Le plus vieux parti de l'opposition s'apprête à célébrer, le 29 septembre prochain, le 45e anniversaire de sa création. Cet événement sera l'occasion de débattre du projet de la révision de la constitution et intervient également à la veille d'une importante échéance électorale dont le FFS ne s'est pas encore exprimé clairement et définitivement. Karim Tabou, premier secrétaire national du Front des forces socialistes (FFS), qui a animé, dans la soirée d'avant-hier, à Alger, une conférence sur l'histoire de la création du FFS, n'a pas soufflé mot concernant ces deux sujets d'actualités. Il a, par ailleurs, annoncé que le FFS s'attèlera actuellement sur l'organisation d'une série de conférences sur l'histoire du parti pour marquer comme il se doit l'anniversaire de la formation du vieux Zaîm. Ces conférences seront animées par les anciens militants de 1963. M. Tabou, qui intervenait en ouverture de cette conférence sur les conditions de la création du FFS, le 29 septembre 1963, a affirmé également que sa formation politique compte organiser plusieurs rencontres et regroupements de militants de la première heure du FFS, à l'occasion du 45eme anniversaire du parti. Evoquant les problèmes du FFS, notamment celui des dissidents parmi les « anciens », le premier secrétaire national du FFS a soutenu que beaucoup de ceux qui se réclament militant de 1963 et qu'ils œuvrent pour réhabiliter le parti, sont ceux-là même qui œuvrent, dans la réalité, pour sa destruction. Par ailleurs, Tabou, tout en minimisant la portée de ce mouvement de frondeurs qui l'ont même accusé d'être « un appareil à la solde du pouvoir », a affirmé que les militants de 1963 vont se regrouper pour élire leurs représentants au sein du conseil national du FFS. Manière à lui d'appeler ses détracteurs à revenir à la raison et à unir leur position pour la stabilité du parti qui a « d'autres causes à défendre loin de toutes ces dissidences ». Plus loin encore, Tabou, a annoncé que le FFS va organisera à l'avenir plusieurs congrès pilotes, pour élire les bureaux des fédérations. De son coté, M. Mohand Chérif, ex-chef de zone dans la wilaya III historique, a évoqué, lors de son intervention, l'atmosphère de crise qui régnait à Alger, juste après l'indépendance. Ce qui lui fera dire que le FFS, qui a été fondé dans ces conditions, l'a été pour revendiquer le pluralisme politique. Prenant la parole, M. Lakhdar Bouregaâ, ancien commandant de l'Armée de libération nationale (ALN) de la wilaya IV historique, et membre fondateur du FFS, a évoqué les événements ayant émaillé les deux premières années de l'indépendance, et qui ont conduit, dans des conditions difficiles, à la création du FFS le 29 septembre 1963. Dans sa communication, ce dernier, qui s'est attelé aussi à rappeler les différentes étapes de la révolution nationale a plaidé, en outre, pour l'écriture de l'histoire de la guerre de libération nationale, estimant que « l'histoire est la meilleure immunité pour la nation ». Le plus vieux parti de l'opposition s'apprête à célébrer, le 29 septembre prochain, le 45e anniversaire de sa création. Cet événement sera l'occasion de débattre du projet de la révision de la constitution et intervient également à la veille d'une importante échéance électorale dont le FFS ne s'est pas encore exprimé clairement et définitivement. Karim Tabou, premier secrétaire national du Front des forces socialistes (FFS), qui a animé, dans la soirée d'avant-hier, à Alger, une conférence sur l'histoire de la création du FFS, n'a pas soufflé mot concernant ces deux sujets d'actualités. Il a, par ailleurs, annoncé que le FFS s'attèlera actuellement sur l'organisation d'une série de conférences sur l'histoire du parti pour marquer comme il se doit l'anniversaire de la formation du vieux Zaîm. Ces conférences seront animées par les anciens militants de 1963. M. Tabou, qui intervenait en ouverture de cette conférence sur les conditions de la création du FFS, le 29 septembre 1963, a affirmé également que sa formation politique compte organiser plusieurs rencontres et regroupements de militants de la première heure du FFS, à l'occasion du 45eme anniversaire du parti. Evoquant les problèmes du FFS, notamment celui des dissidents parmi les « anciens », le premier secrétaire national du FFS a soutenu que beaucoup de ceux qui se réclament militant de 1963 et qu'ils œuvrent pour réhabiliter le parti, sont ceux-là même qui œuvrent, dans la réalité, pour sa destruction. Par ailleurs, Tabou, tout en minimisant la portée de ce mouvement de frondeurs qui l'ont même accusé d'être « un appareil à la solde du pouvoir », a affirmé que les militants de 1963 vont se regrouper pour élire leurs représentants au sein du conseil national du FFS. Manière à lui d'appeler ses détracteurs à revenir à la raison et à unir leur position pour la stabilité du parti qui a « d'autres causes à défendre loin de toutes ces dissidences ». Plus loin encore, Tabou, a annoncé que le FFS va organisera à l'avenir plusieurs congrès pilotes, pour élire les bureaux des fédérations. De son coté, M. Mohand Chérif, ex-chef de zone dans la wilaya III historique, a évoqué, lors de son intervention, l'atmosphère de crise qui régnait à Alger, juste après l'indépendance. Ce qui lui fera dire que le FFS, qui a été fondé dans ces conditions, l'a été pour revendiquer le pluralisme politique. Prenant la parole, M. Lakhdar Bouregaâ, ancien commandant de l'Armée de libération nationale (ALN) de la wilaya IV historique, et membre fondateur du FFS, a évoqué les événements ayant émaillé les deux premières années de l'indépendance, et qui ont conduit, dans des conditions difficiles, à la création du FFS le 29 septembre 1963. Dans sa communication, ce dernier, qui s'est attelé aussi à rappeler les différentes étapes de la révolution nationale a plaidé, en outre, pour l'écriture de l'histoire de la guerre de libération nationale, estimant que « l'histoire est la meilleure immunité pour la nation ».