Des affrontements entre supporteurs et policiers en marge d'une rencontre de deuxième division de football en Allemagne, entre Rostock et St.Pauli, ont fait quinze blessés, dont six policiers, et 52 personnes arrêtées vendredi soir, a indiqué la police samedi. Avant le coup d'envoi du match, des supporteurs de Rostock ont attaqué quelque 1.200 supporters de St. Pauli dans une station de train local, leur lançant des pierres et des bouteilles de verre. Quelque 52 personnes ont alors été interpellées. Les incidents ont repris après le match quand un groupe de 500 personnes a voulu forcer les barrages de la police, mis en place pour éviter tout contact entre les supporteurs des deux équipes. Les supporteurs des deux équipes du nord de l'Allemagne sont réputés pour leur violence, en particulier à Rostock où des incidents à caractère raciste se sont multipliés ces deux dernières années. La Fédération allemande de football (DFB) a vivement réagi à ces incidents. "C'est décevant et frustrant. Ce sont des groupes avec de l'énergie criminelle qui veulent attirer l'attention en dehors des stades", a souligné son président, Theo Zwanziger. Des affrontements entre supporteurs et policiers en marge d'une rencontre de deuxième division de football en Allemagne, entre Rostock et St.Pauli, ont fait quinze blessés, dont six policiers, et 52 personnes arrêtées vendredi soir, a indiqué la police samedi. Avant le coup d'envoi du match, des supporteurs de Rostock ont attaqué quelque 1.200 supporters de St. Pauli dans une station de train local, leur lançant des pierres et des bouteilles de verre. Quelque 52 personnes ont alors été interpellées. Les incidents ont repris après le match quand un groupe de 500 personnes a voulu forcer les barrages de la police, mis en place pour éviter tout contact entre les supporteurs des deux équipes. Les supporteurs des deux équipes du nord de l'Allemagne sont réputés pour leur violence, en particulier à Rostock où des incidents à caractère raciste se sont multipliés ces deux dernières années. La Fédération allemande de football (DFB) a vivement réagi à ces incidents. "C'est décevant et frustrant. Ce sont des groupes avec de l'énergie criminelle qui veulent attirer l'attention en dehors des stades", a souligné son président, Theo Zwanziger.