Une journée d'information et de prévention autour du cancer du sein s'est tenue, jeudi à Béjaïa, pour notamment mobiliser de nouveaux relais dans la lutte contre cette maladie. De nombreux thérapeutes et praticiens spécialisés en oncologie, et engagés dans un programme national visant à faire reculer la maladie, ont participé à cette rencontre organisée par l'association Nour Doha (lumière du jour), basée à Alger et initiée dans le cadre "octobre, mois du cancer du sein". Selon ses organisateurs, cette manifestation se veut une occasion de mobiliser de nouveaux relais dans la lutte contre cette maladie, et ainsi attirer l'attention sur son ampleur, et sur les moyens d'y faire face. Le cancer du sein est la forme la plus répandue de cette tumeur chez la femme. Chaque année, il en affecte quelque 5.000 sujets et provoque la mort de dizaines d'autres, selon l'association. La campagne d'information se focalise sur l'importance de la prévention contre cette maladie, son dépistage précoce, et les traitements y afférents. Destinée au grand public, la campagne évoque aussi les attitudes communes à développer face à la surveillance de la maladie et les voies à entreprendre pour en réduire le risque. Selon les spécialistes, ''il n'y a pas de recette miracle'' mais il est possible de dépister la maladie à un stade précoce, grâce au recours régulier, au moins tous les deux ans, à la mammographie et à un examen clinique des seins. Certaines femmes, a-t-on indiqué, sont plus exposées que d'autres, notamment celles en bute à une rechute, ayant des antécédents familiaux (transmission héréditaire), sujettes à une ménopause à un âge avancé par apport à la moyenne, souffrantes d'obésité (surtout après la ménopause), ou encore s'adonnant à une contraception orale. Il n'y a cependant pas de règles précises à ce sujet, a-t-on précisé, expliquant que beaucoup de femmes n'étant pas prédisposées à ce type de cancer ont pu le développer. Huit conférences ont été animées autour du sujet, bouclées par une séance de témoignages des patients qui ont exprimé des soucis précis sur les symptômes, les risques ou les méthodes de traitement disponibles (chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie, etc.). Cette manifestation a donné lieu par ailleurs à une distribution de guides sur la maladie, et sur la chaîne de solidarité nationale en faveur des malades. Une journée d'information et de prévention autour du cancer du sein s'est tenue, jeudi à Béjaïa, pour notamment mobiliser de nouveaux relais dans la lutte contre cette maladie. De nombreux thérapeutes et praticiens spécialisés en oncologie, et engagés dans un programme national visant à faire reculer la maladie, ont participé à cette rencontre organisée par l'association Nour Doha (lumière du jour), basée à Alger et initiée dans le cadre "octobre, mois du cancer du sein". Selon ses organisateurs, cette manifestation se veut une occasion de mobiliser de nouveaux relais dans la lutte contre cette maladie, et ainsi attirer l'attention sur son ampleur, et sur les moyens d'y faire face. Le cancer du sein est la forme la plus répandue de cette tumeur chez la femme. Chaque année, il en affecte quelque 5.000 sujets et provoque la mort de dizaines d'autres, selon l'association. La campagne d'information se focalise sur l'importance de la prévention contre cette maladie, son dépistage précoce, et les traitements y afférents. Destinée au grand public, la campagne évoque aussi les attitudes communes à développer face à la surveillance de la maladie et les voies à entreprendre pour en réduire le risque. Selon les spécialistes, ''il n'y a pas de recette miracle'' mais il est possible de dépister la maladie à un stade précoce, grâce au recours régulier, au moins tous les deux ans, à la mammographie et à un examen clinique des seins. Certaines femmes, a-t-on indiqué, sont plus exposées que d'autres, notamment celles en bute à une rechute, ayant des antécédents familiaux (transmission héréditaire), sujettes à une ménopause à un âge avancé par apport à la moyenne, souffrantes d'obésité (surtout après la ménopause), ou encore s'adonnant à une contraception orale. Il n'y a cependant pas de règles précises à ce sujet, a-t-on précisé, expliquant que beaucoup de femmes n'étant pas prédisposées à ce type de cancer ont pu le développer. Huit conférences ont été animées autour du sujet, bouclées par une séance de témoignages des patients qui ont exprimé des soucis précis sur les symptômes, les risques ou les méthodes de traitement disponibles (chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie, etc.). Cette manifestation a donné lieu par ailleurs à une distribution de guides sur la maladie, et sur la chaîne de solidarité nationale en faveur des malades.