Le championnat de football uruguayen a de nouveau été le théâtre de violences dimanche lors du derby entre Nacional et Penarol (1-0) à l'issue duquel un supporteur a été blessé et se trouvait dans le coma, 49 personnes ont été arrêté et 4 policiers légèrement blessés. L'important dispositif de sécurité, avec 400 policiers, n'a pas réussi à dissuader les échauffourées qui ont éclaté quelques minutes avant la fin du match, cependant vite maîtrisées et qui ont entraîné 19 arrestations. Quatre policiers avaient été légèrement blessés quelques minutes avant le coup d'envoi en tentant de contenir une bousculade dans la tribune réservée aux supporteurs de Penarol. Toujours avant le début du match, 30 personnes avaient été interpellées pour différents débordements, dont des reventes de tickets et des tentatives d'introduire de la drogue dans l'enceinte du stade, selon la presse locale. En marge de la rencontre, une camionnette circulant à contre-sens a violemment percuté un groupe d'une vingtaine de supporteurs de Penarol qui traversaient la rue, l'un des piétons, gravement blessé, se trouvant dans le coma. Le chauffeur, qui aurait agi intentionnellement selon des témoins, a pris la fuite. Le championnat uruguayen avait été suspendu deux semaines par la Fédération uruguayenne (AUF) au lendemain des incidents qui avaient émaillé l'issue de la rencontre entre Danubio et Nacional le 16 novembre: des supporteurs des deux équipes avaient envahi le terrain et s'étaient battus, sous les yeux de 160 policiers. L'AUF a annoncé début décembre avoir signé un accord avec les ministères de l'Intérieur et des Sports prévoyant que la police garantisse la sécurité à l'intérieur des stades, mais aussi l'installation de caméras de surveillance et de détecteurs de métal. Le championnat de football uruguayen a de nouveau été le théâtre de violences dimanche lors du derby entre Nacional et Penarol (1-0) à l'issue duquel un supporteur a été blessé et se trouvait dans le coma, 49 personnes ont été arrêté et 4 policiers légèrement blessés. L'important dispositif de sécurité, avec 400 policiers, n'a pas réussi à dissuader les échauffourées qui ont éclaté quelques minutes avant la fin du match, cependant vite maîtrisées et qui ont entraîné 19 arrestations. Quatre policiers avaient été légèrement blessés quelques minutes avant le coup d'envoi en tentant de contenir une bousculade dans la tribune réservée aux supporteurs de Penarol. Toujours avant le début du match, 30 personnes avaient été interpellées pour différents débordements, dont des reventes de tickets et des tentatives d'introduire de la drogue dans l'enceinte du stade, selon la presse locale. En marge de la rencontre, une camionnette circulant à contre-sens a violemment percuté un groupe d'une vingtaine de supporteurs de Penarol qui traversaient la rue, l'un des piétons, gravement blessé, se trouvant dans le coma. Le chauffeur, qui aurait agi intentionnellement selon des témoins, a pris la fuite. Le championnat uruguayen avait été suspendu deux semaines par la Fédération uruguayenne (AUF) au lendemain des incidents qui avaient émaillé l'issue de la rencontre entre Danubio et Nacional le 16 novembre: des supporteurs des deux équipes avaient envahi le terrain et s'étaient battus, sous les yeux de 160 policiers. L'AUF a annoncé début décembre avoir signé un accord avec les ministères de l'Intérieur et des Sports prévoyant que la police garantisse la sécurité à l'intérieur des stades, mais aussi l'installation de caméras de surveillance et de détecteurs de métal.