L'opérateur est revenu dans le détail sur les raisons des changements opérés par OTA (Orascom Telecom Algérie). Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, l'opérateur a expliqué dans ce sens, que la nomination du nouveau DG. L'opérateur est revenu dans le détail sur les raisons des changements opérés par OTA (Orascom Telecom Algérie). Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, l'opérateur a expliqué dans ce sens, que la nomination du nouveau DG. L'opérateur de la téléphonie mobile, Djezzy, revient à la charge, pour expliquer la «raison réelle» du changement effectué, en début du mois courant, au sommet de sa hiérarchie. Il s'agit bien entendu de la nomination de son nouveau Directeur général, Tamer El Mahdi, en remplacement de son prédécesseur le Libanais Hassen Kebbani. Ce changement, faut-il rappeler, avait alors suscité moult rumeurs ; il y en avait même qui prédisaient la vente de Djezzy, avant que le nouveau DG ne sorte de sa réserve pour apporter un démenti. Dans cette optique, et comme pour répondre donc à ses détracteurs, la direction de l'opérateur est revenu dans le détail sur les raisons des changements opérés par OTA (Orascom Telecom Algérie). Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, l'opérateur a expliqué dans ce sens, que la nomination du nouveau DG, Tamer El Mahdi, « s'inscrit dans le cadre d'un redéploiement au sein du groupe visant à consolider la place d'OTA en tant que leader de la téléphonie mobile en Algérie ». Il faut dire que le fait de savoir que Tamer El Mehdi est, depuis 2003, cadre du groupe, n'est pas pour démentir cette logique. La logique de la « continuité », contrairement à ce qui a été dit çà et là ! Durant ces quatre dernières années, M. El-Mahdi a assuré l'organisation et la transformation des opérations du département technologique d'OTH un modèle de création de valeurs qui «a contribué en grande partie à la croissance actuelle du groupe». Ainsi, explique la même source, les objectifs de la nouvelle direction sont «clairs». Il s'agit, lit-on dans le communiqué de la direction, de maintenir et développer le programme d'investissement qui se chiffre actuellement à «environ 3 milliards», faisant de Djezzy le premier investisseur hors hydrocarbures en Algérie, et de consolider et développer en qualité et en volume le réseau Djezzy en visant son amélioration continue pour le maintenir dans les normes de l'excellence. En matière de politique commerciale, la direction indique qu'il s'agit de «continuer à offrir les meilleurs produits et les meilleurs services à nos clients en leur fournissant également un portefeuille de services à valeur ajoutée plus large». Se voulant comme étant «l'opérateur qui a démocratisé» la téléphonie mobile en Algérie, Djezzy se dit qu'il «a le devoir d'offrir toujours le meilleur rapport qualité-prix à ses fidèles abonnés». Sur le plan social et environnemental, souligne-t-on, Djezzy s'impliquera davantage dans le sponsoring ainsi que dans toutes les actions et manifestations visant le bien-être des citoyens algériens ainsi que la promotion de l'image de marque de l'Algérie. S'agissant enfin des ressources humaines, la direction a noté que «Djezzy poursuivra sa politique de capitalisation sur les cadres nationaux dont certains, par leur expérience acquise ces dernières années, œuvrent à l'étranger dans des filiales du groupe et même ailleurs ». F. A. L'opérateur de la téléphonie mobile, Djezzy, revient à la charge, pour expliquer la «raison réelle» du changement effectué, en début du mois courant, au sommet de sa hiérarchie. Il s'agit bien entendu de la nomination de son nouveau Directeur général, Tamer El Mahdi, en remplacement de son prédécesseur le Libanais Hassen Kebbani. Ce changement, faut-il rappeler, avait alors suscité moult rumeurs ; il y en avait même qui prédisaient la vente de Djezzy, avant que le nouveau DG ne sorte de sa réserve pour apporter un démenti. Dans cette optique, et comme pour répondre donc à ses détracteurs, la direction de l'opérateur est revenu dans le détail sur les raisons des changements opérés par OTA (Orascom Telecom Algérie). Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, l'opérateur a expliqué dans ce sens, que la nomination du nouveau DG, Tamer El Mahdi, « s'inscrit dans le cadre d'un redéploiement au sein du groupe visant à consolider la place d'OTA en tant que leader de la téléphonie mobile en Algérie ». Il faut dire que le fait de savoir que Tamer El Mehdi est, depuis 2003, cadre du groupe, n'est pas pour démentir cette logique. La logique de la « continuité », contrairement à ce qui a été dit çà et là ! Durant ces quatre dernières années, M. El-Mahdi a assuré l'organisation et la transformation des opérations du département technologique d'OTH un modèle de création de valeurs qui «a contribué en grande partie à la croissance actuelle du groupe». Ainsi, explique la même source, les objectifs de la nouvelle direction sont «clairs». Il s'agit, lit-on dans le communiqué de la direction, de maintenir et développer le programme d'investissement qui se chiffre actuellement à «environ 3 milliards», faisant de Djezzy le premier investisseur hors hydrocarbures en Algérie, et de consolider et développer en qualité et en volume le réseau Djezzy en visant son amélioration continue pour le maintenir dans les normes de l'excellence. En matière de politique commerciale, la direction indique qu'il s'agit de «continuer à offrir les meilleurs produits et les meilleurs services à nos clients en leur fournissant également un portefeuille de services à valeur ajoutée plus large». Se voulant comme étant «l'opérateur qui a démocratisé» la téléphonie mobile en Algérie, Djezzy se dit qu'il «a le devoir d'offrir toujours le meilleur rapport qualité-prix à ses fidèles abonnés». Sur le plan social et environnemental, souligne-t-on, Djezzy s'impliquera davantage dans le sponsoring ainsi que dans toutes les actions et manifestations visant le bien-être des citoyens algériens ainsi que la promotion de l'image de marque de l'Algérie. S'agissant enfin des ressources humaines, la direction a noté que «Djezzy poursuivra sa politique de capitalisation sur les cadres nationaux dont certains, par leur expérience acquise ces dernières années, œuvrent à l'étranger dans des filiales du groupe et même ailleurs ». F. A.