Après la déconfiture des Algériens en athlétisme, tous les espoirs de médaille reposent sur Ouatah Nawfel, Benchebla Abdelhafid et Chadi Abdelkader. Après la déconfiture des Algériens en athlétisme, tous les espoirs de médaille reposent sur Ouatah Nawfel, Benchebla Abdelhafid et Chadi Abdelkader. Mohamed Ameur n'a pu prétendre qu'à l'avant dernière place, à savoir la 48e position, dans l'épreuve de 20 km marche avec un temps de 1heure 32 minutes et 21 secondes dans une course très relevée où le Russe Valery Borchin a été tout simplement époustouflant en passant la ligne d'arrivée en première position offrant ainsi une médaille d'or à la Russie avec un temps de 1h 19min et 01 sec, passant à côté d'un record des jeux Olympiques d'une seconde. Les marcheurs ont subi des conditions climatiques difficiles à cause de l'humidité (55 %), par contre, la température était plus clémente que les jours précédents où elle ne dépassait pas les 25 degrés. Cependant, l'Algérien Mohamed Ameur a dû faire face à ses adversaires mais, surtout, à son manque, pour ne pas dire absence, de préparation pour aller jusqu'au bout de la course. Il avait gros sur le cœur lui qui participe à une épreuve pas très médiatisée et qui se trouve parfois reléguée même par les responsables de la discipline. Contacté à la fin de la course, Mohamed Ameur ne cache pas sa colère et tire à boulets rouges sur les responsables de la Fédération d'athlétisme. «Bien sûr que les conditions climatiques ont été difficiles à surmonter pour moi parce que je ne me suis pas bien préparé. Je sais qu'ici c'est le niveau mondial. Je m'attendais donc à tout ça, mais sans préparation on ne peut rien faire. » Pour connaître les raisons qui ont fait qu'il s'engage dans une telle compétition sans préparation, Mohamed Ameur a d'abord cité un problème de visa. «On ne m'a pas accordé de visa pour aller me préparer. La fédération ne m'a pas aidé. C'est la stricte vérité. Je suis donc resté à Alger et je n'ai pas eu droit à une bonne préparation. Je suis plus que déçu. Je suis dans un état de frustration mais je n'y peux rien. C'est malheureusement comme cela que ça se passe chez nous. L'essentiel pour moi était de terminer la course et de ne pas abandonner. Je suis allé jusqu'au bout de mes forces. Je n'avais qu'une seule idée en tête, terminer la course. Je l'ai fait». L'autre déception en athlétisme nous vient de Issam Nima. Notre champion d'Afrique du saut en longueur ne s'est pas présenté pour le concours. Il se serait blessé à l'échauffement. Issam Nima s'est préparé durant des mois et a, depuis deux ans, réalisé de belles performances. Hier, il est passé à côté de l'événement de sa carrière, lui qui avait des chances de se qualifier. Et comme une mauvaise nouvelle n'arrive jamais seule, au 3.000 m steeple, Rabie Makhlouf n'a pas réussi à se qualifier pour la finale en terminant la course à la 8e position à 6 secondes du dernier qualifié. L'Algérien a réalisé 8 min 29 sec 74 cen. Il n'était pourtant pas loin dans une course gagnée avec 8.min 23 sec.42 cen par le Français Bob Tahri. Il est à signaler que les quatre qualifiés ont réalisé un temps en dessous de 8 min 23. La journée d'aujourd'hui débutera avec l'athlétisme et l'espoir d'une médaille pour l'Algérie dans le marathon. Souad Ait Salem, qui a été régulière ces deux dernières années, a créé la surprise à Rome en gagnant la course du marathon. Elle a effectué également un parcours remarquable au marathon de Londres avec une 6e place qui l'a propulsée parmi les meilleures au monde. Souad Ait Salem avait déclaré, avant de quitter Alger, qu'elle a pris de la maturité sur cette distance et que son rêve était de décrocher une médaille olympique à Pékin. Souad semble décidée et espère ne pas avoir de mauvaises surprises comme ce fut le cas lors du championnat du monde au Japon en 2007 où elle a été victime d'une sévère chute qui l'a contrainte à se contenter de la 16e place. En début de soirée, il y aura les demi finales du 1.500 m, l'épreuve reine qui verra deux Algériens sur la piste,Tarek Boukensa et Antar Zerguelaine. A en croire ce qui se dit dans le village olympique, les deux athlètes sont décidés à aller chercher la qualification. Leurs chronos plaident en leur faveur. Boukensa tourne autour de 3 min 31 et Zerguelaine 3 min 33. Concernant le noble art, l'Algérie devra se contenter de ses trois qualifiés pour les quarts de finale puisque le quatrième, Nabil Kassel pour les 75 kg a été éliminé lors des 8es de finale par l'Irlandais john Durren Sutherland par arrêt de l'arbitre 21 à 14. Un écart considérable pour Kassel qui était considéré comme un potentiel médaillé. Dès lors, tous les espoirs de médailles pour la boxe algérienne reposent sur Ouatah Nawfel 91 kg, Benchebla Abdelhalfid 81 kg et Chadi Abdelkader en poids plume qui disputeront les demi finales lundi et mardi ( mardi pour Benchebla et lundi dans les categories de Chadi et Ouatah ). Mohamed Ameur n'a pu prétendre qu'à l'avant dernière place, à savoir la 48e position, dans l'épreuve de 20 km marche avec un temps de 1heure 32 minutes et 21 secondes dans une course très relevée où le Russe Valery Borchin a été tout simplement époustouflant en passant la ligne d'arrivée en première position offrant ainsi une médaille d'or à la Russie avec un temps de 1h 19min et 01 sec, passant à côté d'un record des jeux Olympiques d'une seconde. Les marcheurs ont subi des conditions climatiques difficiles à cause de l'humidité (55 %), par contre, la température était plus clémente que les jours précédents où elle ne dépassait pas les 25 degrés. Cependant, l'Algérien Mohamed Ameur a dû faire face à ses adversaires mais, surtout, à son manque, pour ne pas dire absence, de préparation pour aller jusqu'au bout de la course. Il avait gros sur le cœur lui qui participe à une épreuve pas très médiatisée et qui se trouve parfois reléguée même par les responsables de la discipline. Contacté à la fin de la course, Mohamed Ameur ne cache pas sa colère et tire à boulets rouges sur les responsables de la Fédération d'athlétisme. «Bien sûr que les conditions climatiques ont été difficiles à surmonter pour moi parce que je ne me suis pas bien préparé. Je sais qu'ici c'est le niveau mondial. Je m'attendais donc à tout ça, mais sans préparation on ne peut rien faire. » Pour connaître les raisons qui ont fait qu'il s'engage dans une telle compétition sans préparation, Mohamed Ameur a d'abord cité un problème de visa. «On ne m'a pas accordé de visa pour aller me préparer. La fédération ne m'a pas aidé. C'est la stricte vérité. Je suis donc resté à Alger et je n'ai pas eu droit à une bonne préparation. Je suis plus que déçu. Je suis dans un état de frustration mais je n'y peux rien. C'est malheureusement comme cela que ça se passe chez nous. L'essentiel pour moi était de terminer la course et de ne pas abandonner. Je suis allé jusqu'au bout de mes forces. Je n'avais qu'une seule idée en tête, terminer la course. Je l'ai fait». L'autre déception en athlétisme nous vient de Issam Nima. Notre champion d'Afrique du saut en longueur ne s'est pas présenté pour le concours. Il se serait blessé à l'échauffement. Issam Nima s'est préparé durant des mois et a, depuis deux ans, réalisé de belles performances. Hier, il est passé à côté de l'événement de sa carrière, lui qui avait des chances de se qualifier. Et comme une mauvaise nouvelle n'arrive jamais seule, au 3.000 m steeple, Rabie Makhlouf n'a pas réussi à se qualifier pour la finale en terminant la course à la 8e position à 6 secondes du dernier qualifié. L'Algérien a réalisé 8 min 29 sec 74 cen. Il n'était pourtant pas loin dans une course gagnée avec 8.min 23 sec.42 cen par le Français Bob Tahri. Il est à signaler que les quatre qualifiés ont réalisé un temps en dessous de 8 min 23. La journée d'aujourd'hui débutera avec l'athlétisme et l'espoir d'une médaille pour l'Algérie dans le marathon. Souad Ait Salem, qui a été régulière ces deux dernières années, a créé la surprise à Rome en gagnant la course du marathon. Elle a effectué également un parcours remarquable au marathon de Londres avec une 6e place qui l'a propulsée parmi les meilleures au monde. Souad Ait Salem avait déclaré, avant de quitter Alger, qu'elle a pris de la maturité sur cette distance et que son rêve était de décrocher une médaille olympique à Pékin. Souad semble décidée et espère ne pas avoir de mauvaises surprises comme ce fut le cas lors du championnat du monde au Japon en 2007 où elle a été victime d'une sévère chute qui l'a contrainte à se contenter de la 16e place. En début de soirée, il y aura les demi finales du 1.500 m, l'épreuve reine qui verra deux Algériens sur la piste,Tarek Boukensa et Antar Zerguelaine. A en croire ce qui se dit dans le village olympique, les deux athlètes sont décidés à aller chercher la qualification. Leurs chronos plaident en leur faveur. Boukensa tourne autour de 3 min 31 et Zerguelaine 3 min 33. Concernant le noble art, l'Algérie devra se contenter de ses trois qualifiés pour les quarts de finale puisque le quatrième, Nabil Kassel pour les 75 kg a été éliminé lors des 8es de finale par l'Irlandais john Durren Sutherland par arrêt de l'arbitre 21 à 14. Un écart considérable pour Kassel qui était considéré comme un potentiel médaillé. Dès lors, tous les espoirs de médailles pour la boxe algérienne reposent sur Ouatah Nawfel 91 kg, Benchebla Abdelhalfid 81 kg et Chadi Abdelkader en poids plume qui disputeront les demi finales lundi et mardi ( mardi pour Benchebla et lundi dans les categories de Chadi et Ouatah ).