Pour célébrer le 45e anniversaire de la création du FFS, le plus vieux parti de l'opposition a organisé hier à la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou une conférence-débat animée par le premier secrétaire national, Karim Tabbou. Ce dernier a fait un rappel du soulèvement de 1963 lors duquel 480 militants du FFS ont été tués, avant d'aborder la situation au FFS et la scène politique nationale. Pour cette dernière il dira que l'Algérie est au bord d'un soulèvement qui risque de se déclencher prochainement. Selon lui, «les signes annonciateurs de cette implosion sont les différents soulèvements enregistrés dans certaines wilayas du pays, à l'instar de Ghardaïa et d'Oran, parfois la cause du soulèvement est banale c'est dire le bouillonnement de la population». Il appellera à l'union des forces démocratiques avec lesquelles le FFS partage des positions afin d'œuvrer pour le changement et l'avènement de la deuxième république. Quant à la crise qu'a connue le FFS il y a quelques mois, il dira quel celle-ci vise à anéantir le parti après la mort d'Aït Ahmed, le président du parti du Front aujourd'hui âgé de 83 ans. Mais «ce que ces gens ignorent c'est qu'au FFS il y a des milliers d'Aït Ahmed», a-t-il précisé. Notons enfin qu'un recueillement a eu lieu au cimetière de Mdouha de la ville à Tizi-Ouzou à la mémoire des militants tombés lors du soulèvement de 1963. Z. H. Pour célébrer le 45e anniversaire de la création du FFS, le plus vieux parti de l'opposition a organisé hier à la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou une conférence-débat animée par le premier secrétaire national, Karim Tabbou. Ce dernier a fait un rappel du soulèvement de 1963 lors duquel 480 militants du FFS ont été tués, avant d'aborder la situation au FFS et la scène politique nationale. Pour cette dernière il dira que l'Algérie est au bord d'un soulèvement qui risque de se déclencher prochainement. Selon lui, «les signes annonciateurs de cette implosion sont les différents soulèvements enregistrés dans certaines wilayas du pays, à l'instar de Ghardaïa et d'Oran, parfois la cause du soulèvement est banale c'est dire le bouillonnement de la population». Il appellera à l'union des forces démocratiques avec lesquelles le FFS partage des positions afin d'œuvrer pour le changement et l'avènement de la deuxième république. Quant à la crise qu'a connue le FFS il y a quelques mois, il dira quel celle-ci vise à anéantir le parti après la mort d'Aït Ahmed, le président du parti du Front aujourd'hui âgé de 83 ans. Mais «ce que ces gens ignorent c'est qu'au FFS il y a des milliers d'Aït Ahmed», a-t-il précisé. Notons enfin qu'un recueillement a eu lieu au cimetière de Mdouha de la ville à Tizi-Ouzou à la mémoire des militants tombés lors du soulèvement de 1963. Z. H.