Tous les adeptes du foot, retiendront certainement le geste salutaire de l'entraîneur de l'équipe nationale, Rabah Saâdane, applaudissant seul ses poulains au stade Tchaker de Blida, vendredi dernier, alors que tous les algériens auraient perdu tout espoir, lorsque, face au Sénégal, l'équipe nationale encaissa un but meurtrier à la 60éme minute, dans le match décisif comptant pour la 5è journée (G 6), des qualifications jumelées de la Coupe d'Afrique des nations et la Coupe du monde (2010) de football. En effet, ce but fatidique laissa pantois tous les supporters ayant remplis le stade comme un œuf. Et la plupart des algérien qui ont du suivre le match à leur petit écran, ont éteint leurs téléviseurs illico. Mais Rabah Saâdane, de port son expérience et son savoir faire, n'a pas perdu son sang froid, même s'il ne restait encore que 30 minutes à jouer. Et les fennecs n'avaient pas d'autres alternatives que de l'emporter s'ils veulent se qualifier au prochain tour de la compétition. Mais ne dit-on pas, au foot, que la deuxième mi-temps appartient aux entraîneurs ? ‘'L'effet-Saâdane'' ne tardera pas à se concrétisé en effet, puisque les verts égaliseront trois minutes (63') plus tard. Avant de corse la marque à deux reprises, (66' et 72'), renversant la vapeur à leur faveur. Humble, Saâdane avait déclaré une semaine avant cette qu'il «n'est pas un magicien », pour redresser l'équipe nationale à lui seul. Mais par expérience, il a pu redonner du cœur aux jours. Ces mêmes joueurs que son prédécesseur, Jean Michel Cavalier, n'a peut-être pas su motivés lors des éliminatoires de la CAN 2008. Cet entraîneur (Saâdane), expérimenté, qui a souvent été dans le staff de la sélection depuis 1982 lors du mondial espagnol, - Il a dirigé les verts en 1981, puis 1984-1986, puis 1999, et 2003-2004, Il a participé comme membre de l'encadrement technique aux coupes du Monde 1982 et 198- a déjà connu plusieurs succès. Son coatching s'est avéré à maintes fois payant : souvenons-nous de la phase finale de la CAN 2004, disputée en Tunisie, lorsque ce même Saâdane réalisa avec l'équipe nationale la meilleure participation algérienne de la dernière décennie, et avec des éléments tout justes moyens ! Aussi, la dernière coupe du monde à laquelle avait participé l'équipe nationale, en 1986 (Mexico), était sous la houlette de Saâdane. Mais au risque de perdre cet entraineur, valeur du football nationale, qui menace déjà de quitter l'équipe nationale juste après le dernier match de ce tour face au Liberia, les pouvoirs publics sont désormais appelé à revoir la politique du football national à même de profiter des services de cet éminent entraîneur. Ce sauveur… Tous les adeptes du foot, retiendront certainement le geste salutaire de l'entraîneur de l'équipe nationale, Rabah Saâdane, applaudissant seul ses poulains au stade Tchaker de Blida, vendredi dernier, alors que tous les algériens auraient perdu tout espoir, lorsque, face au Sénégal, l'équipe nationale encaissa un but meurtrier à la 60éme minute, dans le match décisif comptant pour la 5è journée (G 6), des qualifications jumelées de la Coupe d'Afrique des nations et la Coupe du monde (2010) de football. En effet, ce but fatidique laissa pantois tous les supporters ayant remplis le stade comme un œuf. Et la plupart des algérien qui ont du suivre le match à leur petit écran, ont éteint leurs téléviseurs illico. Mais Rabah Saâdane, de port son expérience et son savoir faire, n'a pas perdu son sang froid, même s'il ne restait encore que 30 minutes à jouer. Et les fennecs n'avaient pas d'autres alternatives que de l'emporter s'ils veulent se qualifier au prochain tour de la compétition. Mais ne dit-on pas, au foot, que la deuxième mi-temps appartient aux entraîneurs ? ‘'L'effet-Saâdane'' ne tardera pas à se concrétisé en effet, puisque les verts égaliseront trois minutes (63') plus tard. Avant de corse la marque à deux reprises, (66' et 72'), renversant la vapeur à leur faveur. Humble, Saâdane avait déclaré une semaine avant cette qu'il «n'est pas un magicien », pour redresser l'équipe nationale à lui seul. Mais par expérience, il a pu redonner du cœur aux jours. Ces mêmes joueurs que son prédécesseur, Jean Michel Cavalier, n'a peut-être pas su motivés lors des éliminatoires de la CAN 2008. Cet entraîneur (Saâdane), expérimenté, qui a souvent été dans le staff de la sélection depuis 1982 lors du mondial espagnol, - Il a dirigé les verts en 1981, puis 1984-1986, puis 1999, et 2003-2004, Il a participé comme membre de l'encadrement technique aux coupes du Monde 1982 et 198- a déjà connu plusieurs succès. Son coatching s'est avéré à maintes fois payant : souvenons-nous de la phase finale de la CAN 2004, disputée en Tunisie, lorsque ce même Saâdane réalisa avec l'équipe nationale la meilleure participation algérienne de la dernière décennie, et avec des éléments tout justes moyens ! Aussi, la dernière coupe du monde à laquelle avait participé l'équipe nationale, en 1986 (Mexico), était sous la houlette de Saâdane. Mais au risque de perdre cet entraineur, valeur du football nationale, qui menace déjà de quitter l'équipe nationale juste après le dernier match de ce tour face au Liberia, les pouvoirs publics sont désormais appelé à revoir la politique du football national à même de profiter des services de cet éminent entraîneur. Ce sauveur…