Les trois chefs de parti de l'Alliance présidentielle, Ahmed Ouyahia, Abdelaziz Belkhadem et Bouguerra Soltani se réuniront le dimanche 30 novembre prochain au siège de l'ex-parti unique. Les trois chefs de parti de l'Alliance présidentielle, Ahmed Ouyahia, Abdelaziz Belkhadem et Bouguerra Soltani se réuniront le dimanche 30 novembre prochain au siège de l'ex-parti unique. C'est ce que nous a révélé, hier, le porte-parole du FLN, Saïd Bouhadja. La présidence tournante du triumvirat sera confiée à l'ex-parti unique pour les trois mois à venir. Cette rencontre au sommet des patrons de l'Alliance présidentielle sera consacrée, selon le responsable du vieux parti, «à définir les perspectives politiques pour les 3 ou 4 mois à venir». Une période particulière et sensible où le parti de Abdelaziz Belkhadem aura la lourde tâche de gérer l'après révision de la Constitution et les préparatifs des élections présidentielles prévues en avril 2009 qui verront, selon toute vraisemblance, le président de la République et président d'honneur du FLN, Abdelaziz Bouteflika, briguer pour un troisième mandat. Il est à rappeler que le dernier sommet de ce regroupement s'est tenu le mois de janvier dernier, dépassant de loin le délai imparti pour la passation du flambeau de la présidence tournante qui est de trois mois. Avant cette rencontre au sommet, l'ex parti unique réunira, demain, son instance de coordination à l'Hôtel Riadh de Sidi-Ferruch (Alger). Un rendez-vous qui réunira plus de 300 cadres du parti, entre ministres, parlementaires des deux chambres du Parlement, mouhafedh, présidents des APW et des APC des chef-lieux de wilaya. Il sera sûrement question de discuter des rapports des instances locales du parti en prévision de la tenue du Conseil national qui aura lieu «fin novembre ou au plus tard dans la première semaine du mois de décembre», selon toujours le porte parole de FLN. «Les rapports sont finalisés», avance ce responsable qui argumente que le décalage entre la réunion des deux instances du parti par le fait que «les membres de l'instance de coordination auront 15 jours pour étudier les termes des rapports». Il reste à savoir si les membres de la contestation animée par Abbès Mehkallif et regroupés autour de la cellule nationale de suivi des affaires du FLN seront autorisés à prendre part à cette rencontre. Pour rappel, les frondeurs du vieux parti ont revendiqué la tenue du Conseil national et le congrès extraordinaire du parti. Sur l'annulation de ce dernier, décidé par le secrétaire de l'Instance exécutive Abdelaziz Belkhadem, le chargé de la communication et porte-parole au sein du FLN confie qu'«il est matériellement impossible de réunir les 550 membres du conseil national et les délégués du congrès». Il avance aussi que «le facteur temps, échéances politiques obligent, ne permet pas également la réunion des deux instances en même temps». Il est à signaler que le secrétaire général de l'ex-parti unique avait lancé l'idée dans plusieurs sorties médiatiques que le FLN allait tenir et le conseil et le congrès dans une réunion jumelée. Il semble bien que l'impasse faite sur la tenue du congrès découle du souci des dirigeants du parti d'éviter toute fausse note dans les rangs et de suivre à la lettre le chemin que s'est tracé la formation politique de Abdelaziz Belkhadem surtout en perspective des élections présidentielles qui approchent à grands pas. S. B. C'est ce que nous a révélé, hier, le porte-parole du FLN, Saïd Bouhadja. La présidence tournante du triumvirat sera confiée à l'ex-parti unique pour les trois mois à venir. Cette rencontre au sommet des patrons de l'Alliance présidentielle sera consacrée, selon le responsable du vieux parti, «à définir les perspectives politiques pour les 3 ou 4 mois à venir». Une période particulière et sensible où le parti de Abdelaziz Belkhadem aura la lourde tâche de gérer l'après révision de la Constitution et les préparatifs des élections présidentielles prévues en avril 2009 qui verront, selon toute vraisemblance, le président de la République et président d'honneur du FLN, Abdelaziz Bouteflika, briguer pour un troisième mandat. Il est à rappeler que le dernier sommet de ce regroupement s'est tenu le mois de janvier dernier, dépassant de loin le délai imparti pour la passation du flambeau de la présidence tournante qui est de trois mois. Avant cette rencontre au sommet, l'ex parti unique réunira, demain, son instance de coordination à l'Hôtel Riadh de Sidi-Ferruch (Alger). Un rendez-vous qui réunira plus de 300 cadres du parti, entre ministres, parlementaires des deux chambres du Parlement, mouhafedh, présidents des APW et des APC des chef-lieux de wilaya. Il sera sûrement question de discuter des rapports des instances locales du parti en prévision de la tenue du Conseil national qui aura lieu «fin novembre ou au plus tard dans la première semaine du mois de décembre», selon toujours le porte parole de FLN. «Les rapports sont finalisés», avance ce responsable qui argumente que le décalage entre la réunion des deux instances du parti par le fait que «les membres de l'instance de coordination auront 15 jours pour étudier les termes des rapports». Il reste à savoir si les membres de la contestation animée par Abbès Mehkallif et regroupés autour de la cellule nationale de suivi des affaires du FLN seront autorisés à prendre part à cette rencontre. Pour rappel, les frondeurs du vieux parti ont revendiqué la tenue du Conseil national et le congrès extraordinaire du parti. Sur l'annulation de ce dernier, décidé par le secrétaire de l'Instance exécutive Abdelaziz Belkhadem, le chargé de la communication et porte-parole au sein du FLN confie qu'«il est matériellement impossible de réunir les 550 membres du conseil national et les délégués du congrès». Il avance aussi que «le facteur temps, échéances politiques obligent, ne permet pas également la réunion des deux instances en même temps». Il est à signaler que le secrétaire général de l'ex-parti unique avait lancé l'idée dans plusieurs sorties médiatiques que le FLN allait tenir et le conseil et le congrès dans une réunion jumelée. Il semble bien que l'impasse faite sur la tenue du congrès découle du souci des dirigeants du parti d'éviter toute fausse note dans les rangs et de suivre à la lettre le chemin que s'est tracé la formation politique de Abdelaziz Belkhadem surtout en perspective des élections présidentielles qui approchent à grands pas. S. B.