C'est dans une ambiance colorée et festive qu'en cette avant-veille de premier novembre, les sept livres d'or, prix littéraires du 13 ème SILA, ont été décernés pour la première fois depuis la naissance du Salon. C'est dans une ambiance colorée et festive qu'en cette avant-veille de premier novembre, les sept livres d'or, prix littéraires du 13 ème SILA, ont été décernés pour la première fois depuis la naissance du Salon. «Il faut que cette cérémonie qui récompense les meilleures œuvres de l'année devienne une tradition.» a déclaré M. Ahmed Boucenna, PDG de l'Anep, organisatrice du Salon avec le Snel et la Safex. Composé d'hommes de lettres et de culture dont nous citerons Améziane Ferhani, journaliste, Ahmed Mennour essayiste et nouvelliste , Nouredine Kessam, directeur de l'école des Beaux-Arts, Amina Bekkat, universitaire, et Ahmed Benallam, journaliste , le jury a eu fort à faire pour départager en quelques mois les 85 titres proposés (toutes catégories confondues), par les 25 éditeurs qui ont répondu à l'appel du Sila. Les Livres d'or, concernent les œuvres d'auteurs algériens, édités en Algérie qui se caractérisent par leur valeur intellectuelle, littéraire et esthétique. Enfance, jeunesse et patrimoine, en arabe, français et tamazight puis roman en arabe et en français ont été les catégories en lice. Les prix sont d'un montant de 250.000 DA (enfance et jeunesse) et de 400.000 DA pour les autres catégories. Il faut souligner que dans un souci d'éthique, l'Anep n'est pas entrée dans la compétition. Sous la présidence de l'ancien ministre de la culture, Lamine Bechichi, le jury a attribué le premier prix de l'enfance en langue arabe à Abdelaziz Boulechfirat, édité par les éditions Maârifa. Le deuxième prix est allé à Djoheir Khatar pour « La rose de lumière » édité chez Casbah éditions. La même maison d'édition a reçu un prix pour la réédition de « Proverbes algériens » de Abdelhamid Benhadouga. Le prix du patrimoine a été décerné à M. Abderahmane Khelifa, pour son ouvrage «Honaïne» édité aux éditions Dalimen et à l'archéologue d'origine targuie, Dida Badi, pour son livre «Imzad» paru aux éditions de l'ENAG. Un ouvrage collectif en langue tamazight, paru aux éditions Baghdadi, a également été récompensé. Dans la catégorie roman, Maïssa Bey a été distinguée pour « Pierre , sang, papier ou cendre », son dernier opus édité par Barzakh. Pour le roman en langue arabe, c'est Waciny Laredj qui a été récompensé pour son ouvrage intitulé «Crematorium» édité par Baghdadi. En l'absence de son époux, Mme Zinab Laouedj a déclaré que le montant du prix de Waciny Laredj serait versé aux enfants palestiniens. Cette déclaration a été très applaudie par l'assistance nombreuse composée d'éditeurs, d'écrivains, de journalistes et d'organisateurs du Salon. Parmi les lauréats invités à prendre la parole, M. Abderahmane Khelifa a résumé l'histoire de la belle ville antique disparue aujourd'hui. « Aidez-moi à faire revivre Honaïne ! » a déclaré l'auteur visiblement, ravi de son prix. La création de ce nouveau prix littéraire vient confirmer la nouvelle tendance datant de la dernière décennie, à récompenser les travaux d'écriture en Algérie. Prix Aslia, Prix Mohamed Dib, Prix Malek Haddad, Prix Apulée de Madaure créée par la BN, sont les principaux prix créés récemment pour récompenser les meilleures œuvres d'un secteur de l'expression artistique encore balbutiant. La cérémonie de remise du prix Aslia décerné par l'association des libraires algériens, aura lieu le mardi 4 novembre, de 11 heures à 13 heures, à la salle El Djazaïr de la Safex. K. T. «Il faut que cette cérémonie qui récompense les meilleures œuvres de l'année devienne une tradition.» a déclaré M. Ahmed Boucenna, PDG de l'Anep, organisatrice du Salon avec le Snel et la Safex. Composé d'hommes de lettres et de culture dont nous citerons Améziane Ferhani, journaliste, Ahmed Mennour essayiste et nouvelliste , Nouredine Kessam, directeur de l'école des Beaux-Arts, Amina Bekkat, universitaire, et Ahmed Benallam, journaliste , le jury a eu fort à faire pour départager en quelques mois les 85 titres proposés (toutes catégories confondues), par les 25 éditeurs qui ont répondu à l'appel du Sila. Les Livres d'or, concernent les œuvres d'auteurs algériens, édités en Algérie qui se caractérisent par leur valeur intellectuelle, littéraire et esthétique. Enfance, jeunesse et patrimoine, en arabe, français et tamazight puis roman en arabe et en français ont été les catégories en lice. Les prix sont d'un montant de 250.000 DA (enfance et jeunesse) et de 400.000 DA pour les autres catégories. Il faut souligner que dans un souci d'éthique, l'Anep n'est pas entrée dans la compétition. Sous la présidence de l'ancien ministre de la culture, Lamine Bechichi, le jury a attribué le premier prix de l'enfance en langue arabe à Abdelaziz Boulechfirat, édité par les éditions Maârifa. Le deuxième prix est allé à Djoheir Khatar pour « La rose de lumière » édité chez Casbah éditions. La même maison d'édition a reçu un prix pour la réédition de « Proverbes algériens » de Abdelhamid Benhadouga. Le prix du patrimoine a été décerné à M. Abderahmane Khelifa, pour son ouvrage «Honaïne» édité aux éditions Dalimen et à l'archéologue d'origine targuie, Dida Badi, pour son livre «Imzad» paru aux éditions de l'ENAG. Un ouvrage collectif en langue tamazight, paru aux éditions Baghdadi, a également été récompensé. Dans la catégorie roman, Maïssa Bey a été distinguée pour « Pierre , sang, papier ou cendre », son dernier opus édité par Barzakh. Pour le roman en langue arabe, c'est Waciny Laredj qui a été récompensé pour son ouvrage intitulé «Crematorium» édité par Baghdadi. En l'absence de son époux, Mme Zinab Laouedj a déclaré que le montant du prix de Waciny Laredj serait versé aux enfants palestiniens. Cette déclaration a été très applaudie par l'assistance nombreuse composée d'éditeurs, d'écrivains, de journalistes et d'organisateurs du Salon. Parmi les lauréats invités à prendre la parole, M. Abderahmane Khelifa a résumé l'histoire de la belle ville antique disparue aujourd'hui. « Aidez-moi à faire revivre Honaïne ! » a déclaré l'auteur visiblement, ravi de son prix. La création de ce nouveau prix littéraire vient confirmer la nouvelle tendance datant de la dernière décennie, à récompenser les travaux d'écriture en Algérie. Prix Aslia, Prix Mohamed Dib, Prix Malek Haddad, Prix Apulée de Madaure créée par la BN, sont les principaux prix créés récemment pour récompenser les meilleures œuvres d'un secteur de l'expression artistique encore balbutiant. La cérémonie de remise du prix Aslia décerné par l'association des libraires algériens, aura lieu le mardi 4 novembre, de 11 heures à 13 heures, à la salle El Djazaïr de la Safex. K. T.