Le mariage n'est plus ce qu'il était. C'est devenu maintenant une occasion où l'on tient plus à exhiber une richesse souvent surfaite. Des mariées empruntent des vêtements de fête, des colliers et des bracelets en or et autres effets de « Tesedira » pour en mettre plein les yeux aux invités. Les parents des mariés sont encore plus engagés dans la cérémonie que leur progéniture. Selon une famille qui prépare le mariage de leur fille, le père a dû contracter des emprunts bancaires pour que la fête se déroule dans de «parfaites» conditions. Dans cette course à l'apparat, la mariée se doit de présenter des effets des plus variés et surtout de grande valeur marchande. La robe constantinoise brodée, communément appelée «gandoura Fergani» coûte environ 80.0000 DA à Alger alors qu'à Constantine elle est cédée à raison de 30.000 DA. Certains modèles de cette robe portant le nom du grand chanteur, coûtent jusqu'à 45.000 DA. La valeur des bijoux qui accompagnent le trousseau de la mariée s'élève entre 150.000 et 500.000 DA. Le futur époux choisira le modèle en fonction de ses moyens. Le karakou, (tenue algéroise composée d'un pantalon large et d'un gilet) coûte plus de 20.000 DA. Or, la tenue de Tlemcen avec ces bijoux vaut plus de 25.000 DA. Pour les mariées qui veulent compléter leur trousseau avec un kaftan marocain, il faut savoir que le prix de celui-ci varie de 50.000 à 80.000 DA. Donc, face à la cherté des tenues spéciales mariage, les jeunes mariés ont de plus en plus tendance à louer les effets nécessaires à la cérémonie, le temps des célébrations de la fête. Ajouter à tout cela, et respectant l'air du temps, la location de la salle pour ceux qui ont en les moyens et évidemment, acheter les boissons et les gâteaux orientaux qui accompagnent toute fête de mariage «réussie». De manière générale, entre la location de la salle, les boissons, la pâtisserie, les frais de DJ, il faut compter en moyenne entre 200.000 et 300.000 DA. Cela, sans compter le trousseau de la mariée. Un mariage de standing moyen revient entre 50 et 80 millions de centimes. Malgré la cherté de la vie, toutes les mariées veulent que leur mariage soit le plus réussi. Et afin de réaliser tout cela, on n'hésite pas à accabler de dettes le futur foyer. Le mariage n'est plus ce qu'il était. C'est devenu maintenant une occasion où l'on tient plus à exhiber une richesse souvent surfaite. Des mariées empruntent des vêtements de fête, des colliers et des bracelets en or et autres effets de « Tesedira » pour en mettre plein les yeux aux invités. Les parents des mariés sont encore plus engagés dans la cérémonie que leur progéniture. Selon une famille qui prépare le mariage de leur fille, le père a dû contracter des emprunts bancaires pour que la fête se déroule dans de «parfaites» conditions. Dans cette course à l'apparat, la mariée se doit de présenter des effets des plus variés et surtout de grande valeur marchande. La robe constantinoise brodée, communément appelée «gandoura Fergani» coûte environ 80.0000 DA à Alger alors qu'à Constantine elle est cédée à raison de 30.000 DA. Certains modèles de cette robe portant le nom du grand chanteur, coûtent jusqu'à 45.000 DA. La valeur des bijoux qui accompagnent le trousseau de la mariée s'élève entre 150.000 et 500.000 DA. Le futur époux choisira le modèle en fonction de ses moyens. Le karakou, (tenue algéroise composée d'un pantalon large et d'un gilet) coûte plus de 20.000 DA. Or, la tenue de Tlemcen avec ces bijoux vaut plus de 25.000 DA. Pour les mariées qui veulent compléter leur trousseau avec un kaftan marocain, il faut savoir que le prix de celui-ci varie de 50.000 à 80.000 DA. Donc, face à la cherté des tenues spéciales mariage, les jeunes mariés ont de plus en plus tendance à louer les effets nécessaires à la cérémonie, le temps des célébrations de la fête. Ajouter à tout cela, et respectant l'air du temps, la location de la salle pour ceux qui ont en les moyens et évidemment, acheter les boissons et les gâteaux orientaux qui accompagnent toute fête de mariage «réussie». De manière générale, entre la location de la salle, les boissons, la pâtisserie, les frais de DJ, il faut compter en moyenne entre 200.000 et 300.000 DA. Cela, sans compter le trousseau de la mariée. Un mariage de standing moyen revient entre 50 et 80 millions de centimes. Malgré la cherté de la vie, toutes les mariées veulent que leur mariage soit le plus réussi. Et afin de réaliser tout cela, on n'hésite pas à accabler de dettes le futur foyer.