Le Parti FLN s'est résolument inscrit dans la perspective des prochaines élections présidentielles, prévues au mois d'avril 2009. Le Parti FLN s'est résolument inscrit dans la perspective des prochaines élections présidentielles, prévues au mois d'avril 2009. Son secrétaire général a, dans ce cadre, donné hier le coup d'envoi de la campagne du vieux parti puisque il a réuni, c'est une première depuis la tenue du 8éme congrès rassembleur, l'instance de coordination, preuve de l'importance capitale qu'il accorde à cette prochaine échéance politique ... Il y avait en effet du monde hier dans les coulisses de l'hôtel Riad de Sidi Fredj où l'ensemble des cadres du parti était présent. Car au sein de cette instance siégent des P/APW , des P/APC (des chef lieux de wilayas) des membres des bureaux et des commissions des deux chambres du parlement , des Mouhafedh ainsi que des ministres. « Le FLN doit être la locomotive de la mobilisation pour les prochaines élections présidentielles » martèle d'emblée Abdelaziz Belkhadem pour qui le candidat naturel du parti n'est autre que son président, à savoir, Abdelaziz Bouteflika. La salle applaudit à tout rompre manifestant ainsi son accord et sans doute celui aussi de toute la base militante du vieux parti. En sonnant ainsi le tocsin sur l'intention du parti d'être le principal animateur de la campagne électorale du candidat du parti, bien que le président de la Republique n'a pour l'heure soufflé mot quant à sa volonté de briguer ou non un autre mandat, Belkhadem s'est lancé dans l'énumération des réalisations du président, évoquant ainsi tour à tour la réconciliation nationale, la préservation des libertés collectives et individuelles, la consolidation de la stabilité de l'Etat et les indéniables acquis en matière de dveloppememnt et de prospérité. Pour lui « c'est la poursuite de la politique initiée depuis 1999 qui garantit au pays la stabilité » admettant à demi-mot l'existence de quelques insuffisances. Belkhadem ne s'est pas empêché d'égratigner ceux qui n'appréciaient pas l'initiative du FLN lorsque il a appelé à la révision de la constitution et à un troisième mandat pour le président de la république. « Certains ont sournoisement douté de cette initiative dans le seul objectif de déstabiliser la capacité du parti à prendre l'initiative » a-t-il souligné rappelant par là même les multiples batailles à fleurets mouchetés qui ont opposés le FLN et le RND, puisque l'allusion s'adresse exclusivement au parti de Ahmed Ouyahia. Ce dernier a, il est vrai, mené une sourde bataille contre le vieux parti soutenant par la voix de ses responsables et de son secrétaire général que la révision de la constitution est du ressort exclusif du président de la Republique. Dans la foulée il dira que le FLN est un gage de stabilité pour le pays car, a-t-il ajouté, « il défend constamment les acquis du peuple ». Il a par la suite dénoncé ceux qui ont exprimé les velléités de mettre le FLN au misée. Abdelaziz Belkhadem a par conséquent soutenu que le parti, sur le plan organique, se porte bien malgré malgré quelques couacs comme la non restructuration de l'ensemble des mouhafadhsa, dont 44 sur 58 ont été dotés de bureaux. Appelant à l'ouverture du parti en direction des jeunes et des femmes et des compétences. Il a tracé une feuille de route pour un meilleur redéploiement organique et la redynamisation du rôle des Kasmas et des cellules en associant le mouvement associatif. Ce redéploiement est impératif car « la prochaine étape exige la mobilisation de l'ensemble des structures du parti ». Le Parti, a annoncé Belkhadem, aura prochainement, certainement au début du mois de décembre, deux rendez-vous organiques importants , en l'occurrence la réunion de l'instance exécutive et celle du conseil national dans le but de mieux peaufiner la stratégie électorale et bien évidemment de déclarer officiellement que Abdelaziz Bouteflika est le candidat du parti pour la présidentielle de 2009. A. S. Son secrétaire général a, dans ce cadre, donné hier le coup d'envoi de la campagne du vieux parti puisque il a réuni, c'est une première depuis la tenue du 8éme congrès rassembleur, l'instance de coordination, preuve de l'importance capitale qu'il accorde à cette prochaine échéance politique ... Il y avait en effet du monde hier dans les coulisses de l'hôtel Riad de Sidi Fredj où l'ensemble des cadres du parti était présent. Car au sein de cette instance siégent des P/APW , des P/APC (des chef lieux de wilayas) des membres des bureaux et des commissions des deux chambres du parlement , des Mouhafedh ainsi que des ministres. « Le FLN doit être la locomotive de la mobilisation pour les prochaines élections présidentielles » martèle d'emblée Abdelaziz Belkhadem pour qui le candidat naturel du parti n'est autre que son président, à savoir, Abdelaziz Bouteflika. La salle applaudit à tout rompre manifestant ainsi son accord et sans doute celui aussi de toute la base militante du vieux parti. En sonnant ainsi le tocsin sur l'intention du parti d'être le principal animateur de la campagne électorale du candidat du parti, bien que le président de la Republique n'a pour l'heure soufflé mot quant à sa volonté de briguer ou non un autre mandat, Belkhadem s'est lancé dans l'énumération des réalisations du président, évoquant ainsi tour à tour la réconciliation nationale, la préservation des libertés collectives et individuelles, la consolidation de la stabilité de l'Etat et les indéniables acquis en matière de dveloppememnt et de prospérité. Pour lui « c'est la poursuite de la politique initiée depuis 1999 qui garantit au pays la stabilité » admettant à demi-mot l'existence de quelques insuffisances. Belkhadem ne s'est pas empêché d'égratigner ceux qui n'appréciaient pas l'initiative du FLN lorsque il a appelé à la révision de la constitution et à un troisième mandat pour le président de la république. « Certains ont sournoisement douté de cette initiative dans le seul objectif de déstabiliser la capacité du parti à prendre l'initiative » a-t-il souligné rappelant par là même les multiples batailles à fleurets mouchetés qui ont opposés le FLN et le RND, puisque l'allusion s'adresse exclusivement au parti de Ahmed Ouyahia. Ce dernier a, il est vrai, mené une sourde bataille contre le vieux parti soutenant par la voix de ses responsables et de son secrétaire général que la révision de la constitution est du ressort exclusif du président de la Republique. Dans la foulée il dira que le FLN est un gage de stabilité pour le pays car, a-t-il ajouté, « il défend constamment les acquis du peuple ». Il a par la suite dénoncé ceux qui ont exprimé les velléités de mettre le FLN au misée. Abdelaziz Belkhadem a par conséquent soutenu que le parti, sur le plan organique, se porte bien malgré malgré quelques couacs comme la non restructuration de l'ensemble des mouhafadhsa, dont 44 sur 58 ont été dotés de bureaux. Appelant à l'ouverture du parti en direction des jeunes et des femmes et des compétences. Il a tracé une feuille de route pour un meilleur redéploiement organique et la redynamisation du rôle des Kasmas et des cellules en associant le mouvement associatif. Ce redéploiement est impératif car « la prochaine étape exige la mobilisation de l'ensemble des structures du parti ». Le Parti, a annoncé Belkhadem, aura prochainement, certainement au début du mois de décembre, deux rendez-vous organiques importants , en l'occurrence la réunion de l'instance exécutive et celle du conseil national dans le but de mieux peaufiner la stratégie électorale et bien évidemment de déclarer officiellement que Abdelaziz Bouteflika est le candidat du parti pour la présidentielle de 2009. A. S.