Plusieurs réunions des cadres de la formation politique de Abdelaziz Belkhadem sont inscrites à l'agenda pour affiner les actions des militants, en perspective de cette échéance et de son prolongement qu'est le troisième mandat pour le chef de l'Etat. Plusieurs réunions des cadres de la formation politique de Abdelaziz Belkhadem sont inscrites à l'agenda pour affiner les actions des militants, en perspective de cette échéance et de son prolongement qu'est le troisième mandat pour le chef de l'Etat. L'annonce par le président de la République de l'amendement partiel et limité de la Constitution s'est traduite par le « dégel » des activités du vieux parti. Plusieurs réunions des cadres de la formation politique de Abdelaziz Belkhadem sont inscrites à l'agenda pour affiner les actions des militants, en perspective de cette échéance et de son prolongement qu'est le troisième mandat pour le chef de l'Etat. En ligne droite de ces échéances, le secrétaire général de l'instance exécutive a réuni, hier, les mouhafedhs du parti à l'échelle du territoire national. Une rencontre au cours de laquelle il est revenu sur le projet de révision de la loi fondamentale. A en croire Abdelaziz Belkhadem, «le projet d'amendement de la Constitution du pays ne va pas se limiter au stade d'une révision partielle», arguant que «la loi fondamentale a plutôt besoin de grands changements». Ces grands changements, inscrits à court ou à moyen terme, se feront à en croire toujours le secrétaire général du FLN, «par voie référendaire». Quant à la question de savoir pourquoi une révision partielle et limitée de la loi fondamentale, contrairement aux propositions faites dans diverses moutures par son parti, le secrétaire général du FLN rappellera les arguments avancés par le chef de l'Etat, à savoir que « l'actuelle révision a été imposée par des circonstances urgentes». Exprimant sa satisfaction et son soutien au projet de révision de la Constitution, il réitère le vœu de son parti à revendiquer une Constitution adaptée à l'évolution politique en Algérie, qui renforce le contrôle constitutionnel et préserve les libertés individuelles et collectives. Sur un tout autre plan, le premier responsable du vieux parti est pressé d'en finir avec les problèmes organiques auxquels est confrontée sa formation depuis le 8ème congrès rassembleur. Il admet que « certains problèmes sont réels, alors que d'autres sont suscités par quelques militants particulièrement à l'approche d'échéances électorales ». Auparavant, juste avant son arrivée, des militants de la mouhafada d'El Harrach, très remontés contre leur premier responsable, ont exprimé de vive voix leur mécontentement devant les dirigeants du parti, contredisant en cela les affirmations de Abdelaziz Belkhadem qui avait déclaré après cet incident qu' «une grande partie des problèmes du FLN sont réglés», jugeant plutôt que «c'est la culture démocratique et la liberté d'expression qui règnent au FLN qui ont permis à ces gens de s'exprimer ». Par ailleurs, le temps de préparer sérieusement les prochaines échéances politiques est arrivé, assure Belkhadem, en révélant l'imminence du renouvellement partiel du Conseil de la Nation et la réunion, la semaine prochaine, des deux groupes parlementaires de son parti. S. B. L'annonce par le président de la République de l'amendement partiel et limité de la Constitution s'est traduite par le « dégel » des activités du vieux parti. Plusieurs réunions des cadres de la formation politique de Abdelaziz Belkhadem sont inscrites à l'agenda pour affiner les actions des militants, en perspective de cette échéance et de son prolongement qu'est le troisième mandat pour le chef de l'Etat. En ligne droite de ces échéances, le secrétaire général de l'instance exécutive a réuni, hier, les mouhafedhs du parti à l'échelle du territoire national. Une rencontre au cours de laquelle il est revenu sur le projet de révision de la loi fondamentale. A en croire Abdelaziz Belkhadem, «le projet d'amendement de la Constitution du pays ne va pas se limiter au stade d'une révision partielle», arguant que «la loi fondamentale a plutôt besoin de grands changements». Ces grands changements, inscrits à court ou à moyen terme, se feront à en croire toujours le secrétaire général du FLN, «par voie référendaire». Quant à la question de savoir pourquoi une révision partielle et limitée de la loi fondamentale, contrairement aux propositions faites dans diverses moutures par son parti, le secrétaire général du FLN rappellera les arguments avancés par le chef de l'Etat, à savoir que « l'actuelle révision a été imposée par des circonstances urgentes». Exprimant sa satisfaction et son soutien au projet de révision de la Constitution, il réitère le vœu de son parti à revendiquer une Constitution adaptée à l'évolution politique en Algérie, qui renforce le contrôle constitutionnel et préserve les libertés individuelles et collectives. Sur un tout autre plan, le premier responsable du vieux parti est pressé d'en finir avec les problèmes organiques auxquels est confrontée sa formation depuis le 8ème congrès rassembleur. Il admet que « certains problèmes sont réels, alors que d'autres sont suscités par quelques militants particulièrement à l'approche d'échéances électorales ». Auparavant, juste avant son arrivée, des militants de la mouhafada d'El Harrach, très remontés contre leur premier responsable, ont exprimé de vive voix leur mécontentement devant les dirigeants du parti, contredisant en cela les affirmations de Abdelaziz Belkhadem qui avait déclaré après cet incident qu' «une grande partie des problèmes du FLN sont réglés», jugeant plutôt que «c'est la culture démocratique et la liberté d'expression qui règnent au FLN qui ont permis à ces gens de s'exprimer ». Par ailleurs, le temps de préparer sérieusement les prochaines échéances politiques est arrivé, assure Belkhadem, en révélant l'imminence du renouvellement partiel du Conseil de la Nation et la réunion, la semaine prochaine, des deux groupes parlementaires de son parti. S. B.