitôt le carrousel des ambulances qui évacueront les victimes vers l'hôpital. Parmi les victimes, l'on dénombre, selon des témoignages, deux adolescents, vendeurs de cigarettes et un clandestin, trouvé complètement calciné dans sa propre voiture de type Mégane. La forte explosion a provoqué d'énormes dégâts matériels : les postes de la gendarmerie nationale et de la protection civile ont été complètement ravagés, alors que la façade de la caserne des garde-côtes a été soufflée. En outre l'Office national de l'assainissement (ONA) n'a pas échappé à la forte déflagration. Trois voitures (de marques Toyota, Mégane et Clio), ont été calcinées. Un locataire d'un bungalow a fait savoir que plus d'une dizaine de résidences estivales ont été touchées. La déflagration a causé un cratère de plus d'un mètre de profondeur. Toutes les bâtisses alentour ont été soufflées par la déflagration : vitres, rideaux et toits en tuiles. Par ailleurs, nous avons appris qu'une panique générale s'est emparée des habitants, et ce, juste après l'explosion. «En premier lieu, on a cru à un tremblement de terre, mais avec les coups de feu qui s'en sont suivis, on a compris qu'il s'agit d'un attentat terroriste», témoigne Da Moh, un vieux habitant. K. L. C. Un attentat kamikaze a été perpétré dans la nuit de samedi à dimanche, à Zemmouri el-Bahri ( Boumerdes), faisant 8 morts et 19 blessés. Cet énième acte macabre a visé les postes de la gendarmerie et des garde-côtes. Les victimes sont toutes des civils. La forte explosion, entendue à des kilomètres à la ronde, avait alors arraché de son profond sommeil, la population de cette paisible ville côtière. Il a fallu attendre la matinée d'hier, pour voir les langues se délier. Selon certains témoignages, l'attentat a été perpétré par un kamikaze, à bord d'un fourgon de type Hillux, qui a tenté de foncer sur un poste de la gendarmerie nationale, jouxtant un cantonnement des garde-côtes. Cependant, la vigilance d'un gendarme en faction l'a empêché d'atteindre son objectif. Selon les premiers éléments de l'enquête menée par les services de sécurité, le véhicule du kamikaze aurait été chargé de quelque 300 kg de TNT. Un gendarme rencontré sur le lieu du drame, a témoigné que le kamikaze, a été stoppé net par un coup de feu tiré par l'un de ses collègues, alors que lui, criait à tue-tête : «Allah akbar… Allah akbar». D'ailleurs, enchaîne t-il, ce sont ces cris, connus des terroristes, qui ont éveillé le gendarme. L'explosion provoqua alors une grande panique chez les riverains. Ainsi, commença aussitôt le carrousel des ambulances qui évacueront les victimes vers l'hôpital. Parmi les victimes, l'on dénombre, selon des témoignages, deux adolescents, vendeurs de cigarettes et un clandestin, trouvé complètement calciné dans sa propre voiture de type Mégane. La forte explosion a provoqué d'énormes dégâts matériels : les postes de la gendarmerie nationale et de la protection civile ont été complètement ravagés, alors que la façade de la caserne des garde-côtes a été soufflée. En outre l'Office national de l'assainissement (ONA) n'a pas échappé à la forte déflagration. Trois voitures (de marques Toyota, Mégane et Clio), ont été calcinées. Un locataire d'un bungalow a fait savoir que plus d'une dizaine de résidences estivales ont été touchées. La déflagration a causé un cratère de plus d'un mètre de profondeur. Toutes les bâtisses alentour ont été soufflées par la déflagration : vitres, rideaux et toits en tuiles. Par ailleurs, nous avons appris qu'une panique générale s'est emparée des habitants, et ce, juste après l'explosion. «En premier lieu, on a cru à un tremblement de terre, mais avec les coups de feu qui s'en sont suivis, on a compris qu'il s'agit d'un attentat terroriste», témoigne Da Moh, un vieux habitant.