L'enseignement des langues étrangères pose encore de gros problèmes aux Constantinois. Cela dure depuis des années. Et le phénomène touche aussi les écoles primaires. En dehors des quelques lycées et CEM de Constantine centre et certains quartiers de la proche banlieue à l'image de Sidi Mabrouk, Ciloc, Filali, 20 Août ou Boudjenana, le déficit en enseignants de français et anglais est très important. Quant à l'allemand, la situation est plus critique ! En ce début de l'année scolaire, de nombreux établissements scolaires connaissent des perturbations. Il est donc impossible d'établir un premier chiffre du déficit. Au niveau de certains lycées, les élèves attendent toujours leurs professeurs. Ceci intervient en pleine mutation de perfectionnement scolaire et au moment où les jeunes diplômés souffrent du spectre récurrent du chômage, ce sont les disparités à l'algérienne. Il est certain que le déficit pourrait atteindre des dizaines d'enseignants. Comme chaque année, on va abuser de la crédulité des licenciés afin de les embaucher à titre de vacataires ; en prenant soin de les affecter au niveau des quartiers enclavés où le niveau d'apprentissage en langue étrangère est jugé très faible ! Le premier responsable du secteur de l'éducation à Constantine estime prématuré d'évoquer ce genre de difficultés en ce début d'année. Ni le déficit en infrastructures scolaire accusé par la wilaya de Constantine, ni le manque d'enseignants ne semblent perturbés les responsables concernés ! « A Constantine on est à l'aise. Ce sont les rivaux qui veulent porter un coup à l'image de la ville en matière de scolarité », ne cessent de réitérer les responsables concernés. C'est clair, à Constantine on n'est pas sorti de l'auberge. Les règlements de comptes personnels et les conflits internes continuent de jeter leur lot de nuisance sur l'avenir des élèves. Pour cette année, la moitié des 46 lycées de la wilaya connaît déjà des problèmes d'encadrement dans le domaine des langues étrangères. Pour les collèges, plus d'une centaine, le problème se pose avec beaucoup d'acuité : il n'y a qu'à voir les notes catastrophiques en français à l'examen du BEM. Au lycée El Houria, où l'allemand est dispensé comme langue étrangère, le manque d'enseignants est criant. Au lycée Harrath de Daksi ou Boushaba de Sidi Mabrouk, des dizaines de classes attendent toujours leurs enseignants. L'heure est très grave pour la ville du savoir ! L'enseignement des langues étrangères pose encore de gros problèmes aux Constantinois. Cela dure depuis des années. Et le phénomène touche aussi les écoles primaires. En dehors des quelques lycées et CEM de Constantine centre et certains quartiers de la proche banlieue à l'image de Sidi Mabrouk, Ciloc, Filali, 20 Août ou Boudjenana, le déficit en enseignants de français et anglais est très important. Quant à l'allemand, la situation est plus critique ! En ce début de l'année scolaire, de nombreux établissements scolaires connaissent des perturbations. Il est donc impossible d'établir un premier chiffre du déficit. Au niveau de certains lycées, les élèves attendent toujours leurs professeurs. Ceci intervient en pleine mutation de perfectionnement scolaire et au moment où les jeunes diplômés souffrent du spectre récurrent du chômage, ce sont les disparités à l'algérienne. Il est certain que le déficit pourrait atteindre des dizaines d'enseignants. Comme chaque année, on va abuser de la crédulité des licenciés afin de les embaucher à titre de vacataires ; en prenant soin de les affecter au niveau des quartiers enclavés où le niveau d'apprentissage en langue étrangère est jugé très faible ! Le premier responsable du secteur de l'éducation à Constantine estime prématuré d'évoquer ce genre de difficultés en ce début d'année. Ni le déficit en infrastructures scolaire accusé par la wilaya de Constantine, ni le manque d'enseignants ne semblent perturbés les responsables concernés ! « A Constantine on est à l'aise. Ce sont les rivaux qui veulent porter un coup à l'image de la ville en matière de scolarité », ne cessent de réitérer les responsables concernés. C'est clair, à Constantine on n'est pas sorti de l'auberge. Les règlements de comptes personnels et les conflits internes continuent de jeter leur lot de nuisance sur l'avenir des élèves. Pour cette année, la moitié des 46 lycées de la wilaya connaît déjà des problèmes d'encadrement dans le domaine des langues étrangères. Pour les collèges, plus d'une centaine, le problème se pose avec beaucoup d'acuité : il n'y a qu'à voir les notes catastrophiques en français à l'examen du BEM. Au lycée El Houria, où l'allemand est dispensé comme langue étrangère, le manque d'enseignants est criant. Au lycée Harrath de Daksi ou Boushaba de Sidi Mabrouk, des dizaines de classes attendent toujours leurs enseignants. L'heure est très grave pour la ville du savoir !