Tôt dans la matinée d'hier les habitants de la ville de Bouira ont été surpris dans leur sommeil par deux déflagrations presque simultanées et de très forte intensité. Deux attentats suicides à la voiture piégée venaient d'être commis à quelques minutes d'intervalle seulement. Tôt dans la matinée d'hier les habitants de la ville de Bouira ont été surpris dans leur sommeil par deux déflagrations presque simultanées et de très forte intensité. Deux attentats suicides à la voiture piégée venaient d'être commis à quelques minutes d'intervalle seulement. L'horreur et la désolation étaient une nouvelle fois au rendez-vous hier à Bouira, soit à moins de 48 heures de l'attentat Kamikaze ayant ciblé l'école de la gendarmerie des Issers, dans la wilaya de Boumerdès, faisant 43 morts et 45 blessés parmi les civils. Tôt dans la matinée d'hier les habitants de la ville de Bouira ont été surpris dans leur sommeil par deux déflagrations presque simultanées et de très forte intensité. Deux attentats suicides à la voiture piégée venaient d'être commis à quelques minutes d'intervalle seulement. Bilan des deux attentats; 12 morts et 42 blessés dont quatre militaires. Il était exactement 06 heures quand des milliers de citoyens de la ville de Bouira et de ses alentours furent arrachés à leur sommeil par la première explosion qui fût entendue à des kilomètres à la ronde. Celle-ci venait de se produire dans un quartier non loin du centre ville, dans une grande artère, du côté de cour de justice et du centre universitaire. Le Kamikaze auteur de l'attentat, se trouvait à bord d'un véhicule de marque Renault (une Clio), bourré d'explosifs attestent les spécialistes, qui avaient identifié le moteur calciné qui se trouvait sur les lieux de l'attentat) et est allé se percuter à toute allure contre un bus transportant des travailleurs de la société canadienne Lavalin, spécialisée dans les stations de traitement des eaux. Le drame s'est soldé par la mort de 12 personnes parmi les travailleurs (toutes d'origine algérienne, habitant dans plusieurs localités de la wilaya) et des dizaines de blessés, parmi les civils. Le bus qui était ciblé par le Kamikaze avait l'habitude d'emprunter ce chemin à ce moment précis pour ramasser les travailleurs avant de les acheminer vers la commune de Djebahia leur lieu de travail. Quelques instants plus tard (03 à 05 minutes affirment la majorité des citoyens interrogés) une deuxième explosion retentit toujours au centre ville mais cette fois-ci du côté du quartier appelé communément «Echateau ». Le Kamikaze de ce deuxième attentat qui était allé se faire s'exploser contre les locaux du secteur militaire était lui aussi à bord d'un véhicule de marque Renault bourré d'explosifs. La structure étant bien barricadée, ce deuxième attentat suicide à la voiture piégée, qui a néanmoins occasionné énormément de dégâts matériels, n'a heureusement fait que quelques blessés parmi les militaires qui se trouvaient au poste de garde au moment de l'attentat. Juste après les deux explosions, les services de sécurité et ceux de la protection civile se sont vite déployés. Les chemins menant vers les lieux des attentats étaient aussitôt fermés à la circulation des personnes et des véhicules afin de faciliter l'évacuation des victimes et de permettre également aux éléments de la police scientifique et ceux de la protection civile de mener à bien leurs missions. « C'est énorme, je ne peux pas vous décrire l'ampleur due la déflagration. On avait l'habitude d'entendre des explosions mais pas comme celle d'hier qui a lieu face à l'hôtel Sofy. On avait l'impression que le ciel allait s'abattre sur nos têtes » Dira un quinquagénaire habitant à quelques centaines de mètres du lieu où a eu lieu le premier attentat. Ceci étant, hier dans les quartiers de la ville de Bouira, les gens n'avaient pour discussion que le macabre événement qui est venu envenimer leur quotidien et endeuiller leur ville. Les Bouiris dont les visages étaient visiblement marqué par la consternation mais surtout par la peur, n'arrêtaient pas de se poser un tant des questions sur cette recrudescence des actes ignobles enregistrés ces derniers temps à travers plusieurs régions du pays et sur les opérations Kamikazes, cette nouvelle forme de violence qu'utilisent actuellement les hordes sauvages pour faucher des vies humaines sans aucune distinction. BARKAT ET CHERIF ABBASAU CHEVET DES VICTIMES M.Said Barket, Ministre de la santé et de la population ainsi que le Ministre des Moudjahidine, M.Chérif Abbas, qui étaient hier à Bouira à l'occasion de la célébration de la journée du Moudjahid coïncidant avec le double anniversaire des 20 Août 1955 et 1956 se sont rendus à l'hôpital Mohammed Boudiaf de la ville où ils ont rendu visite aux victimes des deux attentats meurtriers perpétrés hier matin dans le centre ville de Bouira. L'horreur et la désolation étaient une nouvelle fois au rendez-vous hier à Bouira, soit à moins de 48 heures de l'attentat Kamikaze ayant ciblé l'école de la gendarmerie des Issers, dans la wilaya de Boumerdès, faisant 43 morts et 45 blessés parmi les civils. Tôt dans la matinée d'hier les habitants de la ville de Bouira ont été surpris dans leur sommeil par deux déflagrations presque simultanées et de très forte intensité. Deux attentats suicides à la voiture piégée venaient d'être commis à quelques minutes d'intervalle seulement. Bilan des deux attentats; 12 morts et 42 blessés dont quatre militaires. Il était exactement 06 heures quand des milliers de citoyens de la ville de Bouira et de ses alentours furent arrachés à leur sommeil par la première explosion qui fût entendue à des kilomètres à la ronde. Celle-ci venait de se produire dans un quartier non loin du centre ville, dans une grande artère, du côté de cour de justice et du centre universitaire. Le Kamikaze auteur de l'attentat, se trouvait à bord d'un véhicule de marque Renault (une Clio), bourré d'explosifs attestent les spécialistes, qui avaient identifié le moteur calciné qui se trouvait sur les lieux de l'attentat) et est allé se percuter à toute allure contre un bus transportant des travailleurs de la société canadienne Lavalin, spécialisée dans les stations de traitement des eaux. Le drame s'est soldé par la mort de 12 personnes parmi les travailleurs (toutes d'origine algérienne, habitant dans plusieurs localités de la wilaya) et des dizaines de blessés, parmi les civils. Le bus qui était ciblé par le Kamikaze avait l'habitude d'emprunter ce chemin à ce moment précis pour ramasser les travailleurs avant de les acheminer vers la commune de Djebahia leur lieu de travail. Quelques instants plus tard (03 à 05 minutes affirment la majorité des citoyens interrogés) une deuxième explosion retentit toujours au centre ville mais cette fois-ci du côté du quartier appelé communément «Echateau ». Le Kamikaze de ce deuxième attentat qui était allé se faire s'exploser contre les locaux du secteur militaire était lui aussi à bord d'un véhicule de marque Renault bourré d'explosifs. La structure étant bien barricadée, ce deuxième attentat suicide à la voiture piégée, qui a néanmoins occasionné énormément de dégâts matériels, n'a heureusement fait que quelques blessés parmi les militaires qui se trouvaient au poste de garde au moment de l'attentat. Juste après les deux explosions, les services de sécurité et ceux de la protection civile se sont vite déployés. Les chemins menant vers les lieux des attentats étaient aussitôt fermés à la circulation des personnes et des véhicules afin de faciliter l'évacuation des victimes et de permettre également aux éléments de la police scientifique et ceux de la protection civile de mener à bien leurs missions. « C'est énorme, je ne peux pas vous décrire l'ampleur due la déflagration. On avait l'habitude d'entendre des explosions mais pas comme celle d'hier qui a lieu face à l'hôtel Sofy. On avait l'impression que le ciel allait s'abattre sur nos têtes » Dira un quinquagénaire habitant à quelques centaines de mètres du lieu où a eu lieu le premier attentat. Ceci étant, hier dans les quartiers de la ville de Bouira, les gens n'avaient pour discussion que le macabre événement qui est venu envenimer leur quotidien et endeuiller leur ville. Les Bouiris dont les visages étaient visiblement marqué par la consternation mais surtout par la peur, n'arrêtaient pas de se poser un tant des questions sur cette recrudescence des actes ignobles enregistrés ces derniers temps à travers plusieurs régions du pays et sur les opérations Kamikazes, cette nouvelle forme de violence qu'utilisent actuellement les hordes sauvages pour faucher des vies humaines sans aucune distinction. BARKAT ET CHERIF ABBASAU CHEVET DES VICTIMES M.Said Barket, Ministre de la santé et de la population ainsi que le Ministre des Moudjahidine, M.Chérif Abbas, qui étaient hier à Bouira à l'occasion de la célébration de la journée du Moudjahid coïncidant avec le double anniversaire des 20 Août 1955 et 1956 se sont rendus à l'hôpital Mohammed Boudiaf de la ville où ils ont rendu visite aux victimes des deux attentats meurtriers perpétrés hier matin dans le centre ville de Bouira.