Il devient impérieux de mobiliser l'ensemble des acteurs concernés par l'utilisation et l'efficacité énergétiques des appareils électroménagers en raison de l'augmentation significative de la consommation électrique ces dernières années, du fait de la forte croissance de l'urbanisme», a notamment déclaré le ministre de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil, dans un message adressé aux participants du séminaire international sur l'étiquetage énergétique des appareils électroménagers qui a eu lieu hier à l'hôtel Mercure. Cette rencontre, organisée par le ministère de l'Energie, en collaboration avec l'Agence nationale pour la promotion et la rationalisation de l'utilisation de l'énergie (APRUE), qui intervient à la suite de la promulgation des arrêtés interministériels sur l'étiquetage énergétique des produits électroménagers, vise surtout à vulgariser les textes juridiques et réglementaires, à sensibiliser les fabricants sur la nécessité d'améliorer la performance énergétique de leurs équipements, et à identifier les besoins en laboratoires de contrôle, ainsi que la prise de conscience des consommateurs concernant l'intérêt de l'efficacité énergétique. Il s'agit, donc, de mener une politique continue de maîtrise de l'énergie afin de rationaliser l'utilisation de la consommation électrique, et ce dans le but de réduire et minimiser les dépenses et les charges pour la collectivité. L'ouverture du marché et l'amélioration du cadre de vie, selon le ministre, incitent les ménages à choisir des appareils électroménagers domestiques de qualité et moins énergétivores, notamment pour ce qui concerne les climatiseurs, inexistants il y a quelques années, mais qui sont en vogue actuellement, et qui se généralisent dans les habitudes et les mœurs des ménages. Les conséquences montrent que durant la période estivale caniculaire, la sur-utilisation de l'énergie électrique provoque parfois des délestages et des coupures de courant. Comme dans les pays avancés et industrialisés, l'Algérie veut réguler la consommation énergétique et asseoir une stratégie de l'efficacité énergétique afin d'atteindre un niveau de performance acceptable des appareils électroménagers. Dressant un état des lieux du marché national des équipements énergétiques, notamment la consommation de l'énergie dans le secteur résidentiel, Mme N. Djelouah, chef de département étude et planification (APRUE), affirme que sur 6 millions de logements et plus de 34 millions d'habitants, plus de 17 % des citoyens utilisent l'énergie électrique, alors que 36 % consomment du gaz naturel. Entre 2000 et 2006, il y a eu plus de 1,3 million de réfrigérateurs et 1,2 million de téléviseurs supplémentaires en Algérie. Le secteur domestique est donc considéré comme gros consommateur d'énergie en raison de l'extraordinaire évolution du parc logements, augmentant de plus de 100.000 nouveaux logements par an. Mme L. Houidef, chef de département bâtiment (APRUE) estime, pour sa part, dans une communication inhérente aux résultats de l'opération des tests d'efficacité énergétique sur un panel de réfrigérateurs et congélateurs mis sur le marché national, que «l'impact de consommation à l'échelle des ménages concernant les réfrigérateurs, révèle un surcoût significatif des appareils testés dépassant 2.000 DA. Tandis qu'au niveau national, les ménages peuvent réaliser des économies d'énergie évaluées à 1.500 GWT, soit la moitié de l'énergie consommée des ménages domestiques (270 GWT par an), soit 1000 DA par trimestre». A. A. Il devient impérieux de mobiliser l'ensemble des acteurs concernés par l'utilisation et l'efficacité énergétiques des appareils électroménagers en raison de l'augmentation significative de la consommation électrique ces dernières années, du fait de la forte croissance de l'urbanisme», a notamment déclaré le ministre de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil, dans un message adressé aux participants du séminaire international sur l'étiquetage énergétique des appareils électroménagers qui a eu lieu hier à l'hôtel Mercure. Cette rencontre, organisée par le ministère de l'Energie, en collaboration avec l'Agence nationale pour la promotion et la rationalisation de l'utilisation de l'énergie (APRUE), qui intervient à la suite de la promulgation des arrêtés interministériels sur l'étiquetage énergétique des produits électroménagers, vise surtout à vulgariser les textes juridiques et réglementaires, à sensibiliser les fabricants sur la nécessité d'améliorer la performance énergétique de leurs équipements, et à identifier les besoins en laboratoires de contrôle, ainsi que la prise de conscience des consommateurs concernant l'intérêt de l'efficacité énergétique. Il s'agit, donc, de mener une politique continue de maîtrise de l'énergie afin de rationaliser l'utilisation de la consommation électrique, et ce dans le but de réduire et minimiser les dépenses et les charges pour la collectivité. L'ouverture du marché et l'amélioration du cadre de vie, selon le ministre, incitent les ménages à choisir des appareils électroménagers domestiques de qualité et moins énergétivores, notamment pour ce qui concerne les climatiseurs, inexistants il y a quelques années, mais qui sont en vogue actuellement, et qui se généralisent dans les habitudes et les mœurs des ménages. Les conséquences montrent que durant la période estivale caniculaire, la sur-utilisation de l'énergie électrique provoque parfois des délestages et des coupures de courant. Comme dans les pays avancés et industrialisés, l'Algérie veut réguler la consommation énergétique et asseoir une stratégie de l'efficacité énergétique afin d'atteindre un niveau de performance acceptable des appareils électroménagers. Dressant un état des lieux du marché national des équipements énergétiques, notamment la consommation de l'énergie dans le secteur résidentiel, Mme N. Djelouah, chef de département étude et planification (APRUE), affirme que sur 6 millions de logements et plus de 34 millions d'habitants, plus de 17 % des citoyens utilisent l'énergie électrique, alors que 36 % consomment du gaz naturel. Entre 2000 et 2006, il y a eu plus de 1,3 million de réfrigérateurs et 1,2 million de téléviseurs supplémentaires en Algérie. Le secteur domestique est donc considéré comme gros consommateur d'énergie en raison de l'extraordinaire évolution du parc logements, augmentant de plus de 100.000 nouveaux logements par an. Mme L. Houidef, chef de département bâtiment (APRUE) estime, pour sa part, dans une communication inhérente aux résultats de l'opération des tests d'efficacité énergétique sur un panel de réfrigérateurs et congélateurs mis sur le marché national, que «l'impact de consommation à l'échelle des ménages concernant les réfrigérateurs, révèle un surcoût significatif des appareils testés dépassant 2.000 DA. Tandis qu'au niveau national, les ménages peuvent réaliser des économies d'énergie évaluées à 1.500 GWT, soit la moitié de l'énergie consommée des ménages domestiques (270 GWT par an), soit 1000 DA par trimestre». A. A.