Le mariage à travers Internet est devenu une tendance en vogue aujourd'hui. Les Algériens, tout comme les Marocains ou les Tunisiens comptent de plus en plus sur les sites de rencontre pour dénicher leur âme sœur. Amitié, amour, myspace, muslima, et bien d'autres sites font fureur sur le net. Le mariage à travers Internet est devenu une tendance en vogue aujourd'hui. Les Algériens, tout comme les Marocains ou les Tunisiens comptent de plus en plus sur les sites de rencontre pour dénicher leur âme sœur. Amitié, amour, myspace, muslima, et bien d'autres sites font fureur sur le net. Leur point commun : rechercher la perle rare, gagner du temps et multiplier ses chances de réussite. Beaucoup de jeunes rêvent aujourd'hui de se marier via ce moyen de communication. Lassée d'attendre le prince charmant qui tarde à se manifester, de nombreuses jeunes filles et même des hommes vont à l'aventure virtuelle en attendant de découvrir les surprises du destin. Quête qui débouchent souvent, selon le témoignage de certains, sur de vraies désillusions, mais qui se termine parfois en vrai conte de fée. A l'instar de plusieurs jeunes de son âge, Karima, la trentaine souriante, a commencé à se rendre de plus en plus souvent sur les sites de rencontre. Objectif : trouver le prince charmant. Elle est convaincue de pouvoir un jour le rencontrer surtout que l'une de ses copines, dit-elle, s'est récemment mariée avec un homme qu'elle venait de rencontrer trois ans auparavant sur le site amour.com. Feriel, jeune fille âgée de 32 ans, s'apprête à se marier bientôt. Son mari, elle l'a rencontré par pur hasard le jour où la toile l'a conduite vers l'Italie. C'est là où elle le retrouva. Un ingénieur en informatique, Algérien résidant en Italie depuis dix ans, ouvert, compréhensif et communicatif. «Quand je l'ai rencontré, j'ai su qu'il était l'homme de mes rêves. Je vis un vrai conte de fées depuis avec un homme délicat et très sensible, un homme que je n'aurais jamais pu rencontrer si je n'avais pas un jour glissé mon pseudo sur le formulaire d'inscription du site». En effet, des expériences réussies de ce genre encouragent d'autres jeunes à faire de même. C'est le cas de Nesrine, 34 ans, enseignante. «Je passe mon temps à chatter pour mettre la main sur l'oiseau rare et faire un beau mariage. J'ai lu, sur des forums de discussion, des témoignages de filles qui ont retrouvé l'amour grâce à Internet. Malheureusement, jusqu'à présent je n'ai rencontré que des personnes malintentionnées ou des gens qui ne me conviennent pas. Mais, je ne désespère pas encore», confie-t-elle avec une pointe d'amertume. Même si certains refusaient autrefois d'accepter de chercher un mari via ce moyen, aujourd'hui, nombreux consentent à dire que, par les temps qui courent, c'est le seul recours pour échapper au célibat forcé. Déçus, ils sont prêts à tenter l'expérience sans être très regardant sur l'âge ou le profil. Ils se lancent dans des soi-disant histoires d'amour avec des interlocuteurs étrangers en leur donnant le plus souvent de fausses identités. Pour Mme Ibouchoukane, avocate, le mariage via Internet «est un phénomène en vogue, c'est dans l'air du temps et il est l'une des conséquences du célibat qui affecte les jeunes». Concernant ceux qui désirent faire un mariage mixte via ce moyen, l'avocate affirme qu'ils cherchent le plus souvent à fuir. «Désorientés, ils cherchent à se marier avec des Européennes pour accéder à l'autre rive et découvrir l'eldorado», précise-t-elle. Mme Saïfi, sociologue, estime, quant à elle, que «le mariage à travers le net est aujourd'hui devenu un phénomène sociétal qu'il mérite d'analyser minutieusement. En effet, après les espaces matrimoniaux sur des quotidiens nationaux ou des hebdomadaires, beaucoup de gens se sont aujourd'hui tournés vers Internet. Ce dernier, en plus de leur assurer l'anonymat est plus pratique, peu coûteux, et augmente leurs chances de retrouver l'oiseau rare», précise-t-elle. La sociologue indique qu'il n'y a pas un profil précis ou une tranche d'âge déterminé qui a recours à ce moyen. «Aujourd'hui, toutes les catégories d'âge, tous les sexes et les niveaux intellectuels font appel au net afin de rompre leur célibat», Les sites de rencontre restent, en ce sens, selon de nombreux témoignage une issue incontournable pour ceux dont la solitude pèse trop lourds et qui se sont fiés à cette nouvelle technologie pour rencontrer leur deuxième moitié. Leur point commun : rechercher la perle rare, gagner du temps et multiplier ses chances de réussite. Beaucoup de jeunes rêvent aujourd'hui de se marier via ce moyen de communication. Lassée d'attendre le prince charmant qui tarde à se manifester, de nombreuses jeunes filles et même des hommes vont à l'aventure virtuelle en attendant de découvrir les surprises du destin. Quête qui débouchent souvent, selon le témoignage de certains, sur de vraies désillusions, mais qui se termine parfois en vrai conte de fée. A l'instar de plusieurs jeunes de son âge, Karima, la trentaine souriante, a commencé à se rendre de plus en plus souvent sur les sites de rencontre. Objectif : trouver le prince charmant. Elle est convaincue de pouvoir un jour le rencontrer surtout que l'une de ses copines, dit-elle, s'est récemment mariée avec un homme qu'elle venait de rencontrer trois ans auparavant sur le site amour.com. Feriel, jeune fille âgée de 32 ans, s'apprête à se marier bientôt. Son mari, elle l'a rencontré par pur hasard le jour où la toile l'a conduite vers l'Italie. C'est là où elle le retrouva. Un ingénieur en informatique, Algérien résidant en Italie depuis dix ans, ouvert, compréhensif et communicatif. «Quand je l'ai rencontré, j'ai su qu'il était l'homme de mes rêves. Je vis un vrai conte de fées depuis avec un homme délicat et très sensible, un homme que je n'aurais jamais pu rencontrer si je n'avais pas un jour glissé mon pseudo sur le formulaire d'inscription du site». En effet, des expériences réussies de ce genre encouragent d'autres jeunes à faire de même. C'est le cas de Nesrine, 34 ans, enseignante. «Je passe mon temps à chatter pour mettre la main sur l'oiseau rare et faire un beau mariage. J'ai lu, sur des forums de discussion, des témoignages de filles qui ont retrouvé l'amour grâce à Internet. Malheureusement, jusqu'à présent je n'ai rencontré que des personnes malintentionnées ou des gens qui ne me conviennent pas. Mais, je ne désespère pas encore», confie-t-elle avec une pointe d'amertume. Même si certains refusaient autrefois d'accepter de chercher un mari via ce moyen, aujourd'hui, nombreux consentent à dire que, par les temps qui courent, c'est le seul recours pour échapper au célibat forcé. Déçus, ils sont prêts à tenter l'expérience sans être très regardant sur l'âge ou le profil. Ils se lancent dans des soi-disant histoires d'amour avec des interlocuteurs étrangers en leur donnant le plus souvent de fausses identités. Pour Mme Ibouchoukane, avocate, le mariage via Internet «est un phénomène en vogue, c'est dans l'air du temps et il est l'une des conséquences du célibat qui affecte les jeunes». Concernant ceux qui désirent faire un mariage mixte via ce moyen, l'avocate affirme qu'ils cherchent le plus souvent à fuir. «Désorientés, ils cherchent à se marier avec des Européennes pour accéder à l'autre rive et découvrir l'eldorado», précise-t-elle. Mme Saïfi, sociologue, estime, quant à elle, que «le mariage à travers le net est aujourd'hui devenu un phénomène sociétal qu'il mérite d'analyser minutieusement. En effet, après les espaces matrimoniaux sur des quotidiens nationaux ou des hebdomadaires, beaucoup de gens se sont aujourd'hui tournés vers Internet. Ce dernier, en plus de leur assurer l'anonymat est plus pratique, peu coûteux, et augmente leurs chances de retrouver l'oiseau rare», précise-t-elle. La sociologue indique qu'il n'y a pas un profil précis ou une tranche d'âge déterminé qui a recours à ce moyen. «Aujourd'hui, toutes les catégories d'âge, tous les sexes et les niveaux intellectuels font appel au net afin de rompre leur célibat», Les sites de rencontre restent, en ce sens, selon de nombreux témoignage une issue incontournable pour ceux dont la solitude pèse trop lourds et qui se sont fiés à cette nouvelle technologie pour rencontrer leur deuxième moitié.