L'exemple concret de gaspillage des fonds de l'Etat que le président de la République a relevé est celui des retards dans la réalisation des programmes d'investissements publics. Selon lui ce genre de pratique a coûté au trésor public d'importantes sommes. L'exemple concret de gaspillage des fonds de l'Etat que le président de la République a relevé est celui des retards dans la réalisation des programmes d'investissements publics. Selon lui ce genre de pratique a coûté au trésor public d'importantes sommes. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a tiré la sonnette d'alarme sur la gestion des fonds de l'Etat. «Le budget public a désormais atteint des montants très lourds par rapport aux moyens réels du pays», a-t-il noté au cours d'une réunion du conseil des ministres tenu hier. Ainsi, les dépenses publiques commence à peser lourd sur le budget de l'Etat. Le président a rassuré, par ailleurs, quant au budget de l'année 2009. Dans ce sens, le président a insisté en s'adressant au gouvernement pour «la rationalisation de la dépense publique et la lutte contre le gaspillage des deniers de l'Etat sous toutes les formes». Encore plus qu'une gestion rationnelle des dépenses, le président a appelé à lutter contre le gaspillage des ressources financières du pays. «La situation actuelle nous interpelle également pour freiner le gaspillage des ressources financières du pays» a-t-il souligné. Il a, sur ce volet, donner l'instruction de réduire les dépenses des importations. «Les importations se sont dangereusement emballées et l'excès doit y être banni par des voies et procédures» a-t-il recommandé. Dans le même but de réduire le taux des fonds gaspillé, le président a préconisé de mettre un terme aux «abus et aux programmations aléatoires». L'exemple concret de gaspillage des fonds de l'Etat que le président de la République a relevé est celui des retards dans la réalisation des programmes d'investissements publics. Selon lui ce genre de pratique a coûté au trésor public d'importantes sommes. Il a recommandé aux ministres, sur ce point, d'assumer leurs responsabilités et d'achever les projets sous leur égide à temps. «Les ministres doivent donc assumer leurs responsabilités dans l'exécution correcte de leurs programmes sectoriels y compris en ce qui concerne le respect des délais» a-t-il averti. «Le budget de l'année prochaine sera financé sans difficultés du fait des ressources disponibles au niveau du Fonds de régulation des recettes, d'autant que le remboursement de la dette extérieure pour lequel il a été institué est désormais quasiment parachevé.» a expliqué le président. Ainsi, les budgets consacrés au différent ministère et département publiques ne seront réduits pour l'année prochaine en dépit de la constatation de leur volume dépassant « les moyens de du pays ». Les dépenses retenues pour l'année 2009 représentent quelques 80 milliards de dollars selon le président de la République. Le quota du budget de fonctionnement est évalué à la moitié du budget global soit 40 milliards de dollars. S'agissant de l'aisance financière que connait l'Algérie depuis que le prix du baril de pétrole s'est enflammé, M. Bouteflika a rappelé que la situation n'est pas éternelle. «Cela ne doit pas faire illusion ni pour le gouvernement ni pour la population, car les hydrocarbures ne sont pas inépuisables et leurs prix ne dépendent pas de notre pays» a-t-il souligné. La périssabilité des ressources basées sur l'exportation des hydrocarbures d'une part, et la mauvaise gestion des fonds de l'Etat risque de mettre l'Algérie dans une situation financière difficile dans les années à venir. Dans ce sens M. Bouteflika a interpellé «les collectivités nationales et les pouvoirs publics en premier lieu, à augmenter la production de richesses autre que les hydrocarbures en encourageant l'investissement dans tous les secteurs productifs». Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a tiré la sonnette d'alarme sur la gestion des fonds de l'Etat. «Le budget public a désormais atteint des montants très lourds par rapport aux moyens réels du pays», a-t-il noté au cours d'une réunion du conseil des ministres tenu hier. Ainsi, les dépenses publiques commence à peser lourd sur le budget de l'Etat. Le président a rassuré, par ailleurs, quant au budget de l'année 2009. Dans ce sens, le président a insisté en s'adressant au gouvernement pour «la rationalisation de la dépense publique et la lutte contre le gaspillage des deniers de l'Etat sous toutes les formes». Encore plus qu'une gestion rationnelle des dépenses, le président a appelé à lutter contre le gaspillage des ressources financières du pays. «La situation actuelle nous interpelle également pour freiner le gaspillage des ressources financières du pays» a-t-il souligné. Il a, sur ce volet, donner l'instruction de réduire les dépenses des importations. «Les importations se sont dangereusement emballées et l'excès doit y être banni par des voies et procédures» a-t-il recommandé. Dans le même but de réduire le taux des fonds gaspillé, le président a préconisé de mettre un terme aux «abus et aux programmations aléatoires». L'exemple concret de gaspillage des fonds de l'Etat que le président de la République a relevé est celui des retards dans la réalisation des programmes d'investissements publics. Selon lui ce genre de pratique a coûté au trésor public d'importantes sommes. Il a recommandé aux ministres, sur ce point, d'assumer leurs responsabilités et d'achever les projets sous leur égide à temps. «Les ministres doivent donc assumer leurs responsabilités dans l'exécution correcte de leurs programmes sectoriels y compris en ce qui concerne le respect des délais» a-t-il averti. «Le budget de l'année prochaine sera financé sans difficultés du fait des ressources disponibles au niveau du Fonds de régulation des recettes, d'autant que le remboursement de la dette extérieure pour lequel il a été institué est désormais quasiment parachevé.» a expliqué le président. Ainsi, les budgets consacrés au différent ministère et département publiques ne seront réduits pour l'année prochaine en dépit de la constatation de leur volume dépassant « les moyens de du pays ». Les dépenses retenues pour l'année 2009 représentent quelques 80 milliards de dollars selon le président de la République. Le quota du budget de fonctionnement est évalué à la moitié du budget global soit 40 milliards de dollars. S'agissant de l'aisance financière que connait l'Algérie depuis que le prix du baril de pétrole s'est enflammé, M. Bouteflika a rappelé que la situation n'est pas éternelle. «Cela ne doit pas faire illusion ni pour le gouvernement ni pour la population, car les hydrocarbures ne sont pas inépuisables et leurs prix ne dépendent pas de notre pays» a-t-il souligné. La périssabilité des ressources basées sur l'exportation des hydrocarbures d'une part, et la mauvaise gestion des fonds de l'Etat risque de mettre l'Algérie dans une situation financière difficile dans les années à venir. Dans ce sens M. Bouteflika a interpellé «les collectivités nationales et les pouvoirs publics en premier lieu, à augmenter la production de richesses autre que les hydrocarbures en encourageant l'investissement dans tous les secteurs productifs».